Il dirige des graphistes, illustrateurs, webdesigners ou réalisateurs de films. Dans les grandes agences, il est placé sous l'autorité d'un directeur de création et collabore avec le service commercial. Chargé de l'image, le DA forme souvent un tandem avec le concepteur-rédacteur qui se penche sur le texte.
Une séquence est un passage, une scène d'un film se situant dans un seul et même lieu et reposant sur une action ou un dialogue principal. Un plan-séquence est donc une séquence composée d'un seul et unique plan, restitué tel qu'il a été filmé, sans aucun montage, plan de coupe, fondu ou champ-contrechamp.
Le générique peut apparaître au début d'une œuvre (« générique d'ouverture » ou « générique de début ») ou à la fin (« générique de fin » ou « générique de fermeture »).
L'épanadiplose est également une figure de narration utilisée dans de nombreux genres littéraires ; elle est alors nommée « épanadiplose narrative ». Il s'agit de la reprise d'une scène initiale ou d'un motif initial (dans l'incipit) à la fin (ou clausule) de l'intrigue.
Un pré-générique est une courte scène d'introduction durant environ cinq minutes qui précède le générique d'un film. Cette pratique plutôt courante dans le cinéma est la marque de fabrique de la série des James Bond.
L'anglicisme sequel est parfois utilisé en français.
Le terme « photogramme » peut aussi désigner, en termes de cinéma, la plus petite unité de prise de vue, l'une des photos élémentaires dont un film est constitué, à raison de 24 images par seconde à la cadence normale de prise de vues dans le cinéma dit argentique.
Il existe trois types de spoilers : les spoilers courts , les spoilers longs et les spoilers thématiques. De courts spoilers révèlent l'intrigue se terminant de manière très brève et moins détaillée, sans aucun résumé ni explication des thèmes de l'histoire, s'étendant généralement sur une à trois phrases.
Une épigraphe (ou exergue) est une courte phrase que l'on place généralement avant le texte proprement dit, à la suite d'un titre ou en tête de chapitre.
Une scène post-générique (également connue sous le nom de stinger, balise de fin ou cookie de crédit) est un court clip teaser qui apparaît après le générique de fin et parfois après l'exécution du logo de production d'un film, d'une série télévisée ou d'un jeu vidéo. .
Bien qu'il existe en tant que concept depuis encore plus longtemps, le terme « cliffhanger » peut être attribué à l'écrivain victorien Thomas Hardy , dont le roman de 1873, A Pair of Blue Eyes, voit Henry Knight littéralement suspendu à une falaise dans la dernière page d'un chapitre, laissé dans l'obscurité. contemplant sa mort alors que la mer fait rage en contrebas.
Bien que la plupart des films s’en tiennent à une narration linéaire, certains montrent leur fin dès la toute première scène. Il existe de nombreuses raisons différentes pour le faire. Dans certains cas, cela permet de détourner l’attention de ce qui va se passer dans l’intrigue vers la raison pour laquelle les événements se déroulent de cette manière, ou comment ils auraient pu être évités .
Selon lui, la séquence est « un ensemble de scènes unies, connectées par une idée, un motif, une situation, une action. » Quant à la scène, c'est « une unité narrative plus dense, plus courte que la séquence. Quelque chose de spécifique y survient ou s'y passe.
Le point culminant est le point culminant du film où le protagoniste, sur la base des connaissances acquises lors de l'action montante, détermine quelle action finale doit être entreprise pour résoudre le conflit. L’action de chute lie ou résout toute fin d’histoire mineure.
D'un point de vue commercial, un échec cinématographique, couramment appelé bide, raté, fiasco, flop ou four, se dit d'un film dont le succès ne couvre pas suffisamment les dépenses engagées pour sa production, sa distribution et sa promotion.
L'écran divisé, ou split screen, anglicisme traduit en français par multi-image, et parfois par francisation écran splitté, est, dans une production audiovisuelle (au cinéma, à la télévision, dans un jeu vidéo), un effet consistant à diviser l'écran en plusieurs parties, chacune de ces parties présentant des images ...
Souvent des introductions ou préfaces expliquent l'objet de l'ouvrage, le point de vue de l'auteur, l'occasion qui a fait écrire l'ouvrage.
L'épigraphe est une courte citation placée au début d'un ouvrage ou d'un chapitre, et qui permet d'en indiquer l'esprit. Elle est placée après la dédicace et avant les remerciements.
Fonction. Les didascalies sont intercalées dans le dialogue écrit, mais n'en font pas partie, et ne sont donc pas destinées à être prononcées sur scène. Elles sont notées le plus souvent en italique ou entre parenthèses.
spoiler en anglais américain
(ˈspɔɪlər) nom. 1. une personne ou une chose qui se gâte.
Le dénouement d’une histoire constitue le plus souvent le dernier chapitre et peut même servir d’épilogue ; lorsque cette partie de l’histoire se termine, le morceau de littérature se termine également.
Une préquelle, également appelé un préquel, présuite ou antépisode au Canada francophone (de l'anglais prequel), est, en littérature, au cinéma, dans les séries télévisées, en musique ou dans les jeux vidéo, une œuvre dont l'histoire précède celle d'une œuvre antérieurement créée.
Le cinéma muet se caractérise par l'absence de dialogues enregistrés sur un support mécanique (disque ou pellicule) qui permettrait leur transport dans une salle et leur audition par un public en même temps qu'il regarderait les images, et par l'absence sur le même support de musique et de bruits ou d'ambiances sonores ...
Le scénario s'adresse aux professionnels qui collaborent à la création d'une œuvre audiovisuelle et cinématographique. C'est un document technique qui ne s'écrit ni comme un roman ni comme une pièce de théâtre. Il n'est pas destiné à la lecture, mais doit être considéré comme un support de travail.
Le synopsis, étymologiquement, vient du grec synopticos qui veut dire « vue d'ensemble ». Le synopsis d'un livre est donc un texte qui donne une vue d'ensemble sur un film, un scénario et par extension sur un livre. Concrètement, c'est un document d'une à dix pages exposant la trame de votre roman.