(Argot) Bravo.
Formé sur le mot «sahha» qui désigne la santé, bonne ou mauvaise, en arabe standard et dialectal, «bsahtek» est une locution communément utilisée aujourd'hui pour dire «bien joué !», «bravo !» ou encore «la classe !».
Bsahtek (ou psartek) signifie en arabe “que cette action apporte une bonne santé”. Le mot veut également dire dans le langage populaire “à ta santé”, ou encore “bien joué !”. Les ados l'emploient surtout pour féliciter quelqu'un ou encore le complimenter.
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
Le mot Psartek, peut aussi s'écrire bsartek, psahtek et sartek. Il signifie bravo, félicitations, bien joué. Les ados l'utilisent pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose, pour faire un compliment à quelqu'un. Par exemple : "Psartek, tu as eu ton Bac !".
Réponse de remerciement au compliment psartek/bsartek. Transcrit de l'arabe coranique « Allahi salmek » qui veut dire que Dieu t'apporte la paix.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Interjection. (Familier) Exclamation typique du sociolecte des banlieues versant beur qui est une prononciation dérivée du mot arabe « zerma », souvent utilisée pour marquer l'ironie ou le cynisme, voire le ridicule.
Nom issu de l'arabe « frère ». Prononcez « roya », avec un r guttural. Expression instaurant une relation de proximité avec un interlocuteur.
Étymologie. De l'arabe بِسْمِ اللّٰه , Bismillāh (« au nom de Dieu »).
Interjection. (Algérie) Merci.
Psartek est une variante de bsartek qui signifie "bravo", "félicitations", "bien joué". Le terme, apparu dans les années 2000, est issu de la langue arabe. Exemple : Psartek pour ton bac !
L'écriture la plus courante est cheh, mais on trouve aussi chèh, sheh et shèh.
Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
Khouya : prononcez « rouilla », frère en arabe, par extension, pote. Variante : khey.
De l'arabe خويا , khouya, forme dialectale de أخي , akhî (« mon frère »).
ou kha (khut) selon les régions.
(Date à préciser) De l'arabe بالك , belec (« fais attention ») composé de بال bel (« pensée ») et ك ec possessif 2 e personne du singulier ; littéralement « ta pensée ! ».
Zarma est un dérivé du terme arabe “zerma” employé pour marquer l'ironie, le cynisme et le ridicule. En réalité phonétique arabe, il n'est pas prononcé de la même façon : zaʁ.ma avec un “r” qui vient de la gorge”.
Zarma est une interjection, une exclamation argotique et qui a pour signification "purée", "la vache". Il s'agit d'une expression très familière.
Le mot vient de l'arabe et signifie « pet ». Mais comment une flatulence a-t-elle pu devenir un mot d'argot ? A l'instar du vent, le toz est un refus lorsque quelqu'un vous fait une proposition. Par dérivation, toz peut également signifier une forme d'indifférence.
Non il ne s'agit pas d'une nouvelle marque de lessive. "Askip"est tout simplement l'abréviation de "A ce qu'il paraît" et est le plus souvent utilisée dans les textos.
MINAUDER, verbe intrans. Faire des mines, prendre des poses, adopter des manières affectées pour plaire, pour séduire.
L'expression Allah y chafik s'utilise lorsqu'une personne est malade, comme vœu pour qu'elle se rétablisse. C'est une formule de réconfort qu'on adresse directement à cette personne, comme on lui dirait bon rétablissement , remets-toi bien , guéris vite .