Forme décalquée sur l'expression « malgré qu'il en ait », évitant un malgré que présumé fautif : voir malgré.
C'est le verbe "avoir" conjugué à la troisième personne au subjonctif présent (qu'il/elle/on ait). Exemple : "Qu'il ait raison ou non, cela m'est égal !" Remarquez, dans cet exemple, la présence d'un autre [è], qui s'écrit cette fois-ci "est", puisqu'il s'agit du verbe "être" !
La réponse simple. On écrit « qu'il ait » ou « qu'il est » selon le verbe, le temps et le mode employés.
Il faut écrire : J'exige qu'il ait fini son rapport avant demain. Remplaçons « est » par « était » : « J'exige qu'il était fini son rapport avant demain. » Cela ne veut rien dire. Il ne s'agit donc pas ici du verbe « être », mais du verbe « avoir » : il faut écrire « ait ». Phrase correcte.
Les deux sont possibles selon le degré de réalité : « qui ait un sens », c'est hypothétique, un souhait, etc. « qui a un sens », c'est plus ancré dans la réalité, on sait que l'on va trouver cette activité ou qu'on la pratique déjà.
Il faut se poser les bonnes questions : ce petit mot, est-ce que c'est le verbe avoir ou le verbe être ? Et quel est son sujet : qui « est » ? Si c'est tu , on n'écrit pas tu est , ni tu ai , on écrit tu es .
"Qui plus est" est une locution signifiant "de plus" ou "en outre". On l'utilise pour surenchérir. La proposition qui suit "qui plus est" est toujours en relation avec celle qui la précède et l'accentue. Exemple : Il est désagréable.
On écrit aie, aies ou ait quand il s'agit du verbe avoir au présent du subjonctif (les trois premières personnes). Il faudrait que j'aie toutes les réponses avant lundi. Je souhaite que tu n'aies que des réussites. L'avez-vous vu avant qu'il n'ait rencontré le directeur ?
Le subjonctif passé sert à exprimer une action terminée qui s'est produite avant une autre. Elle souhaite que tu aies complété le ménage avant qu'elle arrive. Je lui explique que je suis contente qu'il ait réussi son examen.
Bonjour, "Qu'est-ce qui t'arrive ?" est parfaitement correct. Quelque chose est en train de t'arriver. "quelque chose" est le sujet réel, on peut donc parfaitement dire "qu'est-ce qui t'arrive".
La phrase est-ce normal est une question, dans laquelle l'ordre du sujet ( ce ) et du verbe ( est ) est inversé. Dans une phrase qui ne serait pas sous forme de question, on aurait plutôt c'est normal . Quand on inverse l'ordre du sujet et du verbe dans une question, on ajoute un trait d'union entre ces deux mots.
La phrase nominale (qui n'est pas seulement constituée d'un nom, mais peut aussi être formée d'un adjectif, d'un adverbe...) est en réalité une phrase sans verbe. Privée de l'ancrage situationnel donné par le verbe, la phrase nominale est particulièrement sensible au contexte.
Les verbes conjugués à la première personne du singulier se terminent par -ai au futur de l'indicatif et par -ais au conditionnel présent.
L'astuce : On écrit toujours "aie" qui ne prend JAMAIS de "s". Les exemples : - Aie confiance.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
T'ai est le pronom personnel te (t') accompagné du verbe avoir au présent de l'indicatif à la 1re personne du singulier. T'aie est également le pronom personnel te (t') accompagné du verbe avoir, mais au subjonctif présent à la 1re personne du singulier.
Synonyme "en effet"
avec certitude, bien, bien sûr, certainement, certes, d'accord, d'accord!, décidément, effectivement, forcé de, justement, ok, précisément, réellement, sûrement, tout de même, tout juste, très bien, véritablement, vraiment, d'acc, O.K. adv.
Forme interrogative de "je peux" qui induit que le sujet questionne sur sa possibilité de faire quelque chose. Exemple : Puis-je vous parler en privé madame, ce que j'ai à vous dire ne peut être entendu par vos hôtes.
« Qui mieux est et qui pis est sont concurrencés, dans la langue ordinaire, par ce qui est mieux, ce qui est pis (ou pire) », lit-on dans Le Bon Usage. C'est oublier que lesdites graphies ont également subi − et subissent encore à l'occasion − la concurrence, dans la langue littéraire, de ce qui (plus, pis, mieux) est.
Est : Le verbe être (es, est). Il peut se conjuguer à l'imparfait : Tu es belle. Tu étais belle.
You're the BEST!
Il est bien rare de croiser cette expression correctement orthographiée. Parmi les erreurs courantes : "moi qui ais", "moi qui ait" ou pire (car on emploie le verbe être au lieu d'avoir !) "moi qui es", "moi qui est". Or, la seule orthographe valable est "moi qui ai".