Tous les individus peuvent se prévaloir de tous les droits, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, d'ethnie, d'âge, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de handicap, de fortune, de naissance ou de toute autre situation, tel qu' ...
La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (DDHC) a été rédigée et adoptée le 26 août 1789 par l'Assemblée nationale constituante dans l'immédiateté de la Révolution française. Elle doit donc se lire comme « le but et le programme de la Révolution » (Giorgio DEL VECCHIO).
Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) est le principal organisme des Nations Unies dans le domaine des droits de l'homme et a pour mandat unique de promouvoir et de protéger tous les droits de l'homme.
A l'occasion de la célébration des 70 ans de la Déclaration universelle des droits de l'Homme le 10 décembre 2018, le Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes (HCE) appelle préférer l'expression « droits humains » à celle de « droits de l'Homme ».
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Les droits humains sont les droits inaliénables de tous les êtres humains, sans distinction aucune, notamment de race, de sexe, de nationalité, d'origine ethnique, de langue, de religion ou de toute autre situation.
Les droits de l'homme sont des normes qui reconnaissent et protègent la dignité de tous les êtres humains. Ils régissent la façon dont nous vivons en société et les uns avec les autres, ainsi que la relation qui lie les individus aux gouvernements et les obligations des gouvernements envers eux.
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
La liberté de religion et de conscience sont en effet les premiers des droits de l'homme.
Depuis les Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, la France est souvent appelée « la patrie des droits de l'homme », en raison de la vocation universelle de cette première déclaration des droits de l'homme.
Pouvoir garantir le respect des droits de l'homme constitue en lui-même un moyen effectif de prévenir les conflits. En cas de conflit, l'ONU porte secours le plus rapidement possible aux victimes, principalement par l'intermédiaire de ses mécanismes d'exécution, afin de garantir leurs besoins vitaux.
Le 10 décembre 1948, la Déclaration universelle des droits de l'homme était signée par 58 états, à Paris. On fête aujourd'hui, les 60 ans de ce texte fondateur dont le premier article proclame : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits ».
Il y a des limites d'ordre juridique qui concernent certaines catégories de personne dans la société nationale : L'âge et la majorité → Les droits politiques ne seront effectifs qu'à la majorité, pour la France, c'est en 1974 qu'on a décidé que la majorité était de 18 ans.
La soi-disant « théorie des trois générations de droits humains » divise les droits humains en trois générations distinctes sur la base (1) des droits civils et politiques, (2) des droits économiques, sociaux et culturels et (3) des droits collectifs ou de solidarité.
Non-respect des droits humains rime avec exclusion sociale, perte de l'identité sociale et individuelle, et marginalisation. Ce qui, en conséquence, laisse peu ou pas de possibilité d'accéder aux biens de production. Le manque de capital est constitutif de la pauvreté tout autant qu'il l'enracine.
Syrie, Corée du Nord, Arabie Saoudite, Chine... Les pays où les droits humains sont menacés sont nombreux. Le 10 décembre, instauré journée internationale des droits de l'Homme par les Nations unies, est l'occastion de se pencher sur ces coins du globe où leur respect vacille ou n'existe plus.
La loi est un texte adopté par le Parlement, promulgué par le Président de la République, le cas échéant après décision du Conseil constitutionnel, et fixant des règles et principes fondamentaux dans les matières énumérées à l'article 34 de la Constitution [Lien : Constitution].
Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Le droit est l'ensemble des règles juridiques qui définissent les droits et les devoirs ainsi que la responsabilité de chacun. Ces règles sont contraignantes, c'est-à-dire qu'on est obligé de les respectées sous peine de sanction. La loi permet de vivre ensemble en facilitant les rapports entre les gens.
Le droit est la faculté de réaliser une action, de jouir de quelque chose, d'y prétendre, de l'exiger.
Les lois permettent de maintenir l'équilibre entre nos droits individuels et nos obligations à titre de membres de la société. Par exemple, lorsqu'une loi donne à une personne le droit de conduire, elle lui impose également l'obligation de savoir conduire et de respecter le Code de la route.