Quel est le rôle d'une personne de confiance ? La personne de confiance peut assurer les missions suivantes : Vous accompagner dans vos démarches d'ordre médical et vous assister lors de vos rendez-vous médicaux avec votre accord.
Quelles sont les limites d'intervention ? La personne de confiance a un rôle consultatif. Le médecin référent reste décisionnaire. La personne de confiance ne pourra pas obtenir communication de votre dossier médical (à moins que vous lui fassiez une procuration en ce sens).
La personne de confiance constitue un relais précieux entre patient et soignants, en particulier en fin de vie. Elle peut également faire le lien avec la famille et les proches.
La personne qui désigne une personne de confiance peut conserver ce document avec elle. Toutefois, il est recommandé d'intégrer aussi cette information au dossier médical du médecin traitant et/ou de l'hôpital et/ou de l'établissement médico-social (ex : EHPAD). Pensez aussi à informer les proches.
QUEL EST SON RÔLE ? La personne de confiance a plusieurs missions. sans votre accord. Il est recommandé de lui remettre vos directives anticipées si vous les avez rédigées : ce sont vos volontés, exprimées par écrit, sur les traitements que vous souhaitez ou non, si un jour vous ne pouvez plus vous exprimer.
Une personne protégée sous tutelle, ne peut pas désigner une personne de confiance. En revanche, si la personne de confiance a été désignée avant la mesure de tutelle, le juge des tutelles peut, soit confirmer la mission, soit la révoquer (3).
Qu'est-ce que l'acharnement thérapeutique ou l'obstination déraisonnable ? On appelle obstination déraisonnable ou acharnement thérapeutique, le fait d'initier ou de poursuivre des actes ou des traitements médicaux inutiles, disproportionnés ou n'ayant d'autre effet que le seul maintien artificiel de la vie.
La personne de confiance peut assurer les missions suivantes : Vous accompagner dans vos démarches d'ordre médical et vous assister lors de vos rendez-vous médicaux avec votre accord.
La « personne de confiance » ne doit pas être confondue avec la « personne à prévenir. » En effet, les informations qui peuvent être communiquées à la personne à prévenir sont limitées et ne peuvent en aucun cas se situer dans le champ des informations couvertes par le secret médical et professionnel.
Vous, personne protégée, pouvez renoncer à l'assistance de la personne de confiance ou demander la désignation de quelqu'un d'autre. Vous pouvez le faire à tout moment, tout au long de la mesure de protection judiciaire. le demander oralement lors d'une audience.
La désignation de la personne de confiance n'est pas une obligation mais un droit pour le patient. La loi n'indique pas qui peut être « personne de confiance », elle mentionne seulement des possibilités : parent, proche ou médecin traitant.
Faire constater le décès par le médecin et le déclarer en mairie. Contacter les pompes funèbres (dans les 24 ou 48 heures). Rechercher les titres de concession s'il existe un caveau de famille. Avertir les établissements financiers pour le blocage des comptes du défunt.
La confiance est liée à la nature même de l'existence humaine, au fait que nous ne sommes jamais complètement indépendants des autres et autosuffisants, même lorsque nous avons la possibilité d'atteindre un certain degré d'autonomie morale. »
Celui-ci distingue 3 formes de confiance : la confiance interpersonnelle, la confiance interorganisationnelle et la confiance institutionnelle.
présomptueux, présomptueuse
Qui a une idée trop avantageuse de soi-même, qui a une confiance excessive en soi.
Comment changer de personne de confiance ou la révoquer ? Il est possible de changer de personne de confiance à tout moment ou de décider d'annuler sa désignation. Il suffit de le signaler par écrit.
Personne choisie par le patient, qui peut l'accompagner lors des entretiens médicaux, l'aider dans ses décisions et être consultée s'il se trouve dans l'incapacité de recevoir des informations sur son état de santé et d'exprimer sa volonté.
La loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé est la première loi qui consacre le droit du patient de prendre des décisions concernant sa santé et l'obligation des soignants de créer toutes les conditions pour éclairer ces décisions.
Syndrome de l'imposteur.
Un senior, s'il est indépendant et peut prendre soin de lui-même, est considéré comme responsable. Toutefois, en cas de déclin physique ou intellectuel, d'une perte d'autonomie, une personne de confiance peut alors être désignée pour prendre soin de lui.
Chaque professionnel qui connaît ou suit votre état de santé doit respecter le secret médical. Exemples : médecin, infirmier, kinésithérapeute, psychologue, assistant social, orthophoniste. Ainsi, un professionnel qui a des informations sur vous ne doit pas les communiquer à d'autres personnes.
- La décision de limitation ou d'arrêt de traitement est prise par le médecin en charge du patient à l'issue de la procédure collégiale.
A domicile : la décision de soins palliatifs au domicile est prise par le médecin traitant, avec l'accord du patient et de sa famille. Il importe de s'assurer que les soins et l'accompagnement pourront être menés dans de bonnes conditions.
en l'absence de directives anticipées, les médecins doivent recueillir l'avis de la personne de confiance ou, sinon, tout autre avis de la famille ou des proches. En fonction de cet avis, les médecins prendront leur décision en fonction de la situation médicale.