On parle d'un état dans lequel une personne se sent à l'aise. Il s'agit d'un positionnement connu qui assure un faible niveau d'anxiété, et qui évite le stress de trop de nouveauté.
La zone de confort est un ensemble d'habitudes que nous entretenons. Ce sont à la fois des comportements que nous répétons et qui nous rassurent. Mais ce sont également des pensées et des schémas cognitifs que nous perpétuons sans les changer ni les remettre en cause.
Sortir de sa zone de confort permet aussi de retrouver l'excitation liée à la découverte et l'apprentissage des autres et de soi-même. Cela stimule donc votre curiosité. En cela même, sortir de sa zone de confort évite l'ennui et la monotonie.
La zone d'apprentissage - ou d'extension - est à l'extérieur de la zone de confort. Cet espace propose des défis et demande aux enfants de prendre des risques dans leur apprentissage.
La zone proximale du développement est la capacité de réaliser une action avec une difficulté très limitée. Il s'agit donc d'une action qu'un enfant peut faire seul ou avec un peu d'aide. Avec les enfants à besoins particuliers, cette zone est encore plus importante à surveiller!
La zone proximale de développement (ZPD) est un concept créé par le psychologue Lev Vygotsky. Selon Vygotsky, c'est la différence entre le niveau de résolution de problèmes avec l'aide d'un adulte ou d'un pair et celui atteint seul.
Rester dans sa zone de confort n'est pas mal en soi, cela permet d'avoir une certaine stabilité et un certain confort pour réaliser ses tâches au quotidien. Il faut donc apprendre à distinguer les situations que nous subissons de celles qui nous paraissent trop confortables et ne nous épanouissent plus.
L'agoraphobie est un trouble dont la définition psychiatrique peut se résumer par la peur de sortir de chez soi ou de ne pas pouvoir s'échapper facilement d'un endroit. Cette phobie peut avoir des conséquences lourdes sur la vie quotidienne et sociale du patient, et cela ne se guérit pas du jour au lendemain.
Mais la boxe est aussi pour d'autres raisons une très bonne façon de sortir de sa zone de confort.
Nous connaissons d'avance nos habitudes et nos routines. Nous nous sentons en sécurité et même parfois emprisonné par notre confort. Il nous permet cependant d'agir de façon automatique, naturel et sans angoisse dans le monde de tous les jours.
Plus on fait de petites actions hors de notre zone de confort plus il devient facile de les faire à l'avenir. Et plus notre champ des possibles s'élargit. Des petites actions régulières provoquent des résultats énormes sur une période de temps prolongé !
Rester à la maison a des conséquences négatives sur notre bien-être psycho-physique. Selon une étude publiée dans la revue "Current Biology", cette habitude peut entraîner une augmentation du risque d'anxiété et d'insomnie.
Cette peur se manifeste par un désir d'éviter la société, une peur morbide des gens et de leur présence. Considéré comme une forme pathologique de la timidité, le mot anthropophobie vient du grec « anthropo » qui signifie homme, et « phobie » qui signifie peur.
La névrose désigne un ou plusieurs symptômes d'origine psychologique perçus comme contraignants et irrationnels par le sujet qui en souffre. Le patient présente des manifestations psychologiques et physiques irrépressibles (angoisses, phobies, obsessions, compulsions, crises émotionnelles, douleurs somatiques…)
Développée par Jean Piaget (1964) en réaction au behaviorisme, la théorie constructiviste met en avant le fait que les activités et les capacités cognitives inhérentes à chaque sujet lui permettent de comprendre et d'appréhender les réalités qui l'entourent.
Allal (1979) évoque similairement un « décalage optimal » entre la structure de la tâche et la structure de l'élève.
Vygotski, « Apprentissage et développement préscolaire » (1935), Société Française, n° 2(52), pp. 31-34. Rochex, J.Y. (1995), L'œuvre de Vygotski : fondements par une psychologie historico-culturelle. Revue française de Pédagogie, N° 120, juillet-août-septembre, pp.
Mais d'où vient ce chiffre de 21 jours ? La première fois qu'il a été mentionné au sujet d'habitudes, ce fut par le docteur Maltz, un chirurgien plastique qui a exercé dans les années 1950/1960. Ce dernier a constaté, et écrit, que ses patients mettaient minimum 21 jours pour s'habituer à leur nouveau corps.
Vous devez comprendre de quoi vous avez peur pour pouvoir l'affronter. Remettez en question les raisons derrière vos peurs, puis faites-leur face pour remettre en question leur réalité. Posez-vous plutôt des questions comme les suivantes. Quelles sont les choses qui pourraient se produire et qui me font peur ?