Certaines catégories de personnel sont plus exposées par leur mal-être à devenir maltraitantes involontairement, par fatigue et par lassitude, en particulier : les jeunes diplômés trop idéalistes qui pensent par leur seule présence pouvoir réformer l'hôpital ; les anciens, présents dans un même service depuis plus de ...
Un enfant maltraité est un enfant victime de négligences graves, de mauvais traitements, d'exploitation ou de violences sexuelles, de la part de ses parents ou des personnes qui en ont la charge. la maltraitance physique, qui porte atteinte au corps comme des coups, des brûlures, des fractures etc.…
Une maltraitance parfois précoce : la maltraitance prénatale
Marabout). La maltraitance peut également se manifester juste après l'accouchement. Elle résulte, selon la psychologue, d'un problème d'attachement. Le lien parent-enfant ne se fait pas comme il devrait et le nouveau-né est mal accueilli dès sa naissance.
Qui est concerné ? Les personnes potentiellement victimes de maltraitance sont les personnes les plus fragiles. Outre les enfants et les personnes âgées, la maltraitance touche également les femmes, les handicapés, les malades mentaux, des subalternes ou des groupes sociaux discriminés.
La maltraitance peut prendre plusieurs formes :
Les violences médicamenteuses (abus ou privations de médicaments...) Les violences actives ( privation de liberté ou de soins...) Les violences passives ( la perte de contact humain, l'oubli, les négligences ...)
La maltraitance des personnes âgées est un problème de santé publique important. En 2017, une analyse de 52 études réalisées dans 28 pays de diverses régions a révélé que, au cours de l'année précédente, une personne âgée de plus de 60 ans sur six (15,7 %) avait été victime d'une forme de maltraitance (1).
Plusieurs signaux peuvent indiquer qu'une personne est victime de maltraitance même si la liste n'est pas exhaustive… La personne : Apparaît effrayée, méfiante ; Présente des symptômes de dépression, insomnie, perte d'appétit, perte d'intérêt, pleurs…
L'Observatoire Décentralisé d'Action Sociale définit l'enfant maltraité comme une « victime de violence physique, cruauté mentale, abus sexuels, négligences lourdes ayant des conséquences graves sur son développement physique et psychologique».
La maltraitance des personnes âgées est favorisée par leur vulnérabilité. Elles sont en effet souvent isolées, fragiles et souffrent de multiples handicaps. Les personnes qui les prennent en charge (aidants familiaux ou professionnels) ont parfois du mal à supporter ces faiblesses et cette situation.
Chez l'enfant, cela peut se traduire par une modification du comportement habituel, enfant craintif, replié sur lui-même, évitant le regard, un enfant présentant des troubles du sommeil, des cauchemars, des troubles du comportement alimentaire, un enfant agressif ou, au contraire, en recherche de contact, d'affection ...
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.
La maltraitance s'entend de toutes les formes de violences physiques ou psychologiques. Qu'il s'agisse de coups, de brimades ou de privation. Un comportement passif, s'il nuit à la personne âgée, est aussi considéré comme de la maltraitance : privation de soins, d'alimentation, abandon dans un lieu quelconque...
Les circonstances familiales peuvent changer, un divorce, une perte, un traumatisme ou une récession économique, et elles peuvent modifier la disponibilité du parent et affecter leur approche de l'éducation des enfants.
Sont qualifiées de maltraitances « émotionnelles » l'ensemble des violences psychologiques et verbales qui viennent induire inutilement une émotion de peur ou de honte chez l'enfant.
La violence sociale affecte les enfants tant sur le plan physique, social qu'émotionnel, et ce à différents niveaux. Les enfants touchés sont plus susceptibles d'éprouver un stress important, incontrôlable et chronique, qui affecte leur capacité à réagir aux situations stressantes.
Violences commises par les parents
La peine est de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende lorsque les faits sont commis par un parent ou par une personne qui a autorité sur le mineur.
Si vous êtes victime ou si vous avez connaissance d'une situation de maltraitance d'un enfant, vous devez appeler le 119.
Le mieux, si l'on s'en sent prête, est de déposer au plus vite une plainte au commissariat ou à la gendarmerie et de demander au commissariat ou à la gendarmerie d'être orientée vers le service d'urgence médico-judiciaire (UMJ) afin de faire constater le préjudice physique et le retentissement psychologique des ...
L'adulte soumis à la maltraitances infantile sera davantage exposé à des troubles psycho comportementaux, car le stress généré par la maltraitance aura des répercussions sur : La santé : pathologies cardiovasculaires, cancer, suicide, … L'humeur : dépression, tristesse, anxiété…
Elle essaie de masquer ses blessures. Elle trouve des excuses à la dernière minute pour ne pas vous rencontrer ou elle essaie de vous éviter lorsqu'elle vous rencontre dans la rue. Elle semble triste, seule, repliée sur elle-même et craintive. Elle consomme des drogues ou de l'alcool pour faire face à la situation.
Les voies de fait simples sont la forme la plus fréquente de violence familiale contre les aînés.