“La conscience professionnelle permet généralement de travailler « ensemble » sans (trop) s'écharper, malgré la sensibilité, savoir-faire, savoir-être et objectifs de chacun”, confie Elodie, journaliste.
1. Connaissance, intuitive ou réflexive immédiate, que chacun a de son existence et de celle du monde extérieur. 2. Représentation mentale claire de l'existence, de la réalité de telle ou telle chose : L'expérience lui a donné une conscience aiguë du danger.
La conscience permet à l'homme de répondre de ce qu'il est. Ceci l'élève au-dessus de l'animal. Mais ce phénomène est aussi ce qui le sépare de l'immédiateté et de l'innocence de l'instant. La conscience est donc synonyme de dignité, elle est ce qui permet à l'homme de penser le monde et de se penser lui-même.
Ainsi nous disposerions d'une conscience de type I, qui contrôle et régule les grandes fonctions biologiques inconscientes, et d'une conscience de type II, la fameuse conscience réflexive, grâce à laquelle nous sommes conscients d'être conscients.
La conscience repose sur le tronc cérébral et deux régions corticales. Les chercheurs ont trouvé qu'une petite région du tronc cérébral appelée tegmentum pontique était associée avec le coma : 10 des 12 patients inconscients avaient des lésions dans cette zone et seulement un chez les patients conscients.
La réduction de l'anxiété, du stress et l'amélioration de la concentration et de la créativité sont les bénéfices principaux de la pleine conscience.
1. Faculté de juger de ses propres actes. Synonyme : honnêteté, lucidité, moralité, probité, sens moral.
La conscience présente certains traits caractéristiques qui peuvent notamment inclure : rapport à soi, subjectivité (la conscience que l'individu possède de lui-même est distincte de celle d'autrui), la structure phénoménale, la mémoire, la disponibilité (ou liberté de la conscience à l'égard des objets du monde), la ...
Le salarié devient un « simple » exécutant. Si l'entreprise ne récompense pas la conscience professionnelle, elle provoque le désengagement et la démotivation, et par ricochet, elle engendre la dégradation de l'esprit d'équipe et brise le collectif de travail.
D'où il découle, en un sens plus restreint, que la morale professionnelle n'est rien d'autre que l'éthique professionnelle : c'est-à-dire l'ensemble des règles, principes et valeurs que l'on est tenu de respecter dans un champ d'activité professionnelle donné.
La conscience serait limitée au seul sous-ensemble des informations qui auraient été attendues, observées. Au mieux, les informations non attendues seraient des représentations fragmentaires des informations originales.
La conscience professionnelle implique pour l'enseignant la régularité, le zèle et l'initiative. Être régulier signifie faire son travail de manière minutieuse, conformément aux horaires et aux programmes officiels, aux planifications, et aux règles. L'enseignant doit en outre être assidu, ponctuel et exacte.
La conscience morale représente la capacité d'une personne à prendre en considération le point de vue des autres avant d'agir. Grâce à la conscience morale, une personne est capable d'évaluer les conséquences de ses gestes sur les autres et de comprendre si ce qu'elle fait est bien ou mal.
− Conscience (psychologique). Intuition par laquelle l'homme prend à tout instant une connaissance immédiate et directe, plus ou moins complète et claire, de son existence, de ses états et de ses actes : 10.
Locution verbale
(Figuré) N'avoir rien à se reprocher.
consciencieux adj. et n. Qui accomplit son travail avec conscience, application ; scrupuleux, appliqué. consciencieux adj.
Comprendre le lien entre la conscience et la connaissance de soi. La conscience permet la connaissance de soi car elle est certitude. Cependant, cette connaissance est subjective et conditionnée.
À cette catégorie de phénomènes appartiennent les actes manqués (oublis, lapsus, maladresses, méprises, et généralement toutes les conduites échouant de façon incompréhensible), les rêves et les symptômes névrotiques.
La conscience doit donc avoir émergé avec la complexification des systèmes nerveux au cours de l'évolution des espèces. Pour plusieurs, cela implique que la conscience a dû apporter quelque chose de plus aux espèces qui en ont développé une forme particulière.
Dès l'âge de 18 mois, il développe donc une conscience de soi liée à celle d'autrui. C'est le début de la collaboration et de l'apprentissage avec autrui, en d'autres termes des aptitudes à l'enseignement. Ainsi, il y aurait des âges clés dans le développement de la conscience de soi.
Dès 18 mois, l'enfant développe en effet une conscience de soi en concert avec celle d'autrui. Ce développement est l'expression d'une coconscience de soi où l'enfant devient conscient de lui-même dans sa dépendance aux autres, de même qu'en fonction et au travers du regard d'autrui.
On dit que la conscience est réflexive, c'est-à-dire capable de réfléchir sur le monde et sur ce qu'elle est.