On ne doit pas non plus prononcer le mot « corde » sur scène ou dans les coulisses. La personne qui dit le mot « corde » sur scène doit payer une amende qui consiste en une tournée de vin blanc. L'origine de cette superstition viendrait des premiers machinistes qui étaient d'anciens marins.
Quand la merde porte chance
Et ne vous attendez pas à des remerciements ; eux aussi attireraient le mauvais sort. Cette tradition remonterait au 19e siècle, alors que les spectateurs se rendaient au théâtre en voiture à cheval.
à cause de la lumière. Aux XVIIIe et XIXe siècles, les théâtres avaient abandonné les bougies comme éclairage, au profit de lampes brûlant de l'oxyde de calcium ( la "chaux vive"). Or, cette lumière ne mettant pas du tout en valeur le vert, on ne voyait pas les acteurs sur scène s'ils portaient cette couleur.
Il ne faut jamais utiliser le mot corde
La plupart des superstitions au théâtre viennent du monde naval. Et à l'époque, la corde sur un bateau n'était destinée qu'aux pendus qui s'étaient révoltés. Corde étant synonyme de mort, ce mot est banni des bateaux et des théâtres.
Sur un bateau, on ne dit jamais, les mots "corde" et "lapin". Pour "corde", dites plutôt “bout” (en prononçant le "t"). Vous pouvez aussi dire “écoute”, "filin", manœuvres… C'est plus précis que “cordes” car, de fait, des cordes, on en trouve vite beaucoup sur un voilier.
En souhaitant au comédien de se casser la jambe, on lui souhaitait ainsi la chance d'entrer en scène et d'être rémunéré. satisfaction. Si on en venait qu'à s'en casser une jambe, c'était signe que l'on avait beaucoup apprécié le spectacle.
A chaque pays sa superstition, car si le vert a la réputation de porter malheur en France, en Italie il s'agit du violet, en Angleterre, du vert et du bleu et en Espagne du jaune. Une superstition pourvue de plusieurs origines.
Selon la légende, Molière serait mort sur scène en jouant Le Malade imaginaire, le 17 février 1673. Le costume qu'il portait pour son rôle aurait été de couleur verte. Depuis, cette couleur est bannie des théâtres.
La seule corde présente dans un théâtre s'appelle la « corde à piano ». Nullement musicale, elle est faite d'acier de forte résistance pour servir de guide à un rideau. Le terme est autorisé lorsque l'élément est muni d'un nœud de pendu.
Très courante dans le monde du spectacle, la pratique consistant à se dire «merde» pour se souhaiter bonne chance remonte au XIXe siècle. Elle fait référence au crottin de cheval gisant à l'époque devant les salles de théâtre.
Côté couleur, c'était magnifique, mais ce pigment est instable, corrosif. Il contamine les couleurs voisines et le support sur lequel il est posé… et surtout, c'est un poison extrêmement violent. Pour les comédiens, porter un vêtement vert était donc très dangereux…
Les couleurs chaudes et les couleurs froides
Si, sur une scène de théâtre, l'éclairage est bleuté, voir violet, le spectateur aura l'impression que la scène qui suivra sera triste ou que cela représentera la mort de quelqu'un.
Pendrillons : petits rideaux placés sur les côtés de la scène. Plateau : le plateau désigne un espace plus important que la scène puisqu'il comprend aussi les coulisses et les dessous. Scène : c'est la partie du théâtre où se passe l'action. On utilise quelquefois le terme “proscenium” comme un synonime de scène.
Cordes. Il n'existe pas de superstition attestée de l'usage du mot corde sur les navires, même si celle-ci servait autrefois à pendre les mutins (Voir l'article détaillé Cordage). De ce fait, la tradition veut que le mot "corde" ne soit pas utilisé pour désigner un cordage.
La dernière partie de la pièce correspond au cinquième acte : le dénouement. C'est dans cette partie que la situation va se régler.
La couleur rouge revient au XIXe siècle dans les années 1820 / 1830 une fois le souvenir des massacres estompés. Cela coïncide avec les débuts du romantisme, où les décors de théâtre vont devenir plus importants encore. On veut alors leur donner une teinte « historique ». Le rouge va mettre en valeur la scène.
Au théâtre, les trois coups sont frappés avec un bâton appelé brigadier sur le plancher de la scène, juste avant le début d'une représentation, pour attirer l'attention du public, particulièrement quand il y a un lever de rideau. Cette tradition a tendance à disparaître en raison des nouveaux rapports scène-salle.
Le vert : la couleur de l'espoir.
Le noir pour les philosophes
Ainsi, une personne qui aime porter du noir aura plutôt tendance à préférer la solitude. Les philosophes, dont la couleur est le noir, ont un esprit contemplatif, valorisent la liberté d'expression et auraient besoin d'avoir leur propre espace.
Si le noir est la teinte ultra chic en toutes circonstances, le sauveur de toute fille en mal d'idées, il est à proscrire pour un mariage. Y compris pendant la soirée. Tout simplement parce que, dans nos contrées occidentales, le noir reste trop lié à l'idée de deuil et de tristesse.
C'est le chakra du cœur qui donne sa couleur à ce type d'aura. Elle est symbole de générosité, de compassion, de don de soi et de bienveillance. Les personnes dont l'aura est verte seraient douées pour la guérison et le soin des autres.
On se dit souvent merde pour se souhaiter bonne chance. Cela vient de l'époque où l'on se déplaçait en fiacre, notamment pour aller au théâtre. Plus les cochers faisaient d'allers venues devant celui-ci, plus il y avait de crottin devant.
La croyance du vert qui porte malheur pourrait aussi venir des éclairages de scène du XIXe, qui ne mettaient pas en valeur cette couleur. En effet, les théâtres avaient alors abandonné les bougies au profit de lampes à la "chaux vive".
Utiliser «bonne chance» pour souhaiter sincèrement bonne chance en français. Bonne chance est une expression française composée de deux mots. Vous pouvez utiliser cette expression : avant un entretien d'embauche : Bonne chance pour ton entretien !