Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000).
Le taux moyen de mortalité par cancer s'établit à 201 décès pour 100 000 habitants dans les pays de l'OCDE (Graphique 3.13). Les taux les plus élevés sont observés en Hongrie, en République slovaque et en Slovénie (plus de 240), les plus faibles au Mexique, en Turquie et en Corée (165 ou moins).
- Y a-t-il davantage de cancers aujourd'hui qu'autrefois? En valeur absolue, il y a plus de cancers car la population augmente et qu'il y a une plus grande proportion de gens âgés.
Nous en avons désormais la certitude, tous les êtres multicellulaires animaux et végétaux sont porteurs de cancers.
Quels sont les cancers qui tuent le plus en France ? Avec 46 363 nouveaux cas estimés en 2018 (31 231 hommes et 15 132 femmes), le cancer du poumon constitue la première cause de décès par cancer en France avec 33 117 décès estimés en 2018 (22 761 hommes et 10 356 femmes).
Taux de survie compris entre 20 % et 80 % : Cancer du côlon-rectum, de la bouche et pharynx, de la vessie, du rein, de l'estomac, du col de l'utérus, des ovaires, du larynx, ainsi que lymphomes non hodgkiniens et les leucémies aiguës.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Peut-on en guérir ? "Dans des cas très exceptionnels, il est possible de guérir d'un cancer métastatique, mais cela reste très rare, précise l'experte. La maladie n'est pas curable mais traitable. On arrive à faire régresser les métastases et à contrôler la maladie pour éviter ses complications.
Stress, hérédité, surpoids, comportements à risque, pollution, peuvent être autant d'éléments d'explication envisageables mais pas seulement. Car « le cancer est une maladie multifactorielle, [et] aucun facteur isolé n'est capable de provoquer la maladie à lui seul. »
La probabilité pour un individu d'avoir un cancer au cours de sa vie est actuellement évaluée, sur la base de l'incidence 1988-1992, à 46,9 % pour les hommes (soit près d'un homme sur 2), et 36,6 % pour les femmes (soit plus d'une femme sur 3) (Ménégoz et Chérié-Challine, 1998).
Les cancers qui se soignent le mieux chez l'homme sont : les cancers de la prostate, le cancer du côlon, suivi des cancers ORL.
La Suisse moins touchée
Avec 92,48 morts dus au cancer pour 100'000 adultes, la Suisse se place au-dessous de la moyenne mondiale.
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
Les maladies dont le pic d'incidence survient durant cette période de la vie sont le lymphome de Hodgkin (pic d'incidence entre 15-30 ans), le cancer du testicule (pic entre 25-40 ans) et certains sarcomes (pic entre 10-20 ans).
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Le cancer du pancréas, ce tueur invisible.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Parmi les principaux citons l'alimentation (consommation de pesticides, ingestion de parabènes, etc.), la consommation d'alcool et de tabac (a fortiori avec la prise d'une pilule contraceptive), l'exposition à des toxiques, l'hérédité (cancer du sein et du côlon notamment), certaines pathologies susceptibles d'évoluer ...
Le cancer foudroyant est une maladie qui se propage très rapidement. Certaines tumeurs comme au pancréas, au sein, au cerveau ou au poumon peuvent survenir foudroyants.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Une régression spontanée sur 60 000 à 100 000 cancers
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques.
Chaque année, on enregistre plus de 43 000 nouveaux cas de cancers colorectaux en France. La survie nette est de 63 % à 5 ans (62 % chez l'homme, 65 % chez la femme) pour les personnes diagnostiquées entre 2010 et 2015. A 10 ans, elle est de 57 % pour les personnes diagnostiquées en 2010.