La baisse de sérotonine favorise les compulsions alimentaires en particulier en fin de journée et plutôt des aliments sucrés (gâteaux ou biscuits, bonbons, chips…). Cette hormone permet la gestion du stress et agit sur la sensation de faim.
Le suivi médical en cas de boulimie et d'hyperphagie boulimique. Le suivi des personnes boulimiques est pluridisciplinaire (psychiatre, pédiatre, médecin traitant, psychologue, diététicien). Le suivi psychologique doit être long (au moins une année, voire plusieurs années) pour s'assurer de la guérison.
Pour maîtriser ses pulsions, il faut permettre à son esprit (au surmoi), de reprendre les rênes et d'arrêter le mouvement. Se poser, réfléchir, décider. Dans la mesure où la pulsion a d'abord une origine corporelle, les thérapies qui visent à la relaxation sont particulièrement intéressantes.
suivre des régimes alimentaires très restrictifs, souvent accompagnés d'exercices excessifs; penser qu'ils sont trop gros malgré une perte de poids considérable; être extrêmement préoccupés par leur poids et leur silhouette; avoir excessivement peur de prendre du poids.
Les troubles des conduites alimentaires (TCA) sont caractérisés par des comportements alimentaires différents de ceux habituellement adoptés par les personnes vivant dans le même environnement. Ces troubles sont importants et durables et ont des répercussions psychologiques et physiques.
Les hyperphages mangent souvent même lorsqu'ils n'ont pas faim et continuent de manger jusqu'à ce qu'ils soient remplis et même au delà. Il peuvent aussi se goinfrer en mangeant rapidement et en ne faisant pas attention à la quantité d'aliments qu'ils ingurgitent.
Compulsions ou rituels
Les compulsions sont définies par des comportements répétitifs ou actes mentaux que le sujet se sent poussé à accomplir en réponse à une obsession ou selon certaines règles qui doivent être appliquées de façon inflexible.
Le fait de se passer d'un repas dans la journée est un des principes du jeûne intermittent, qui consiste à laisser une période de minimum 11 heures entre deux prises alimentaires. Ainsi, on alterne une phase de jeûne et une phase d'alimentation normale. C'est souvent le petit-déjeuner ou le dîner qui passe à la trappe.
Manger ses émotions c'est étouffer un ressenti, grâce à la nourriture : dans ce cas-là, les émotions ne sont ni reconnues ni vécues pleinement. Il s'agit bien souvent de combler un manque affectif.
Boulimie et hyperphagie boulimique : des médicaments parfois nécessaires. Une prise en charge médicamenteuse, par antidépresseurs notamment, peut aider à l'atténuation des symptômes de la boulimie, de l'anxiété ou de la dépression.
L'hyperphagie est un trouble ayant des composantes génétiques, environnementales et psychologiques. Il est important de prendre conscience de cette complexité du trouble afin de se déculpabiliser. En effet, cette culpabilité peut elle-même déclencher des crises alimentaires.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. » En ajoutant que l'orthorexie nerveuse n'est pas reconnue comme une maladie dans le milieu médical.
Les causes de la boulimie sont multiples, complexes et difficiles à établir. Elles sont communes à tous les troubles du comportement alimentaire (TCA), comme l'anorexie mentale et l'hyperphagie boulimique. Elles peuvent être génétiques, neurobiologiques, psychologiques, familiales ou encore socioculturelles.
La pulsion peut se manifester de différentes manières. Si au mot « pulsion », la libido est souvent ce qui nous vient en tête, sachez qu'il existe de nombreuses autres pulsions. La pulsion dépensière : nécessité de dépenser de l'argent, même dans des articles futiles.
La pulsion, systémiquement installée par le consumérisme, repose sur la possession d'un objet voué à être consommé, c'est à dire consumé, c'est à dire détruit. A l'inverse le désir, aussi bien dans son sujet que dans son objet, est toujours le désir d'une singularité infinie ou inachevée (non-finie).
Pour vous permettre de maigrir, votre régime minceur du soir doit idéalement contenir du riz complet, des légumes et des légumineuses, ainsi que de la viande maigre. Vous pouvez également manger des œufs durs, du poisson, des produits laitiers 0 % et boire des tisanes sans sucre.
Au déjeûner, mixez des fruits et des légumes en quantités égales : des pommes et des épinards, des carottes et des oranges, du kale et des fruits rouges, par exemple. Et le soir, concoctez vous un jus de légumes uniquement, pour assurer un effet drainant tout au long de la nuit.
Au dessus de 56 kg je passe au 38.