Selon le journaliste américain Mark Adams, Platon était un penseur « profondément influencé par les pythagoriciens », qui croyaient en un code mathématique à l'origine de la vie, qu'il fallait déchiffrer pour comprendre la vérité de notre existence.
L'inspiration qui réveille l'un de l'âme, la seule provenant directement des dieux eux-mêmes, est la seule qui soit véritablement divine. Lorsque Proclus, à l'instar de Hermias, parle de l'inspiration des autres facultés en termes de ἔνθεος, ἐνθουσιασμός, etc.
Socrate n'a rien écrit, mais c'est bien un personnage historique, car ses disciples (Platon et Xénophon) ont vécu à la même époque et l'on connu. On peut donc considérer cela comme des témoignages historiques. De toutes façon, c'est son discours qui importe.
-C.), à la fin de la guerre du Péloponnèse. Il passe huit ans auprès de Socrate mais ne peut être témoin de la mort inique de son maître. Il poursuit sa formation auprès d'Euclide le Socratique. Il voyage et rencontre philosophes et mathématiciens de différentes écoles.
Platon veut s'élever au-dessus de la réalité et accéder à la Vérité par la réminiscence ; Aristote recherche une adéquation à la réalité à établir grâce aux lois logiques. Pour le premier les principes précèdent les faits, pour le second c'est l'inverse, les faits passent avant les principes.
Platon est le disciple de Socrate durant neuf ans, de 407 à la mort du maître, en 399 av. J. -C. Malade, plein de regrets déchirants et d'indignation après le procès et la condamnation de Socrate, il ne peut assister à la mort du philosophe.
Les idées du philosophe
Il affirme que la raison est vide avant que les sens n'entrent en action. - Il pose les lois du raisonnement et fonde la logique comme instrument de précision du discours philosophique.
Socrate est condamné à mort par le tribunal de l'Héliée, à Athènes, en 399 avant J. -C. Plusieurs amis de Socrate proposent de le défendre, mais il refuse leur aide. Acceptant la sentence, bien que se défendant de l'accusation d'impiété, il boit volontairement la ciguë.
L'amour platonique provient du nom du philosophe grec Platon. Il ne s'agit pas d'une théorie exprimée par Platon mais d'une extension de celle exposée dans le Banquet, la République et le Phèdre. Il exprime le fait que ce sont des qualités qui sont aimées dans une personne, et non la personne elle-même.
Le projet philosophique de Platon constitue un système complet de recherche du Vrai, du Beau, du Juste, du Bien. Il est indissociable d'un projet politique. Platon veut que la cité soit gouvernée par les sages. Platon est le fondateur de la métaphysique.
Aristote est un philosophe grec né à Stagire (actuelle Stavros) en Macédoine (d'où le surnom de « Stagirite »), en -384, et décédé à Chalcis, en Eubée, en -322.
Déjà presque toute la région du bas-ventre était froide ; découvrant son visage (car il se l'était couvert), Socrate dit – et ce furent là les derniers mots qu'il prononça : « Criton, nous devons un coq à Esculape. Payez cette dette, ne soyez pas négligents.
"Connais-toi toi-même" est l'un des préceptes gravés sur le fronton du temple de Delphes, et souvent rapporté dans les écrits de Platon, dans les mots de Socrate.
Dans La République, Platon propose une célèbre théorie de la connaissance qui divise les choses connaissables en deux : le monde intelligible et le monde sensible. Le monde des choses sensibles est celui où celles-ci apparaissent sous la forme « d'images ».
Platon a dit...
“Les hommes ne veulent pas ce qu'ils font, mais ce en vue de quoi ils font ce qu'ils font.” “L'homme est la mesure de toute chose.” “Les yeux de l'esprit ne commencent à être perçants que quand ceux du corps commencent à baisser.”
Pour Platon, la réalité n'est donc non pas dans le monde sensible, mais dans le « monde » de la connaissance et des Formes. La représentation du monde sensible n'est qu'une illusion : en sortant de la caverne, en accédant à la connaissance le prisonnier accède donc à la réalité du monde.
Dans son discours — à propos duquel Platon ironise —, Aristophane soutient la thèse suivante : les hommes ne se rendent pas compte du pouvoir d'Éros, sans quoi ils lui auraient élevé les temples les plus imposants ; aucun des dieux n'est mieux disposé à l'égard des humains.
L'amour au sens strict n'est pas un sentiment inné : il est un sentiment généré. Généré à partir de tendances et de pulsions qui sont aptes à se transformer. Il faudra donc examiner cette transformation si l'on veut comprendre quelque chose à l'amour.
Bref, le latin amor fait amor en occitan et aurait donc dû donner logiquement en français ameur et non amor. Fin finala, le mot amour que vous entendez en français provient bien de la langue des troubadours, donc de l'occitan.
Socrate, Xénophon lui-même en témoigne [20] I 1, 10., passait son temps dehors, sur l'agora et dans d'autres lieux de rencontre tels que les gymnases ; bien loin de ne recevoir chez lui que des amis choisis, il parlait dans ces lieux publics au bénéfice de quiconque voulait l'entendre.
Généralement, leurs prénoms étaient suivis par les prénoms de ses pères dans le génitif. Ainsi, Aristote s'appelait Ἀριστοτέλης Νικομάχου (Aristote, fils de Nicomache), Platon s'appelait Πλάτων Ἀρίστωνος (Platon, fils d'Ariston) et Socrate s'appelait Σωκράτης Σωφρονίσκου (Socrate, fils de Sophronisque).
Socrate est considéré par beaucoup comme le père fondateur de la philosophie occidentale et comme l'une des figures les plus énigmatiques de l'histoire ancienne.
Platon appartient à une des plus illustres familles d'Athènes. Son nom d'Aristoclès est très tôt changé en celui de Platon (de platus, large), surnom qui lui est sans doute attribué à cause de la largeur de ses épaules ou de son front. Il étudie les lettres, les mathématiques, la musique et la gymnastique.
René Descartes est un mathématicien, physicien et philosophe français, né le 31 mars 1596 à La Haye-en-Touraine et mort le 11 février 1650 à Stockholm.
Le bonheur est le sentiment de la pleine évolution de l'activité rationnelle 4). L'idée est grande et profonde. Aussi Aristote, lorsqu'il l'expose, se sent-il comme emporté par une sorte d'en- ]thousiasme.