Selon le sociolinguiste Michel de Coster, le nom de Bruxelles serait composé d'une part, du mot celte bruoc ou bruco signifiant un endroit broussailleux et marécageux, et, d'autre part, du terme latin cella signifiant le temple, l'existence d'un temple romain et de sanctuaires chrétiens étant attestée sur le site de la ...
Toponyme germanique composé de bruoc (« marais ») et de sella (« salle , habitation »), littéralement « habitation au marais ».
Le Moyen Âge. La date de 979 ne fait pas l'unanimité chez les historiens. Elle situerait la fondation de la ville lorsque Charles de France, duc de Basse-Lotharingie, fit construire un castrum sur une petite île de la Senne. Brosella (habitation des marais), comme le bourg se serait appelé alors, deviendra Bruxelles.
Aujourd'hui, le « x » de Bruxelles, se prononce « s », comme dans « soixante ». Il ne faut donc pas le proncer « ks », comme dans « boxe ». On prononce donc « bru-sèl », et non « bruk-sèl ».
Anvers, la ville la plus peuplée
Mais avec ses 527 763 habitants intra-muros, Anvers est belle et bien la première ville au classement des villes les plus peuplées de Belgique.
La région Bruxelles-Capitale (qui comprend la commune de Bruxelles, 3 300 ha) constitue l'entité la plus comparable à Paris par l'étendue de son territoire.
La Ville est dirigée par un exécutif, le Collège des Bourgmestre et Echevins avec, à sa tête, le Bourgmestre.
Entre 1482 et 1701, la Belgique (ainsi que le Luxembourg, les Pays-Bas et le nord de la France) est sous domination espagnole et forment les Pays-Bas espagnols. En 1648, les Provinces-Unies (noyau des Pays-Bas actuels) deviennent indépendantes et, en 1659, les régions de Lille et Dunkerque sont cédées à la France.
La période française de l'histoire de Belgique s'étend de l'occupation des Pays-Bas autrichiens et de la Principauté de Liège en 1792 suivie de l'annexion de ces territoires par la France en 1795 puis à leur cession officielle à perpétuité à la France par l'empereur du Saint-Empire, ancienne puissance souveraine, lors ...
Des Belges appelés Diables Rouges. Mais d'où vient ce surnom? Si la première confrontation entre Français et Belges date de 1904 (3-3), il faut remonter à 1906 pour comprendre le surnom de nos voisins.
Capitale de la Belgique et de 500 millions d'Européens, Bruxelles est une métropole internationale qui accueille les principales institutions de l'Union européenne, l'OTAN et la plus grande concentration de diplomates au monde.
Pour encourager les Diables Rouges, leur équipe nationale de football, les Belges hissent un peu partout leur drapeau tricolore noir, jaune et rouge.
Pour bien commencer la journée, rien de tel qu'un goedemorgen (bonjour) cordial et chaleureux pour se donner un petit coup de pep's !
Les trois langues principales sont, par ordre d'importance, le français (75 % de la population belge), le néerlandais (70 %) et l'anglais (40 %). Il importe de remarquer que le français (maternel ou acquis) est parlé par un nombre plus grand de personnes que le néerlandais.
La plage de Le plages de Bredene
Juste à l'est d'Ostende, la plage de quatre kilomètres à Bredene est un endroit charmant avec du sable blanc plat et des dunes herbeuses pittoresques. Connue comme une communauté thermale et station balnéaire plus détendue, Bredene est populaire auprès des familles.
À l'échelle mondiale, la ville d'Édimbourg (Écosse) a été désignée comme la meilleure ville du monde. « Dans tous les domaines, Édimbourg arrive en tête du classement mondial des villes les plus belles et les plus faciles à parcourir à pied », explique Will Gleason.
Ainsi, c'est Tokyo qui détient la palme cette année, avec un centre-ville peuplé de presque 14 millions d'habitants et une zone urbaine rassemblant 37.340.000 individus au total. Mais Tokyo perd chaque année des habitants et pourrait perdre son trône d'ici peu, note Civitatis.
Bruges, le joyau de la couronne
Au nord-ouest de Bruxelles se trouve la ville la plus visitée du pays et l'une des villes médiévales les mieux préservées au monde : Bruges.
Le français de Belgique est principalement parlé dans la Communauté française (Bruxelles et Wallonie), en rouge sur la carte. Cependant la région flamande compte aussi de nombreux francophones, de langue maternelle et seconde.