SPÉCIATION, subst. fém. BIOL. ,,Formation, au cours de l'évolution biologique, d'espèces distinctes, génétiquement isolées les unes par rapport aux autres`` (L'Hér.
La spéciation résulte de la dérive génétique et de la sélection naturelle, qui sont les deux moteurs de l'évolution. Une espèce n'apparaît pas instantanément par une mutation conduisant à l'apparition d'un individu d'un type nouveau.
Apparition d'une nouvelle espèce par différenciation au sein d'une population.
La sélection naturelle est l'une des données essentielles de l'évolution des espèces. Ce processus va en effet sélectionner les individus dotés de certaines caractéristiques en fonction des contraintes d'un milieu donné (habitat, prédateurs, présence d'un partenaire pour la reproduction etc.)
Un mécanisme évolutif : la sélection naturelle
Ainsi les mutations, la dérive génétique et la sélection naturelle, en modifiant les populations, sont les mécanismes responsables de l'évolution de la biodiversité. Ces mécanismes peuvent entraîner la formation d'une nouvelle espèce, différente de l'espèce initiale.
Un gène, du grec ancien γένος / génos (« génération, naissance, origine »), est, en biologie, une séquence discrète et héritable de nucléotides dont l'expression affecte les caractères d'un organisme. L'ensemble des gènes et du matériel non codant d'un organisme constitue son génome.
La théorie de Darwin est une partie d'une théorie scientifique, celle de l'évolution des espèces. Selon lui, les espèces animales et végétales ont dû changer pour survivre, elles ont dû s'adapter aux variations de leur environnement.
La sélection naturelle est un mécanisme évolutif non aléatoire, à l'inverse de la dérive génétique. Plus une population possédera une forte diversité génétique plus elle sera capable de faire face à des modifications du milieu et donc de s'adapter et de survivre.
La sélection naturelle ne favorise pas les caractéristiques qui sont en quelque sorte supérieurs. Elle va plutôt favoriser les traits qui sont bénéfiques dans un environnement spécifique. Des traits utiles dans un environnement peuvent en fait être nocifs dans un autre.
Une espèce apparaît quand deux sous-populations d'une même population initiale ne peuvent plus se reproduire entre elles. Cette barrière de reproduction peut apparaître suite à une modification de l'environnement et/ou une modification génétique. On parle de spéciation.
La biodiversité, c'est le tissu vivant de notre planète. Cela recouvre l'ensemble des milieux naturels et des formes de vie (plantes, animaux, champignons, bactéries, etc.) et leurs interactions.
Par exemple, le cheval et l'âne sont deux espèces interfécondes mais leurs hybrides (mulet, bardot) le sont rarement ; la progéniture n'est pas féconde, il s'agit bien de deux espèces différentes.
Ces cinq causes sont désormais bien identifiées : le changement d'usage des terres et de la mer, l'exploitation directe de certains organismes, le changement climatique, la pollution, et les espèces exotiques envahissantes. Les changements d'usage des terres et de la mer.
Le temps va passer, les individus de l'espèce A vont évoluer, s'adapter aux conditions de la vie sur l'île et vont donner une espèce B. Si à un moment des individus de l'espèce A du continent retourne sur cette île, malgré leur ancètre commun, ils seront différents des autochtones B, on aura bien 2 espèces différentes.
La sélection intervient en fonction de la valeur sélective des allèles présents dans la population les uns par rapport aux autres, pas à une valeur absolue. Il existe plusieurs types de sélection : sélection naturelle et, pour certaines espèces, sélection sexuelle.
L'évolution, un processus par lequel les espèces se transforment. Ce sont les mécanismes par lesquels les populations varient, les espèces se transforment, naissent, s'adaptent.
La théorie de la dérive génétique a été établie par Motoo Kimura en 1968. Les effets de la dérive génétique sont d'autant plus importants que la population est petite, car les écarts observés par rapport aux fréquences alléliques y seront d'autant plus perceptibles.
La principale différence entre lamarckisme et darwinisme repose sur les mécanismes proposés pour expliquer l'évolution, Lamarck formule une loi de l'usage et du non-usage là où Darwin théorise la sélection naturelle.
Quand, dans L'origine des espèces (1859), Darwin propose sa théorie révolutionnaire, il n'a qu'un véritable rival1, le Français Jean-Baptiste Lamarck (1744-1829), qui a présenté ses idées transformistes dès 1800 dans son Discours d'ouverture du Cours de l'an VIII.
La théorie de l'évolution suggère que toutes les espèces vivantes sont en perpétuelle transformation et subissent au fil du temps et des générations des modifications morphologiques comme génétiques. Ce concept a été présenté par Charles Darwin dans son ouvrage L'origine des espèces publié le 24 novembre 1859.
Activité : La notion d'espèce.
Une espèce est un groupe d'êtres vivants plus ou moins ressemblant, qui peuvent se reproduire entre eux. On dit qu'ils sont interféconds. Ils doivent donner une descendance fertile (qui peut se reproduire). Les individus vivent au même endroit.
Les espèces, c'est tout simplement de l'argent liquide. Elles se rapportent donc aux différentes déclinaisons physiques de la monnaie, c'est-à-dire les billets de banque mais aussi les pièces de monnaie.
La définition la plus simple d'un écosystème est la suivante : il s'agit d'un ensemble d'être vivants qui vivent au sein d'un milieu ou d'un environnement spécifique et interagissent entre eux au sein de ce milieu et avec ce milieu.