Il existe cinq types de marcottage : par couchage, par long bois, en cépée, en serpent ou aérien. Nos professionnels pourront vous conseiller et vous aider pour le choix et la technique de marcottage à adopter selon les plantes que vous souhaitez multiplier tout en vous faisant bénéficier de 50% de réductions fiscales.
Le marcottage par couchage des rameaux est particulièrement adapté aux plantes grimpantes (chèvrefeuille, clématite, viorne, kiwi, bignone…), aux arbustes de terre de bruyère (rhododendron, bruyère, cornouiller, pieris…), et puis les érables, genévriers, mahonias, magnolias, chimonanthes, corètes du Japon, pruniers…
Le marcottage est un mode de multiplication très utilisé pour la ronce. Le marcottage est également fréquent chez certains conifères, comme le cyprès de Leyland, dont les branches basses s'enracinent spontanément au contact du sol. Il se forme ainsi une couronne de jeunes arbres autour des arbres âgés.
Il s'agit de choisir une tige de la plante mère, de la dépouiller de ses feuilles, et d'en enterrer une partie afin que celle-ci produise de nouvelles racines. On pourra ensuite la replanter indépendamment du pied-mère.
Il se pratique à n'importe quelle époque de l'année mais il est plus facile de le faire lorsque les arbres n'ont plus de feuilles. Le printemps et l'automne sont des périodes favorables.
Le marcottage du pommier est une méthode très utilisée par les pépiniéristes pour multiplier aisément et rapidement leurs porte-greffes. Essayez donc cette technique chez vous pour obtenir de nombreux sujets vigoureux.
Marcottage aérien : pour quelle plantes ? Plantes d'intérieur : Ficus, Monstera, Philodendron et généralement toutes les plantes à grosses feuilles, croton. Arbres et arbustes d'ornement : érables, magnolias, camélias, hamamélis, lilas, rosier.
o Avantages : Méthode facile qui permet de multiplier rapidement la plante. Plant obtenu est identique au pied mère avec une mise à fruit rapide. o Inconvénients : Le plant marcotté aura un système racinaire superficiel et sera alors peu résistant au vent.
Mode de multiplication des végétaux consistant à provoquer le développement des racines sur une portion herbacée ou ligneuse de jeunes rameaux, puis à séparer ces derniers du pied d'origine afin d'en obtenir une nouvelle plante.
Entailler l'écorce de la tige à l'aide du greffoir ; l'incision doit former un anneau autour de la tige. Faire un deuxième anneau à environ 4 cm du premier, puis rejoindre les deux anneaux par une incision verticale. Enlever l'écorce ainsi découpée.
Marcotter en lune descendante
Facile, mais assez long, le marcottage se réalise en Cancer ou en Scorpion pour les plantes-feuilles, en Balance ou en Gémeaux pour les plantes-fleurs et en Lion pour les lianes fruitières.
Les figuier, grenadier, actinidia (kiwi) et vigne sont également faciles à multiplier par bouturage. Pour les autres arbres fruitiers, pommiers, pruniers, cerisiers, poiriers, le résultat n'est pas garanti mais ça ne coûte rien d'essayer. Et si ça marche, vous aurez fait de belles économies.
Comment marcotter la lavande ? Tailler court le pied mère, en avril, puis en août de l'année suivante, pour provoquer des repousses denses. Au printemps, enfouir la plante entière sous un tas de terre légère, en ne laissant dépasser que 10-15 cm des pousses. Maintenir le sol juste frais.
La meilleure période de l'année pour réaliser le bouturage de votre Thym se situe au moment juste après la floraison, soit en juillet-août si le semis a été effectué au début du printemps. Nous vous présentons ici des conseils de bouturage de votre Thym pour obtenir de jeunes plants de thym facilement.
Le thym a la particularité de se marcotter spontanément à partir de ses rameaux ligneux qui touchent le sol. Il est possible de l'aider un peu en plaçant des crochets çà et là sur les tiges ligneuses et en les insérant dans le sol. Ce n'est à faire que si vous souhaitez obtenir de nombreux nouveaux plants.
Contrairement au bouturage, le marcottage est une technique de multiplication de plantes qui implique que pied-mère et bouture ne soient pas séparés pendant toute la phase de reprise. On peut marcotter quasiment à tout moment de l'année, mais la meilleure période est le printemps.
Quand effectuer un marcottage aérien ? Ce type de marcotte se pratique en général au printemps (mai‑juin), lorsque la production de sève est la plus active. Si le sujet est marcotté trop tard, il n'aura pas le temps de créer suffisamment de racines avant l'hiver.
Nom commun. (Ornithologie) Corbeau.
Procédé de multiplication végétative réalisé par l'union d'une partie d'une plante (greffon) et d'une partie d'une autre (porte-greffe ou sujet) en vue d'obtenir un seul individu. (La greffe est surtout utilisée pour reproduire les arbres fruitiers et certaines plantes ornementales [rosiers].) 2. Synonyme de greffon.
De nombreux végétaux se marcottent naturellement dans la nature comme par exemple le fraisier qui émet des stolons. De plus certaines plantes sont particulièrement difficiles à bouturer ; le marcottage permet au rameau de rester alimenté par la plante mère le temps nécessaire pour que ses racines se développent bien.
Le but de ces manipulations est d'obtenir des plantes performantes, c'est à dire des plantes dont les qualité les rendent économiquement rentables sur un terroir précis : haut rendement, c'est à dire production de matière végétale en grande quantité, surtout pour les cultures destinées à l'alimentation.
Quand réaliser le marcottage sur un oranger ou un citronnier ? La meilleure période pour réaliser le marcottage aérien se situe au printemps lors de la montée de sève, ainsi, le décollement de l'écorce sera plus aisé. Les températures clémentes assureront quant à elles une mise en racines plus rapide.
Le marcottage
La plus commune va donc être pour le poirier la marcotte aérienne, que vous pouvez réaliser juste à la fin de l'hiver : sélectionnez un morceau de tige pourvu d'un œil à bois que vous allez enfermer dans du terreau ou de la sciure humide grâce à un sac en plastique resserré au 2 extrémités.
Le marcottage du jasmin en serpenteau est une variante de la méthode par couchage. Le principe reste le même. Au lieu de réaliser une incision, plusieurs entailles équidistantes sont effectuées et enterrées. Les intervalles dotés d'un bourgeon restent à l'air libre, ce qui forme un serpent.