"La Cité interdite a été bâtie par l'empereur Yongle, troisième empereur de la dynastie Ming, entre 1406 et 1420, qui déplace la capitale de Nankin à Pékin afin de mieux contrôler la frontière nord, d'où venaient les Mongols.
Véritable petite ville, son nom provient du fait que son entrée était strictement interdite à tout étranger. C'est sous l'empereur Yongle de la dynastie Ming que la construction de la Cité Interdite commença en 1406.
La Cité interdite, née sous l'impulsion de l'impitoyable Ming Yongle, fut la résidence de vingt-quatre empereurs, de 1420 à 1911. Devenue aujourd'hui un musée, elle reste l'un des sites les plus démesurés et mystérieux du monde, tout y étant signification et représentation.
A Pékin, celle que l'on appelle la Cité Interdite (Gu Gong en chinois) est un imposant palais de 72 hectares datant du XVème siècle. Appartenant aux dynasties des Ming et Qing, c'est l'un des palais les plus anciens et mieux conservés du pays.
La Cité interdite sera habitée par 24 empereurs des dynasties Ming et Qing, de 1420 à 1911.
Vers 220 av. J. -C., Qin Shin Huang entreprit de réunir des tronçons de fortifications existants pour en faire un système défensif cohérent contre les invasions venues du nord. Poursuivis jusque sous les Ming (1368-1644), ces travaux ont produit le plus gigantesque ouvrage de génie militaire du monde.
Les palais, appelés aussi ensemble architectural de style impérial, sont des édifices grandioses. Ils ont été érigés sur la demande des empereurs de la Chine antique dans le but de renforcer leur pouvoir, d'accentuer la majesté de leur autorité et de pouvoir satisfaire leur vie luxueuse.
Véritable fortification, la Grande Muraille a été mise en place pour protéger la frontière nord de la Chine. Inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco comme valeur universelle exceptionnelle, la Grande Muraille s'étire entre Shanhaiguan à l'est et Jiayuguan à l'ouest.
En Chine continentale, le tsien-nien se trouve essentiellement dans le Sud. Le style s'est développé dans la province du Kouangtong, peut-être à cause du che-wan tao [石彎陶], décoration de petits personnages à l'allure de poupées en porcelaine ornant les maisons, explique M.
Le siheyuan est considéré comme la figure emblématique de l'habitat traditionnel chinois. Avec ses briques et tuiles, ses poutres et piliers, ce type de résidence incarne un idéal d'esthétique chinoise. Tous ses détails font d'ailleurs référence à la culture chinoise, si profonde et si ancienne.
Semblable à un dragon chinois, la Grande Muraille de Chine se fraie un chemin à travers plaines et déserts, montagnes et plateaux. Sa longueur est estimée à 8 852 km.
L'État de Wei tombe en 225 et Chu est contraint de se soumettre à son tour en 223 après une résistance vaillante. Enfin, tant les derniers territoires appartenant encore à la dynastie Zhou à Luoyang que le royaume de Qi sont conquis en 221, année qui marque l'unification définitive de la Chine par Qin.
La Muraille de Chine est donc détruite par dynamitage, au moyen de 700 kilos d'explosifs le 27 mai 2000 à 13h. C'est le plus grand bâtiment d'Europe ainsi détruit.
Il est possible de visiter la Cité interdite à Pékin de 8h30 à 17h d'avril à octobre, et de 8h30 à 16h30 entre novembre et mars, sauf le lundi ou le palais est fermé.
"La Cité interdite a été bâtie par l'empereur Yongle, troisième empereur de la dynastie Ming, entre 1406 et 1420, qui déplace la capitale de Nankin à Pékin afin de mieux contrôler la frontière nord, d'où venaient les Mongols.
Le palais impérial des dynasties Ming et Qing à Beijing, connu sous le nom de Cité interdite, a été édifié entre 1406 et 1420 par l'empereur Ming Zhu Di et a vu couronner 14 empereurs Ming et 10 empereurs Qing au cours des 505 années suivantes.
La possibilité que la construction offrait de surveiller les mouvements des ennemis constitue également un atout indéniable. Enfin, par sa grande taille, en navigation maritime et fluviale, la pagode servait de point de repère, étant donné que les embarcadères ou les ponts en étaient proches.
Les maisons traditionnelles sont appelées Minka (民家), ce qui signifie littéralement "maison du peuple". Le style est né à l'époque Edo et l'apparence varie beaucoup d'une région à l'autre. Ces résidences disposent de chambres de style japonais, appelés Washitsu (和室).
Un dougong (chinois : 斗拱 ; pinyin : dǒugǒng) est un élément architectural spécifique au monde chinois, basé sur un emboîtement de supports en bois.