Qu'est-ce que le risque stratégique ? Les risques stratégiques désignent les risques qui affectent une stratégie de gestion de l'entreprise ou les objectifs stratégiques. Ces risques peuvent être des incertitudes ou des opportunités et ils correspondent généralement aux problèmes clés qui préoccupe la direction.
Le risque stratégique est dû à l'environnement économique (croissance, inflation/déflation, crises), politique (tarifs, restrictions commerciales, fiscalité) ou démographique (vieillissement, fertilité décroissante, flux migratoires, inégalités).
Parmi d'autres risques, on peut trouver : les risques environnementaux, y compris les catastrophes naturelles. la gestion des risques des employés, telle que la conservation d'un nombre suffisant de membres du personnel et de remplaçants, la sécurité des employés et des compétences à jour.
L'accord de Bâle II classe les risques opérationnels en 7 catégories différentes : fraude interne, fraude externe, pratiques d'emploi et de sécurité au travail, pratiques liées aux clients, aux produits et aux activités commerciales, dommage aux actifs physiques, arrêt d'activité et échec des systèmes, gestion de l' ...
Un risque financier est un risque de perdre de l'argent à la suite d'une opération financière (sur un actif financier) ou à une opération économique ayant une incidence financière (par exemple une vente à crédit ou en devises étrangères).
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Le risque politique correspond à "l'ensemble des évènements ou décisions d'ordre politique ou administratif, nationales ou internationales pouvant entraîner des pertes économiques, commerciales ou financières pour l'entreprise, importatrice ou exportatrice, ou investissant à l'étranger".
En effet, la réforme Bâle 4 vise à définir des règles de calcul des risques plus strictes qui tendent à préciser les exigences minimales en matière de fonds propres et, surtout, à réduire les disparités d'un établissement ou d'un pays à un autre.
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
Primaire : action prioritaire, pour intervenir au plus tôt sur les facteurs de risques pour les supprimer ou les réduire ; Secondaire : suivre les risques et l'état de santé des salariés ; Tertiaire : limiter les conséquences d'un risque survenu, afin d'agir pour le maintien en emploi.
étape 1 : tout d'abord, mettre en place l'approche processus dans l'organisation ; étape 2 : ensuite identifier les processus sensibles ; étape 3 : puis identifier les activités prioritaires pour chaque processus sensible ; étape 4 : enfin, identifier les risques significatifs pour chaque activité prioritaire.
prévenir les risques susceptibles de mettre à mal le bon déroulement du projet. atténuer l'impact des risques projet inévitables en mettant en place des réponses adaptées. visualiser les risques positifs qui peuvent être transformés en force pour le projet s'ils sont détournés de la bonne façon.
Le risque de change est un risque auquel s'expose tout investisseur se portant acquéreur d'un actif libellé dans une autre devise que celle ayant cours légal dans son pays.
L'analyse du risque pays permet aux investisseurs de gérer leurs stratégies d'investissement. Chaque investissement est dirigé par calcul du risque et du rendement, rendu possible grâce à l'information transmise par les analystes.
Défaut de qualité, erreur de planification, sous-capacité de production, dommages matériels, problème de sourcing des fournisseurs, écueil technique, rupture du flux logistique font partie des risques les plus fréquents et à l'impact opérationnel le plus fort.
Le tableau de bord est un outil de pilotage d'une entreprise constitué de plusieurs indicateurs de performance et qui a pour principales vocations d'anticiper les évolutions prévisibles et d'inciter le chef d'entreprise à prendre des décisions.
risque zéro l.m.
Risque considéré comme nul. Celui qui entreprend ou suscite une action considère qu'il prend un risque nul lorsqu'il espère ne prendre aucun risque en accomplissant cette action.