Styles de management : directif, participatif, persuasif, délégatif.
Selon Rensis Likert, psychologue américain, on peut distinguer quatre grands types de management : le management directif, le management persuasif, le management participatif, et le management délégatif.
En France, la posture du manager participatif est devenue la plus populaire, considérée comme la plus pertinente. 45 % des managers pensent avoir un style de management « participatif », centré justement sur la confiance, les signes de reconnaissance et l'autonomie laissée aux collaborateurs.
Il s'agit d'une démarche globale qui repose sur quatre grandes fonctions génériques : piloter (fixer des objectifs et contrôler), organiser, animer et diriger.
Quels sont les différents styles de direction dans l'entreprise ? L'analyse de Rensis Likert (1903 – 1981) permet de distinguer quatre styles de commandement : autoritaire, paternaliste, consultatif et participatif.
Les différents styles de management. Le psychologue américain Rensis Likert a défini 4 grands styles de management au début des années 60. Nos comportements, nos pensées et nos actions correspondent à des catégories de management : le style directif, persuasif, participatif et délégatif.
Il existe huit rôles de management différents : le pilotage, l'organisation, le développement des collaborateurs, l'animation d'équipe, la négociation avec les parties prenantes, le reporting, le réseautage et la représentation de l'unité à l'extérieur.
Le management se préoccupe de la clarification des rôles, de l'animation (au sens de donner vie) et de la logique de coordination des actions. La gestion, quant à elle, se préoccupe de la clarification des activités, de l'optimisation des ressources et de la logique de différenciation des fonctions.
Le bon Manager est celui qui nous donne envie de venir au travail parce qu'on sait qu'on sera compris, apprécié, encouragé et reconnu dans un contexte bien structuré. Pourtant, le but d'un bon Management ne consiste pas seulement à devenir populaire au sein de son équipe de travail.
Organiser et répartir les tâches, Déléguer à ses collaborateurs, Fixer des objectifs et contrôler les résultats, Animer les équipes et les projets.
Le management persuasif est définit par une importante implication du manager au niveau relationnel et organisationnel. Le manager persuasif est à l'écoute de son équipe. Leader, il fait adhérer ses collaborateurs aux processus, en les convaincant des décisions et en les soutenant durant les différents projets.
Le management est l'ensemble des techniques d'organisation et de gestion d'une entreprise afin d'obtenir une performance satisfaisante. Le leadership, quant à lui, peut être défini comme la capacité d'un individu à administrer ou conduire d'autres individus ou organisations.
Le management directif en entreprise est aujourd'hui à un plus haut degré mis de côté, au profit d'une légitimité basée sur les compétences et l'implication des salariés. Mais alors, quelles sont les clefs d'un bon management ? Managers ! En 2020 favorisez la proximité entre votre équipe et vous-même.
Ne pas faire confiance en ses collaborateurs
Ne pas faire confiance en son équipe et ne pas déléguer les tâches, telle est l'une des principales erreurs de management à éviter absolument. Vous devez ainsi accepter que chaque membre de votre équipe ait ses défauts et sa manière de travailler.
Le mauvais manager a tendance à imposer son autorité. Dénué de charisme, il va donc jouer sur d'autres leviers : décisions arbitraires, sanctions. Dans son équipe, mieux vaut adopter une posture de suiveur que de faire preuve de leadership. Autonomie et prise de responsabilité ne sont pas autorisées.
Manager une équipe difficile implique de se comporter en véritable leader : en donnant un cadre, en faisant preuve d'autorité sans être tyrannique, en étant à l'écoute et proactif. Ces qualités sont d'autant plus importantes en cas de conflits ou de comportements délétères.
La différence réside dans la place occupée, et les répercussions de l'une ou de l'autre activité avec des effets beaucoup plus importants. Diriger et encadrer sont ce que Freud appelait des métiers impossibles.
Ses principaux avantages : Il développe le bien-être au travail des salariés en leur donnant l'impression d'être écoutés, valorisés et reconnus. Il améliore donc leur implication, leur loyauté envers l'employeur, et réduit le turn-over.
Apparu dans les années 90 en Amérique du Nord, le management horizontal, aussi appelé management collaboratif ou encore « holacratie », est une approche selon laquelle chaque collaborateur, manager et dirigeant est placé sur le même pied d'égalité.
Le style « participatif » correspond à un management plutôt « collaboratif » : le manager participatif est focalisé sur les relations humaines conviviales et veut développer une bonne ambiance de communication. Sa « croyance » : une équipe qui s'entend bien est une équipe qui réussit.