La prise en charge initiale est réalisée par le médecin généraliste, le rhumatologue ou le neurologue. Elle passe par la prescription de traitements médicamenteux de kinésithérapie, voire d'infiltrations de manière à faire taire les symptômes le temps que le corps résorbe la hernie.
Soulager une hernie discale avec la kinésithérapie
Votre médecin peut vous prescrire un traitement de kinésithérapie pour soulager une hernie discale. Généralement, une série de 10 séances suffit. Le kinésithérapeute commence la première séance en établissant un bilan pour bien définir la problématique.
Si l'examen confirme la présence d'une hernie inguinale, votre médecin traitant vous adresse à un chirurgien digestif : si la hernie ne cause pas de symptômes ou s'ils sont minimes, le chirurgien peut, dans certains cas, recommander une simple surveillance.
Un rhumatologue. C'est le spécialiste des maladies de l'appareil locomoteur, mais il soigne aussi certaines affections neurologiques. C'est lui qui met en place le traitement médical. En cas d'échec il vous adressera à un chirurgien orthopédiste ou un neurochirurgien pour une intervention.
Il est intéressant de recourir à l'ostéopathie en complémentarité de la prise en charge médicale. En effet, la hernie est un signal d'alarme : le disque est trop sollicité par un facteur qui crée des tensions. L'ostéopathie permet de déceler ces tensions et de les diminuer.
La plupart (80 à 90 %) des sciatiques par hernie discale guérit avec un traitement médical comportant un repos relatif, des anti-inflammatoires (éventuellement des corticoïdes), des décontracturants musculaires, et des antalgiques. Ce traitement médical peut demander de 6 à 8 semaines pour être efficace.
Le traitement classique repose sur des médicaments voire des infiltrations pour soulager la douleur - et du repos. Certains nouveaux traitements ont vu le jour comme les injections de Discogel® ou d'ozone. L'intervention chirurgicale est réservée aux cas les plus graves.
Le principal traitement de la hernie discale consiste à soulager la douleur et l'inflammation à l'aide de médicaments antalgiques (paracétamol, codéine, tramadol, par exemple) ou d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (par exemple, l'ibuprofène).
En définitive, oui vous pouvez travailler avec une hernie discale.
Qu'il s'agisse d'ailleurs d'une hernie discale, lombaire ou cervicale. Toutes les activités à fort impact risquent d'augmenter la douleur : course à pied, saut à ski, corde à sauter.
Le principal symptôme de la hernie discale est la douleur, au niveau du cou, d'un bras, du bas du dos ou d'une jambe. Lorsque le disque vertébral est endommagé, une inflammation s'installe dans la zone qui l'entoure. Cette inflammation se traduit par des douleurs, souvent peu intenses.
Le traitement médicamenteux comporte des anti-inflammatoires (voire des corticoïdes), des décontracturants musculaires et des antalgiques. Ce traitement médical peut demander 6 à 8 semaines pour être efficace. En cas d'inefficacité de ce traitement, des infiltrations lombaires de corticoïdes peuvent être proposées.
L'opération de la hernie discale est proposée seulement lorsque la hernie comprime une racine nerveuse, provoquant une sciatique, et que le traitement médical composé d'antidouleurs, d'anti-inflammatoires, de décontractants musculaires et d'infiltrations, ne soulage pas la douleur.
La meilleure position pour dormir est la position dorsale, mais il ne faut pas que vous soyez totalement à plat. Pour soulager vos douleurs, vous pouvez dormir avec un coussin positionné sous votre tête et un oreiller supplémentaire placé sous vos genoux. Cela préserve la courbure du dos et évite les tensions.
Ensuite on rapporte cette sciatique, cette douleur à un phénomène. Et dans 95% de cas, ce phénomène est une hernie discale. "La hernie discale n'est pas identifiable sur des radiographies. Elle est identifiable sur un scanner, sur une IRM ou alors avec un examen plus ancien : la saccoradiculographie."
Autrement dit, si vous souffrez d'une hernie discale, il vous est tout à fait possible de pratiquer des sports comme la marche, le vélo, la natation (crawl) ou encore l'aquabiking, qui sont des activités sans risque pour votre dos !
En cas de hernie discale non traitée, il peut y avoir des complications. En effet, il existe de rares cas où la hernie peut engendrer une paralysie d'une partie des membres inférieurs. Il est donc indispensable de consulter son médecin dès l'apparition des douleurs ou d'une perte sensibilité liée à la hernie discale.
Quand à la position assise, "la meilleure position, c'est d'ouvrir au maximum l'angle entre le tronc et les cuisses pour décharger les contraintes sur les disques lombaires", dit le Dr Deramoudt. Par exemple en choisissant un siège haut ou en remontant sa chaise de bureau.
Faites des mouvements appuyés de va-et-vient de bas en haut pour décontracter les muscles. Appuyez, sans les bouger, le bout des doigts de chaque côté et au plus proche de votre colonne vertébrale. Maintenez ces pressions statiques pendant 3 secondes, puis relâchez 3 secondes. Poursuivez jusqu'à sentir la détente.
Dans le cas d'une aggravation intense de la hernie discale, je peux observer une insensibilité d'un membre ou de la zone du périnée en plus d'avoir des difficultés à uriner. Dans certains cas, je peux subir une paralysie partielle ou totale d'une zone du corps menant à la perte d'une fonction et/ou de réflexes.
L'échographie peut être utilisée pour le diagnostic. La chirurgie est pratiquée si la personne affectée par la hernie est une femme, si la hernie provoque des symptômes chez les hommes, ou si la hernie est étranglée ou incarcérée.
Les personnes peuvent également ressentir de la raideur, des tensions, des sensations de faiblesses musculaires et parfois une sensation altérée ou diminuée au niveau d'une jambe et une fatigue accrue au bas du dos. D'ailleurs, les tâches qui requièrent des efforts du bas du dos sont souvent très pénibles.