selon les recommandations des projets correspondants. Le mauvais Larron est un bandit mentionné par les Évangiles synoptiques. Condamné à la mort sur la croix en même temps que son comparse, le
Les quatre Évangiles affirment que Jésus fut crucifié entre deux autres condamnés que Matthieu (Mt 27, 38) et Marc (Mc 15, 27-30) qualifient de « bandits », et Luc (Lc 23, 32-33 et 23, 39-43) de « malfaiteurs ».
On ne voit pas, dans les Évangiles, que Jésus ait beaucoup fréquenté les bandits : il n'en eut pas l'occasion. Et voilà qu'en une demi-journée, la dernière de sa vie mortelle, son destin se trouve intimement mêlé au destin de trois brigands : Barrabas, et les deux larrons crucifiés en même temps que Jésus.
Selon l'Évangile de Luc, le bon larron était un bandit, condamné à mort sur une croix au même moment que Jésus. Il s'était alors converti devant le lui avant de mourir et d'être envoyé directement au ciel. De lui, on ne sait rien, ou si peu. Une phrase que lui adresse Jésus sur la Croix, mais quelle phrase !
Selon le Nouveau Testament, Jésus de Nazareth est condamné à mort par le préfet romain Ponce Pilate et exécuté par crucifiement ; on parle dans ce cas de sa crucifixion.
Chacun des quatre Évangiles rapporte qu'après l'arrestation de Jésus, l'apôtre Pierre, par peur de risquer lui aussi la mort, nie trois fois avoir eu une relation avec celui-ci.
Vers 248, le théologien Origène écrivait : « Tout le monde sait que [Jésus] naquit sous l'empereur Auguste qui, ayant soumis à sa domination la plus grande partie des hommes, les avait comme ramassés en un seul corps. »
Selon l'histoire sur laquelle les chrétiens fondent leurs croyances, Jésus de Nazareth est mort crucifié sur ordre du préfet romain de Judée de l'époque, Ponce Pilate, et son passage vers cette mort - une série d'épisodes connus sous le nom de Passion - est l'un des éléments centraux commémorés pendant la Semaine ...
Le Golgotha ou Calvaire, nommé aussi « lieu du crâne », est une colline située dans l'Antiquité à l'extérieur de Jérusalem, sur laquelle les Romains attachaient les condamnés à mort sur une croix en forme de T. Il est connu pour être le lieu où Jésus a été crucifié, d'après les évangiles.
Pierre serait mort en 64 : Eusèbe de Césarée affirme que Pierre « fut crucifié la tête en bas, après avoir lui-même demandé de souffrir ainsi ». Il s'estimait indigne d'être crucifié de la même manière que Jésus.
Jésus-Christ aurait été crucifié à Jérusalem le vendredi 7 avril de l'an 30 de notre ère, à l'âge de 37 ans, d'après les calculs des historiens modernes, plus précis que le moine Denys le Petit qui, au VIe siècle, établit la naissance du Christ en l'an 753 de la fondation de Rome, soit cinq ans trop tard.
Au moment d'entrer dans sa passion, Jésus est âgé de 37 ans. Vraisemblablement né en l'an 7 avant notre ère, il est arrêté et jugé par les autorités religieuses juives le soir et la nuit du jeudi 13 de nisan (6 avril), jugé par les Romains et crucifié le lendemain vendredi 14 nisan (7 avril) de l'an 30.
L'histoire démontre que l'Apôtre Pierre prêche à Rome pendant les dernières années de sa vie. Il y meurt en martyr. De son vivant, Pierre insiste sur le fait que l'Église grandie par les persécutions. (I~Pierre 1.6 ; 2.1-4).
Les officiers de Néron l'ayant arrêté pour prêche après avoir confondu Simon le magicien, il fut mené devant le préfet Agrippa, qui le condamna à mort, en étant crucifié car il était étranger (Paul qui l'accompagnait eut la tête tranchée car il était citoyen romain).
Basilique Sainte-Croix-de-Jérusalem, Rome.
Plusieurs noms la désignent : « Marie de Nazareth », « Sainte Vierge », « Vierge Marie », ou encore « Notre-Dame » ou « Mère de Dieu ». Ils vénèrent la Bienheureuse Marie, toujours Vierge, établie par le Christ comme Mère de tous les hommes.
Après sa résurrection, le Christ ne vit plus avec ses disciples comme avant. Il ne reprend pas le cours de sa vie terrestre avec eux. Le Christ n'est plus visible à leur côté 24 heures sur 24. Il leur apparaît simplement à quelques reprises.
Et finalement, Jésus ne serait pas mort en 33, mais quelques années plus tôt – vraisemblablement le 7 avril 30, à l'âge de 36 ans.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Du point de vue des autorités, Jésus est coupable d'avoir aspiré à la royauté. Il est condamné au supplice de la croix, comme d'autres messies autoproclamés, à la même époque. Les Juifs avaient progressivement perdu leur indépendance.
Judas Iscariote (ou Iscariot, ou Iscarioth) est, selon la tradition chrétienne, l'un des douze apôtres de Jésus de Nazareth. Selon les évangiles canoniques, Judas a facilité l'arrestation de Jésus par les grands prêtres de Jérusalem, qui le menèrent ensuite devant Ponce Pilate.
POURQUOI JUDAS A-T-IL TRAHI JÉSUS ? Cet apôtre s'est présenté devant les principaux prêtres dans le seul but de leur demander combien d'argent il pourrait gagner s'il leur révélait la direction exacte dans laquelle se trouvait Jésus-Christ.
Sous le règne d'Hérode. Les deux récits de l'enfance de Matthieu et Luc indiquent que la naissance de Jésus eut lieu sous le règne du roi Hérode le Grand : « Jésus étant né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode » (Mt 2, 1) ; « Du temps d'Hérode, roi de Judée, [...]
Seuls deux évangélistes, Matthieu et Luc, relatent la mort de Judas Iscariote. Dans l'évangile de Matthieu (27, 3-8), l'apôtre, rongé par le remords, rend l'argent de la trahison aux prêtres et va se pendre. Pour Luc (Actes des apôtres, 1, 16-19), il achète un champ, tombe dedans accidentellement et meurt éviscéré.
Le personnage le plus célèbre portant ce nom est Judas Iscariote, souvent désigné sous le seul nom de Judas, entré dans le langage courant comme synonyme de « traître » : c'est un apôtre qui selon les Évangiles aurait livré Jésus Christ aux prêtres juifs.