Les ressources c'est à dire les biens et services à disposition des individus sont limités alors que les besoins sont illimités. L'individu doit alors faire des choix pour maximiser sa satisfaction (ou utilité). Ces choix résultent de plusieurs contraintes : budgétaire, revenus, prix relatifs, préférences…
La rareté des ressources impose de faire un choix
Les besoins sont un sentiment de manque, de privation, que l'individu cherche à satisfaire au travers de la consommation d'un bien ou d'un service.
Les individus font prioritairement des choix en fonction de leurs préférences mais surtout de leur budget. Ainsi la consommation d'un bien devra être limitée pour que le consommateur puisse se permettre de profiter d'autre chose. On peut représenter la contrainte budgétaire sous forme de droite.
La contrainte budgétaire est ce que le consommateur peut se permettre. La contrainte budgétaire représente la limite des paniers de consommation que le consommateur peut se permettre d'acheter. Les individus consomment moins que ce qu'ils désirent parce que leur dépense est contrainte ou limitée par leur revenu.
L'économiste définit la rareté comme une situation où les besoins et les désirs dépassent les ressources dont on dispose pour les satisfaire. [...] Nos besoins et nos désirs ne font pas que dépasser les ressources existantes : en fait, ils sont illimités, face à des ressources qui, elles, sont limitées ou finies.
3- L'efficacité : en présence de la rareté, aucun individu ou entreprise ne peut se permettre d'être gaspilleur ou inefficace. L'objectif consiste donc à maximiser les biens et services souhaités qui peuvent être obtenus à partir d'un ensemble donné de ressources.
Lorsqu'on évoque la rareté, ce peut être celle de l'argent (contrainte budgétaire d'un ménage, par exemple) ou celle de biens économiques. Elle nous oblige à faire des choix puisque les besoins sont illimités (ou en tout cas beaucoup moins limités que les ressources) !
L'attitude a plusieurs composantes : cognitive : les connaissances et les croyances autour d'un produit, d'une marque… affective : un jugement affectif vis-à-vis d'un produit, d'une marque… conative : les intentions de comportement d'achat ou de consommation.
Le problème du consommateur est de maximiser son utilité sous contrainte budgétaire ou de minimiser ses dépenses sous une contrainte de niveau d'utilité. Graphiquement, l'équilibre est nécessairement le point de tangence entre la courbe d'indifférence et la contrainte budgétaire (méthode de l'optimum).
La fabrication d'un produit nécessite des ressources dont les quantités peuvent être limitées : le travail des hommes, les machines, les bâtiments, les ressources naturelles non renouvelables (pétrole etc.).
Comment les individus prennent des décisions ? Ils font face à des trade-offs (ils ne peuvent pas tout faire et tout avoir → choix sous contrainte). Chaque choix a un coût d'opportunité (le coût de quelque chose est identique à la valeur de ce à quoi on renonce pour l'obtenir).
Autant les besoins sont illimités, autant les biens sont limités, donc rares. Pour résoudre ce conflit entre l'existence illimitée des besoins et la rareté des biens, l'individu doit faire des choix, des calculs économiques pour utiliser au mieux les ressources dont il dispose pour satisfaire ses besoins.
Conclusion. En définitive, il apparaît que s'il ne faut pas satisfaire tous nos désirs, ce n'est pas parce que certains désirs seraient mauvais pour nous, ni parce que la frustration serait bonne en soi, mais parce que le désir ne s'alimente que de notre insatisfaction.
Les conséquences de la rareté. La rareté joue un rôle central en économie, elle entraine des problèmes, parfois financiers ou autres. Les besoins sont illimités alors que les biens sont limités. Il est donc impossible de satisfaire tous les besoins d'où la nécessités de faire des choix.
Les besoins sont illimités car on constate que si au fur et à mesure qu'un besoin est satisfait, son intensité diminue, un autre apparaît et la chaîne continue.
Le processus de perception comporte plusieurs étapes : la sensation : les sens réagissent aux stimuli (vision, odorat, ouïe, toucher, goût…) et collectent ainsi des informations du monde extérieur, l'attention : c'est la concentration mentale portée par l'individu sur un objet déterminé ; elle n'est pas automatique.
Nous distinguons trois facteurs qui influencent le comportement des personnes : Les talents intrinsèques. Les compétences et capacités acquises avec le temps. L'environnement dans lequel se trouve la personne.
Un « facteur d'influence » est un facteur qui agit, de façon directe ou indirecte, sur l'état d'un enjeu et dont l'analyse peut aider à déterminer les objectifs à long terme.
Les facteurs qui influencent le comportement d'achat
Le contenu de cette boîte dépend de son mode de vie, de ses habitudes de consommation, de ses valeurs personnelles, de ses relations, de sa fidélité à la marque, de sa personnalité ou encore de ses caractéristiques sociodémographiques.
Les acheteurs ont tendance à privilégier des produits qui véhiculent certaines valeurs : Made in France, énergies renouvelables, consommables recyclables, etc. Autant de raisons qui vont pousser un prospect à acheter un produit plutôt qu'un autre.
Méthodes de lutte contre la rareté
Les actes de production (activités de production et de transport) consistent à combiner les facteurs naturels et l'outillage technique avec du travail pour obtenir des biens et services propres à la consommation.
RARETÉ, subst. fém. a) Caractère de ce qui existe à peu d'exemplaires; fait, pour quelque chose, d'exister à peu d'exemplaires.
Mais gérer la rareté peut devenir un défi stimulant.
Établir un plan de gestion du changement basée la consultation sur l'approche économe et sur la communication. Motiver les parties prenantes à être agiles, rapides et réactifs. Montrer les premiers résultats pour démontrer les avantages de l'approche.