La clepsydre est l'objet présent à côté de la porte de chaque cellule du fort. C'est une horloge à eau qui mesure le temps restant pour réaliser une épreuve. Elle est similaire à un sablier. Pour les épreuves en extérieur, un chronomètre est utilisé.
Sablier et clepsydre : quelle différence ? Mais, attention au piège. Car, contrairement à ce qu'il se passe lors de l'écoulement de sable dans un sablier, le débit de l'eau dans une clepsydre n'est pas constant. Lorsque le niveau d'eau baisse, la pression varie et le débit se réduit.
Principe de fonctionnement d'une clepsydre
Dans sa forme la plus primitive, la clepsydre, sur le même principe qu'un sablier, n'est constituée que d'un bol unique percé d'un trou à son point le plus bas, par lequel l'eau s'évacue. La durée écoulée se mesure à l'aune de graduations gravées à l'intérieur du récipient.
Notre clepsydre sera constituée par 2 bouteilles d'eau minérale : la bouteille supérieure sera emboîtée dans celle du bas, préalablement découpée. Le fond sera enlevé pour faciliter le remplissage par les jeunes élèves. Le jet sortira parallèlement à l'axe de la bouteille.
Horloge à eau utilisée dans l'Antiquité. (L'eau remplissait une cuve munie à l'intérieur d'une échelle horaire et s'écoulait par un orifice ménagé à la base du récipient.)
ostracisme
-C., à Athènes, permettant de bannir pour dix ans les citoyens dont on craignait la puissance ou l'ambition politique. 2. Action de tenir quelqu'un qui ne plaît pas à l'écart d'un groupe, d'une société, d'une manière discriminatoire et injuste : Être frappé d'ostracisme.
La plus ancienne, ayant été découverte à Karnak en 1904, a été datée du règne d'Aménophis III, vers -1400. C'est un récipient se vidant pour indiquer une durée de temps.
Le principe de la clepsydre est simple : l'eau s'écoule d'un récipient dans un autre qui "vole" son eau au premier. Puis, on mesure l'eau perdue du premier ou l'eau reçue par le second et on convertit en mesure du temps écoulé.
Faire un trou au milieu des deux bouchons collés, suffisamment grand pour que la semoule puisse passer. Verser la semoule dans une bouteille d'Orangina puis visser chaque bouteille à son bouchon. Votre sablier est prêt !
L'horloge à eau, également appelée clepsydre, est l'un des plus anciens dispositifs de mesure du temps. Ces horloges étaient utilisées par les civilisations égyptienne et chinoise au XVIe siècle avant J. -C. Elles fonctionnaient par écoulement d'eau ou bien de mercure.
Introduit en Europe au cours du moyen-âge, les marins se sont vite rendus compte que le sablier était plus stable que la clepsydre, et que sa vitesse d'écoulement constante le rendait plus pratique pour mesurer les durées intermédiaires.
L'invention de l'heure
C'est des Babyloniens que vient l'idée de diviser la journée, c'est-à-dire la période allant du lever du soleil à son coucher, en douze heures. La pratique est reprise ensuite par les Grecs puis les Romains. À l'origine, l'heure est simplement le douzième d'une journée, quelle que soit la saison.
En retournant le sablier, le compartiment inférieur devient le compartiment supérieur. Le sable s'écoule alors par l'ouverture, entraîné par son poids. Comme l'ouverture est petite, l'écoulement du sable est lent. Le sable s'écoule jusqu'à épuisement du compartiment supérieur.
La clepsydre est l'objet présent à côté de la porte de chaque cellule du fort. C'est une horloge à eau qui mesure le temps restant pour réaliser une épreuve. Elle est similaire à un sablier.
Vitruve dans son introduction indique que la première horloge à eau fut inventée par Ctesibios d'Alexandrie, et il en décrit deux versions qui ont en commun le fait qu'elles sont à débit constant, avec « un orifice percé dans une lame d'or ou dans une pierre précieuse ; ces matières, en effet, ne s'usent pas par le ...
Dans ce sablier, nous avons utilisé du sable d'Hawaï, sable naturel (donc irrégulier) dont le diamètre des grains est compris entre 0.3 et 0.5 mm.
La charge du sable est faite à travers d'un petit orifice dans l'une de ses couvertures. La manœuvre de remplir le sablier lors la cérémonie, est plus simple : nous avons à seulement enlever la vis qui couvre l'orifice, nous plaçons l'entonnoir et nous versons les sables.
Prendre 2 bouteilles, percer un trou dans chaque bouchon, coller les 2 bouchons l'un contre l'autre. Découper le fond de la bouteille du haut . Verser dans la bouteille du haut du sable fin. Dès que les trois minutes sont passées , arrêter.
Quand les montres n'existaient pas encore, on lisait l'heure grâce à un gnomon puis un cadran solaire. Le gnomon est un simple bâton planté verticalement dans le sol. Il permet facilement, en n'importe quel endroit, d'observer le mouvement de l'ombre du soleil. C'est l'ancêtre du cadran solaire.
Sa notion vient tout simplement du fait d'observer la répétition de phénomène naturel, plus précisément des cycles temporels. Le jour commence par le lever du soleil et se termine à la tombée de la nuit. Le soleil fait de nouveau son apparition et le cycle revient. Le même mouvement répétitif s'observe avec la lune.
Au Moyen Âge, pour savoir l'heure, on faisait bruler des bougies graduées. Alors, des hommes ont inventé les premières horloges mécaniques. Leurs aiguilles tournaient grâce à des roues crantées, des ressorts. Peu à peu, des inventeurs ont réussi à fabriquer des horloges de plus en plus petites.
Petit appareil en verre, constitué de deux récipients communiquant par un étroit conduit où s'écoule du sable fin, qui sert à mesurer le temps. 2. Vieux. Petit récipient contenant le sable fin qu'on répandait jadis sur l'écriture qu'on voulait sécher.
L'autonomie dans la gestion du temps : le sablier peut vous éviter par exemple de presser votre enfant avec des « dépêche-toi »(anxiogènes et inefficaces) puisque c'est lui qui s'amusera à se challenger avec son propre sablier qu'il manipulera à sa guise. « À la fin du sablier, les chaussures sont mises !
Pour mesurer le temps de façon précise, l'homme a alors utilisé le sable. Dans un sablier, l'écoulement du sable de l'ampoule en verre supérieure vers celle du bas, se fait en effet selon une vitesse constante car dans ce cas c'est la pente qui déclenche l'écoulement du sable et pas la hauteur de la colonne.