Les inégalités de genre sont particulièrement saillantes dans le monde du travail. C'est notamment le cas au niveau des salaires, les femmes continuant d'être moins bien rémunérées que leurs homologues masculins, mais aussi en ce qui concerne l'équilibre entre vie privée et vie professionnelle.
La République Centrafricaine, le Niger, l'Afghanistan, le Tchad, le Mali et la Guinée suivent dans le bas du classement. Le travail, source de revenu, est un premier pas vers l'indépendance des femmes que de nombreux pays ne veulent pas franchir.
La France n'est pas épargnée par les inégalités salariales entre femmes et hommes. Même constat en France ! Les hommes gagnent 28,5% de plus que les femmes selon une récente étude de l'INSEE (juin 2020). A poste et compétences égales, l'écart de salaire est de 9%.
Les inégalités liées au revenu, à la situation géographique, au genre, à l'âge, à l'origine ethnique, au handicap, à l'orientation sexuelle, à la classe sociale et à la religion – qui déterminent les avantages, les perspectives et les résultats d'une personne – persistent, dans les pays et entre États.
Les inégalités de genre sous-tendent de nombreux problèmes qui touchent de manière disproportionnée les femmes et les filles, comme les violences domestiques et sexuelles, les rémunérations plus faibles, le manque d'accès à l'éducation et les soins de santé insuffisants.
Olympe de Gouges. Olympe de Gouges, née à Montauban le 7 mai 1748, est une femme de lettres française, devenue femme politique. Elle est considérée comme une des pionnières du féminisme français notamment après la publication en 1791 de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
Françoise Giroud (1916-2003) - journaliste, écrivaine et femme politique française. Olympe de Gouges (1748–1793) - femme de lettres française, devenue femme politique, auteure de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, en 1791. Gisèle Halimi (1927-2020) - avocate, grande figure du féminisme en France.
En 1944, l'ordonnance du 21 avril du Gouvernement provisoire de la République française installé à Alger accorde le droit de vote et l'éligibilité aux femmes.
En France, les hommes sont rémunérés en moyenne 28,5 % de plus que les femmes. En France, 76 % des emplois en temps partiel sont occupés par des femmes. Les femmes sont surreprésentées en France dans le secteur du soin. Par exemple, 91% des aides-soignante·s sont des femmes.
Les inconvénients du travail de la femme: Si le travail de la femme lui procure des bienfaits de la femme lui procure des bienfaits,il peut être aussi source de tracas;la femme se dépense dans son travail et accumule un grand stress en fin de la journée et elle n'a pas trouver du temps pour éduquer ses enfants.
Pressions du conformisme. Beaucoup de gens – plus précisément, 20 % des hommes 14 % des femmes, à l'échelle mondiale – croient encore qu'il est malvenu ou inacceptable qu'une femme travaille hors du foyer. De nombreuses femmes indiquent que leur famille proche désapprouve leur décision de travailler hors de chez elle.
cit., Article I, de l'occupation, Art. II, du…, ainsi que les principaux devoirs d'une femme mariée : la pratique de la religion, l'éducation des enfants, les relations avec son mari, et plus généralement les mœurs.
Le 31 janvier 2013, il y a tout juste 10 ans, les femmes ont officiellement obtenu le droit de porter un pantalon. Si son application était devenue caduque depuis bien longtemps, l'ordonnance interdisant aux femmes de porter ce type de vêtements était pourtant bel et bien encore en vigueur, depuis plus de deux siècles.
Elle a été abrogée jeudi dernier. Les femmes françaises ont le droit de porter un pantalon...
1939 1940 Limitation ou interdiction des emplois publics aux femmes mariées. 1941 1942 Les femmes mariées peuvent travailler, même si leurs maris travaillent, à condition de ne pas causer de licenciement.
– Les féministes d'aujourd'hui ne veulent pas l'égalité: elles veulent [dominer les hommes, etc.]. – L'égalité est un leurre, les hommes et les femmes sont complémentaires; les hommes et les femmes ont des destins naturels différents. – Les féministes sont trop agressives. – Les féministes détestent les hommes.
Aujourd'hui encore, les femmes s'acquittent de la majorité des tâches ménagères et des soins des enfants et des parents âgés ; après un divorce ou une séparation, les femmes qui assument plus souvent la garde des enfants, plongent fréquemment dans des situations d'une grande précarité ; dans le monde professionnel, ...
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
Histoire. Gisèle Halimi et Simone de Beauvoir fondent le mouvement en juillet 1971 , peu après la publication du « manifeste des 343 ».
Il s'est notamment généralisé dans les sociétés occidentales dans les années 1960, avec les mouvements féministes qui s'y sont notamment développés dès la fin du XIX e siècle, avec des avancées marquées pour la période des années 1970-1990, mais faibles ou en déclin depuis.
Les différences entre les hommes et les femmes sont le produit de la société, de la culture, d'habitus et de stéréotypes. Le genre permet donc d'analyser les situations sociales, les comportements et les rôles de chacun.
Donner aux femmes le pouvoir d'agir
connaissent leurs droits : cela passe par l'éducation, à la liberté d'accéder à l'information. puissent revendiquer leurs droits : qu'elles aient une voix au sein leur famille tout comme dans la sphère publique, notamment en étant représentées dans les organes de décisions.
Second handicap : le manque de moyens donc le manque de ressources financières. Et troisième handicap : c'est la tradition ainsi que la religion. Voilà les obstacles majeurs à l'émancipation. D'un autre côté, je constate que l'autonomie financière est presque acquise.