La Banque de France est ainsi le premier producteur de billets de l'Eurosystème et le partenaire privilégié de grandes banques centrales étrangères. Elle dispose d'une expertise mondialement reconnue dans la conception et la fabrication des billets de banque.
À la pointe des innovations technologiques, l'imprimerie de la Banque de France est une référence dans le domaine de l'impression de billets de banque, en offrant à la fois maîtrise technique, qualité et traçabilité.
L'usine de Pessac (Gironde) assure depuis 1973 la fabrication de ces pièces, depuis la découpe des flans jusqu'au conditionnement final. Environ 1 milliard de pièces courantes sont frappées par la Monnaie de Paris dans son usine de Pessac chaque année.
Création monétaire par la banque centrale
Les banques centrales ont le pouvoir de créer deux types de monnaies : la monnaie fiduciaire (pièces et billets) ainsi que les réserves (aussi appelées monnaie centrale ou monnaie de base).
C'est un graphiste indépendant de Berlin, Reinhold Gerstetter, qui a été choisi pour repenser le graphisme des billets en euros. Au recto des billets des deux séries, on peut voir des fenêtres et des portails symbolisant l'esprit d'ouverture et de coopération qui règne au sein de l'Union européenne.
Depuis la création de la monnaie unique européenne, il existe sept billets en euros, émis en deux séries, dont les valeurs faciales s'échelonnent de 5 à 500 euros. La première série a été mise en circulation à partir du 1er janvier 2002 . La deuxième série a commencé à remplacer la première à partir du 2 mai 2013 .
D'origine chinoise, répandus massivement depuis le début du XIX e siècle, les billets de banque sont imprimés sur un papier couché fin, très résistant au vieillissement et aux manipulations, porteur d'un filigrane, composé exclusivement de pâte de chiffon de coton ayant subi un raffinage très poussé ; ce papier non ...
C'est ainsi, par exemple, que les BCN d'Allemagne, de France et d'Italie ont produit un total de 1,7 milliard de billets de 50 euros en 2017. Onze imprimeries européennes hautement sécurisées produisent les billets, qui sont ensuite distribués aux différentes BCN.
L'argent sur nos comptes en banque est crée par les banques commerciales, ou banque de réseaux. La monnaie fiduciaire (les pièces et les billets) est créée par les banques centrales.
Le premier producteur mondial reste le Mexique, suivi du Pérou et de la Chine. Ce trio de tête représente plus de 50% de la production mondiale du minerai d'argent, très utile dans le domaine de l'industrie.
La confiance dans les billets de banque est importante pour maintenir le bon fonctionnement de l’ensemble de l’économie. C'est pourquoi nous travaillons dur pour garantir que nos billets sont de haute qualité, durables et difficiles à contrefaire. Nous travaillons en étroite collaboration avec De La Rue , la société qui imprime actuellement nos billets, pour garantir qu'ils sont d'une qualité élevée et constante.
La production de billets de banque à Debden a commencé en mars 1956. À ce jour, tous les billets de banque de la Banque d'Angleterre en circulation ont été fabriqués à l'imprimerie de Debden .
L'impression des billets de banque a radicalement changé depuis que les dessins de Topolski ont représenté la vie à l'imprimerie de la Banque à Debden, dans l'Essex, dans les années 1950. Mais aujourd’hui encore, tous nos billets sont imprimés sur le même site.
Elle comprend sept coupures : 5, 10, 20, 50, 100, 200 et 500 euros. Ces billets sont progressivement remplacés par ceux de la seconde série, baptisée « Europe », ce qui explique pourquoi ils sont devenus rares. Les billets de la première série ont cours légal et conserveront toujours leur valeur.
La monnaie fiduciaire
La valeur d'un billet, par exemple, est bien inférieure à la valeur des biens et des services qu'il permet d'acquérir. Ce qui leur confère de la valeur, c'est qu'ils sont acceptés comme moyen de paiement par tous.
Les pièces de monnaie peuvent avoir une autre valeur si elles n'ont plus cours ou si elles sont rares. C'est alors une valeur numismatique qui dépend de la rareté, du contexte historique, de la qualité de réalisation et de conservation ainsi que de sa popularité parmi les collectionneurs.
Se lancer dans l'impression de billets de banque peut néanmoins avoir de graves conséquences. Elle risque de provoquer la flambée de l'inflation ou la dévaluation de la monnaie locale par rapport aux autres monnaies.
Si la monnaie fiduciaire est émise par la banque centrale qui imprime les billets, la monnaie scripturale est, elle, créée par les banques commerciales, lorsque des agents économiques empruntent pour financer leurs activités (on dit que « les crédits font les dépôts »).
La réponse est non. Ce serait vraiment quelque chose, n'est-ce pas ? Ce que l'on appelle un hack de distributeur d'argent parmi les membres d'équipage est parfois utilisé pour faire des farces aux autres membres d'équipage de cabine. Mais il n'y a aucune vérité dans le fait que l'imprimante embarquée imprime des sommes d'argent que les pilotes peuvent emporter chez eux .
Depuis 2002, les billets en euros sont produits conjointement par les banques centrales nationales (BCN) de la zone euro . Chaque BCN est responsable et supporte les coûts d'une partie de la production annuelle totale en une ou plusieurs dénominations.
Aujourd'hui, 1 dinar koweïtien est égal à 2,97 euros, et il a un taux de change constant avec le dollar américain où 1 dollar USD équivaut à 0,301175 dinar koweïtien. Toujours selon le média, c'est ce taux de change fixe qui confère au dinar koweïtien le titre de plus forte monnaie du monde.
En 2022, le Mexique dominait ce classement avec 6.300 tonnes d'argent issues de ses mines. Le premier pays européen de ce classement était la Pologne, se classant en 6e position avec environ 1.300 tonnes de produites en 2022.
Il n'existe pas de billets de 1 000 euros car la Banque centrale européenne n'en émet pas.
La plupart des billets sont fabriqués en Italie, du côté de Naples par la mafia (la Camorra, la mafia napolitaine, est spécialiste de la fabrication de billets contrefaits). Ce sont des coupures de 20, 50, 100 euros. Après, pour les billets de 100, 200, 500, c'est en Bulgarie, parmi les meilleurs du monde. »
En fonction du format et du prix des billets, les vendeurs peuvent tirer un profit constant de leurs ventes de billets . De plus, la vente de billets n’est pas un modèle commercial particulièrement chronophage, car on peut souvent créer des billets pendant son temps libre et les vendre avec profit.