(Cystite) On appelle cystite l'infection de la vessie. Les agents responsables de la cystite sont généralement des bactéries. Les symptômes les plus courants sont un besoin fréquent d'uriner et une douleur ou une sensation de brûlure à la miction.
Le symptôme le plus évident est la grande fréquence des mictions pendant la journée. Selon l'avis des médecins, il est normal d'uriner entre 4 et 8 fois par jour. Le faire plus souvent peut être le signe d'une vessie hyperactive ou irritable.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
Le principal symptôme lié au cancer de la vessie est l'hématurie, c'est- à-dire la présence de sang dans les urines. On le retrouve chez 90 % des patients environ. Le saignement apparaît souvent à la fin de la miction. Les urines peuvent être légèrement rosées, rouge foncé ou bordeaux selon l'intensité du saignement.
Cystite, pyélonéphrite, incontinence, adénome ou cancer de la prostate... Certaines affections de l'appareil urinaire et génital peuvent amener à consulter un urologue. Ce médecin est spécialisé dans la prise en charge des maladies du système urinaire.
Les principaux symptômes sont une sensation de pesanteur ou de gêne pelvienne, associée à des problèmes urinaires : incontinence, envie pressantes, difficulté à uriner, infections récidivantes. Une cystocèle peut engendrer une douleur lors des rapports sexuels.
Comment se déroule-t-elle ? Le principe est d'introduire un cystoscope (ou fibroscope) dans la vessie en passant par l'urètre, le canal joignant la vessie au méat urinaire et permettant l'évacuation des urines. Le cystoscope est un mince tube équipé de fibres optiques ou d'une mini-caméra vidéo.
Le symptôme principal est la présence de sang dans les urines en fin de miction (hématurie) : ce sont les dernières gouttes d'urine qui seront teintées de sang. Le polype peut aussi se manifester par des brûlures en urinant ou par des envies douloureuses d'uriner.
L'examen de référence pour le diagnostic d'un cancer de la vessie est la cytoscopie. Cet examen permet d'examiner l'intérieur de la vessie à l'aide d'un système optique introduit via l'urètre. Une anesthésie locale, réalisée grâce à un gel, est souvent pratiquée afin de réduire l'inconfort associé à ce geste.
Dans environ 20 % des cas, le patient se plaint également de douleur en urinant, d'envies fréquentes d'uriner, de sensations de brûlures au niveau du pubis ou du périnée, de spasmes de la vessie ou de douleurs dans le bas du dos.
Définition du polype de vessie ou tumeur de vessie
Un polype de vessie ou tumeur de vessie est une prolifération de cellules qui prennent naissance dans la vessie, au niveau de l'urothélium, c'est-à-dire la couche de cellules qui est en contact avec l'urine.
Se lever plus de deux fois la nuit pour aller uriner, est considéré comme un peu excessif. En effet, à partir de plus de 2 réveils on parle de nycturie. Cela peut révéler un mode de vie non adéquat, voire un problème médical.
Une inflammation de la vessie est souvent d'origine bactérienne. Elle se caractérise par des symptômes tels que des envies pressantes d'uriner, des douleurs dans le bas-ventre et parfois du sang dans les urines.
cystalgie n.f. Douleur de la vessie.
Le tabagisme actif est le premier facteur de risque de cancer de la vessie : il est classé cancérogène certain (groupe 1) par le CIRC. En France, le tabagisme serait responsable de 53% des cas de cancers de la vessie chez les hommes, et de 39% chez les femmes.
L'insuffisance cardiaque, les maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson et d'Alzheimer, le cancer de la vessie et de la prostate, le diabète, l'insuffisance hépatique, et les maladies rénales chroniques font partie des pathologies qui peuvent entraîner une polyurie nocturne.
L'urologue fait son exploration en progressant lentement de l'urètre vers la vessie. Il visualise, ainsi, la totalité des muqueuses. La cystoscopie dure, en général, cinq à dix minutes environ. Après l'examen, il est possible de manger et de boire normalement.
Lorsqu'il s'agit d'un endoscope souple en fibres optiques, on parlet également de « fibroscopie vésicale ». L'examen dure quelques minutes. Le patient peut ensuite se rhabiller et quitter l'établissement. Bien que parfois ressentie comme désagréable, la cystoscopie n'est habituellement pas qualifiée de douloureuse.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
On parle dans ce cas de syndrome douloureux vésical avec pathologie de paroi. En effet dans ce cas, la vessie souffre d'une maladie inflammatoire qui la rend de plus en plus petite avec le temps.
Comment attrape-t-on une infection urinaire ? L'infection urinaire la plus courante est due à la bactérie intestinale Escherichia Coli. Naturellement présente dans le gros intestin (totalement inoffensive à ce niveau-là), cette bactérie peut pénétrer l'urètre puis infecter la vessie.
La consultation urologique
Durant la consultation, l'urologue vous demande de tout d'abord le motif de la consultation pour passer ensuite à l'étude de vos antécédents médicaux et chirurgicaux et prendre connaissance des examens déjà effectués. Il vous interroge aussi sur votre symptomatologie et vous examine.
Chez la femme, l'urologue peut intervenir pour traiter des pathologies liées à l'appareil urinaire (reins, uretères et vessie) : incontinence urinaire, cystites aigues ou chroniques, pyélonéphrite, tumeurs.
Cet examen n'est pas douloureux si le patient est détendu. En effet, le fait d'être détendu permet l'introduction quasi indolore de l'endoscope. En général, le médecin donne ses observations directement au patient.