Sont impudiques les vêtements moulants, transparents ou révélateurs de quelque manière que ce soit. Les jeunes filles doivent éviter les shorts courts et les jupes courtes, les hauts qui ne couvrent pas l'estomac et les vêtements qui ne couvrent pas les épaules ou qui ont des décolletés profonds devant ou dans le dos.
En effet, le code des couleurs liturgiques se voit constitué en autorité par l'article XVIII des Rubricae generales du Missel Romain de 1570. Ces couleurs signifiantes sont le blanc, le rouge, le vert, le violet et le noir. Le blanc représente la pureté, la joie, l'innocence et la vérité absolue.
Les couleurs des habits liturgiques tels que la chape, la chasuble, la dalmatique et l'étole renvoient à une période liturgique ou à une occasion spécifique. Les couleurs liturgiques ont été codifiées par Paul VI dans le Rite romain en 1969 et elles sont quatre : le blanc, le vert, le rouge et le violet.
L'étole, dérivé du latin stola qui signifie longue robe, lui-même du grec στολη (stolē), est un morceau de tissu porté sur les épaules, dans son usage profane, et un ornement liturgique de l'évêque, du prêtre et du diacre. Elle est l'insigne par excellence de la prêtrise.
La soutane intérieure (souvent appelée tout simplement soutane) est une robe portée par tous les clercs, moines, et souvent par des séminaristes. Les lecteurs et les sous-diacres la portent souvent quand ils sont à l'église, mais en général ils ne sont pas censés la porter au quotidien.
Le manuterge en tissu plus absorbant, est destiné à essuyer les mains du prêtre lors du lavement des mains, il est posé près de la burette d'eau. Le corporal, déployé au moment de l'offertoire et replié après la communion, est destiné à recevoir les offrandes qui deviendront le corps et le sang du Christ.
L'hostie, dans les rites liturgiques chrétiens, est du pain sans levain que l'officiant consacre pendant la célébration de l'Eucharistie pour le partager avec les fidèles au cours de la communion.
Il se plie en trois dans le sens de la longueur, puis en deux dans l'autre sens, de telle manière que soit visible sur la partie supérieure la croix brodée au centre.
Rouge. Le rouge, en liturgie, se réfère à l'Esprit saint, à la passion du Christ et aux martyrs.
La couleur blanche est celle de la divinité. Les partisans de l'usage des couleurs dominent à partir de la fin du XII e siècle. Les couleurs principales médiévales (blanc, jaune, rouge, vert, bleu et noir) se diffusent alors sur les vêtements et dans les églises.
On ne va pas à la messe pour se montrer ni pour se faire remarquer. C'est pourquoi je vous conseille d'éviter les tenues aux couleurs trop vives, aux imprimés trop voyants ou aux formes trop imposantes ou originales. De même, il serait complètement incongru de porter une tenue à paillettes ou à sequins.
Il est possible que votre prêtre exige que vos épaules soient couvertes afin de respecter la demeure de dieu et la cérémonie religieuse qui vous liera à votre bien-aimé.
Il s'agit d'une robe longue style Abaya, ample et fluide à manches longues également. Un khimar est intégré à la abaya, ce qui est très utile lorsque nous devons effectuer notre prière en dehors de chez soi, cela permet d'avoir l'ensemble de la tenue sous le coude.
La doctrine de l'Eglise catholique interdit en effet l'accès aux sacrements comme la communion ou la confession aux divorcés remariés, estimant que leur nouvelle union est une trahison devant Dieu de leur premier -- et unique -- conjoint.
Un cierge désigne une bougie dont l'usage est exclusivement réservé à un culte, spécifiquement dans le christianisme. Le cierge, qui peut être plus ou moins gros, long ou effilé selon sa destination, est, quand il n'est pas transporté lors d'une procession, par exemple, fixé sur un chandelier ou un pique-cierge.
L'orgue est joué majoritairement à l'aide d'un ou plusieurs claviers incluant souvent un pédalier (clavier actionné par les pieds).
Cathèdre. Le mot « cathèdre » vient du grec καθέδρα, kathedra qui signifie « siège ». La cathèdre est le siège destiné à l'évêque, le fauteuil à partir duquel l'évêque préside l'assemblée liturgique.
La bénédictine porte une robe noire à larges manches, une tunique sous la robe, un scapulaire noir, une guimpe blanche, un bandeau blanc et un voile noir. Au chœur, la religieuse bénédictine porte la coule monastique noire mais sans capuchon.
La coule, aussi appelée cuculle (du latin cucullus), est un vêtement à capuchon porté par les moines.
La robe-chasuble de nonne. Le vêtement monacal authentique. Robe tablier, chasuble de nonne. 2 Tailles, S et M.