Né en 1820, il est le fils des Thénardier qui ne l'aiment pas, ne veulent pas de lui et c'est pour cela qu'il vit dans la rue (il a l'habitude de dire « Je rentre dans la rue » quand il sort d'une maison). Il ne les voit que de temps à autre, mais il aidera tout de même son père à s'évader de prison.
Gavroche est un enfant parisien, personnage du roman de Victor Hugo, Les Misérables. Un enfant vivant dans la misère, la peur, les rats et les souris ainsi que les égouts, abandonné dans la rue par ses parents, mais pourtant resté joyeux.
La vie du personnage dans le roman :
Gavroche est le fils des Thénardier. Il est généreux et offre aux plus malheureux ce qu'il vole. Il trouve un asile aux enfants perdus. Il vit livré à lui même sur les trottoirs parisiens où il meurt lors de l'insurrection de 1832.
Jondrette est un faux nom, Gavroche l'est aussi (à l'origine, c'était d'ailleurs Chavroche. L'utilisation du "G" selon certains seraient à rapprocher de l'espagnol "gavacho" = malpropre, terme utilisé pour désigner les Français ; le féminin gavacha = fille publique).
Il jouait on ne sait quel effrayant jeu de cache-cache avec la mort ; chaque fois que la face camarde du spectre s'approchait, le gamin lui donnait une pichenette. Une balle pourtant, mieux ajustée ou plus traître que les autres, finit par atteindre l'enfant feu follet. On vit Gavroche chanceler, puis il s'affaissa.
La casquette Gavroche et son histoire
Cette casquette est aussi connue sous le nom de la casquette Irlandaise, une casquette reconnaissable par sa visière et sa forme bombée. Si au début elle était synonyme de révolte et souvent apparentée au peuple, cette dernière a été vite adoptée par tous et toutes.
L'un des airs les plus célèbres du répertoire de comédie musicale est la chanson de Gavroche, le gamin parisien révolté durant l'Insurrection républicaine à Paris en juin 1832 : « Je suis tombé par terre, C'est la faute à Voltaire, Le nez dans le ruisseau, C'est la faute à Rousseau. » Les paroles furent écrites par ...
Les gardes nationaux lui tirent dessus, et ses camarades insurgés, retranchés derrière la barricade, suivent la scène avec inquiétude.] Le spectacle était épouvantable et charmant. Gavroche, fusillé, taquinait la fusillade.
Gavroche sort afin de récupérer les cartouches des soldats morts au combat. Au moment où Gavroche débarrassait de ses cartouches un sergent gisant (1) près d'une borne, une balle frappa le cadavre.
Le Manifeste. Cosette et Gavroche : les deux orphelins créés par Victor Hugo dans Les Misérables évoquent la fragilité de l'enfance dans une société violente. Ils nous rappellent qu'un enfant a non seulement besoin d'amour et d'attention, mais aussi d'un cadre familial stable et naturel.
Gavroche est un enfant rejeté par ses parents (ce sont les Thénardier), et qui vit dans la rue. Un soir, alors qu'il observe la devanture de la boutique d'un perruquier (1), il recueille deux autres enfants errants dans les rues de Paris. Et les deux enfants le suivirent comme ils auraient suivi un archevêque (2).
Couple de personnages des Misérables de Victor Hugo. Couple connu sous les traits des aubergistes auxquels Fantine a remis Cosette, ils ont pour enfants Éponine (qui mourra sur les barricades), Azelma et trois garçons, dont Gavroche.
Marius Pontmercy est un personnage du roman Les Misérables de Victor Hugo. Il tombe amoureux de Cosette et la marie à la fin du roman. Il est l'un des rares personnages qui survivent à la fin de l'histoire.
Qui est Gavroche ? Gamin malheureux, mais aussi "force en puissance", ce fils des Thénardier meurt lors d'une insurrection à l'âge de onze ou douze ans.
Elle est l'aînée des enfants des Thénardier. Elle a le même âge que Cosette, toutes les deux sont nées vers la fin de l'année 1815. Éponine a une sœur, Azelma, sa cadette de deux ans et leur frère cadet est Gavroche, né au début de l'hiver 1820.
Il est donc ramené au bagne de Toulon, cette fois écroué sous le numéro 9430. Deux mois plus tard, le 16 novembre 1823 , travaillant sur le vaisseau l'Orion en rade de Toulon et après avoir sauvé un matelot, Valjean tombe à la mer. Comme on ne retrouve pas son corps, on le croit mort et on ne le recherche plus.
Gavroche semble insouciant mais il sait parfaitement ce qu'il fait. Il chante non pas une comptine enfantine mais un chant révolutionnaire. De même, il ramasse des "cartouches", vide les "gibernes" et fait des "pieds de nez" aux gardes. Son attitude insolente et provocatrice sont la preuve d'un grand courage.
N'ayant plus rien à perdre, Marius se rend à la barricade avec l'idée d'y mourir. Mais le destin en décide autrement puisqu'Éponine, ne pouvant se résoudre à voir son bien-aimé malheureux, meurt en s'interposant devant le fusil qui visait Marius après lui avoir remis la lettre de Cosette.
A force de concision, le départ de la révolte et du combat qui s'ensuit n'est pas complètement intelligible : en effet, alors qu'un homme discourt sur le général Lamarque, un homme à cheval vient planter devant la foule un drapeau noir, et s'enfuit.
Victor Hugo y regroupe les personnages principaux du roman : Marius, Javert, qui seront tous deux sauvés par Jean Valjean, et le petit Gavroche (douze ans), fils des Thénardier. Gavroche quitte l'abri de la barricade1 afin de récupérer les cartouches non brûlées des soldats morts au combat.
Javert vient l'arrêter alors qu'il se trouve auprès de Fantine alitée et elle meurt de saisissement sans avoir revu sa fille. Devant le lit où Fantine expire en février 1823, Jean Valjean fait la promesse à la morte de s'occuper de Cosette.
Montparnasse est, un des membres du Patron-Minette, personnage du roman Les Misérables de Victor Hugo.
► Voltaire et Rousseau sont considérés comme responsables du goût de Gavroche (entre autres gens du peuple) pour la révolte, de son énergie à lutter contre les injustices.
L'expression "C'est la faute à…" relève du parler populaire. Elle doit son succès à la chanson que Gavroche entonne dans Les Misérables sur les barricades avant d'être abattu : "Je suis tombé par terre, c'est la faute à Voltaire…" Cette expression appartient au registre oral et ne peut pas s'employer à l'écrit.