La fatigue psychique (asthénie) : un signe d'alerte du syndrome dépressif. « J'en ai marre », « je suis fatigué », « à quoi bon ? », « je n'avance plus » … sont autant d'expression d'un découragement ou d'une démotivation qui, associées, à d'autres signes, peuvent traduire une fatigue psychique ou fatigue mentale.
La fatigue psychique se caractérise d'abord par un état d'esprit particulier : la personne est démotivée, elle se sent lasse, elle se sent épuisée, elle est plus irritable... De nombreuses petites phrases ("ça ne sert à rien", "j'en ai marre", "je suis fatiguée"...) peuvent traduire une asthénie.
Les traitements naturels sont très bénéfiques pour combattre la fatigue nerveuse et pour réduire le stress. Vous pouvez par exemple opter pour un exercice physique doux comme le Yoga, gym douce, Pilates, relaxation, visualisation positive, méditation…
Les causes de la fatigue nerveuse ou psychique sont extrêmement nombreuses et souvent difficiles à mettre en évidence. Elle est souvent la conséquence de circonstances socio-environnementales éprouvantes (vie familiale, travail, surmenage intellectuel et physique, stress...).
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
La fatigue cognitive, un signal qui avertit votre cerveau d'un risque de surchauffe. Après un effort intellectuel intense et prolongé, une molécule – le glutamate –, accumulée dans certaines zones de notre cerveau, perturbe le raisonnement et la prise de décision.
Les signes physiques du surmenage
Lorsque vous êtes surmené, vous pouvez ressentir des symptômes du surmenage comme des douleurs diffuses, des tensions musculaires, mal de dos (lombalgie), etc. D'autres symptômes du surmenage comme des vertiges ou des maux de tête peuvent apparaître.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Après un manque de sommeil, certains neurones, trop fatigués, stoppent leur activité alors que le cerveau est toujours dans sa phase d'éveil. Ces défauts dans l'activité cérébrale pourraient expliquer certaines défaillances liées à la fatigue mais permettraient au cerveau de se reposer.
Il existe également des médicaments de phytothérapie contenant des extraits de plantes riches en caféine, telles que le caféier, le kola, le guarana, le maté ou le thé vert, ainsi que des extraits de ginseng. Le ginseng est traditionnellement utilisé en médecine chinoise pour lutter contre le stress et la fatigue.
À la perte d'envie s'ajoutent des ruminations, la fatigue, la lassitude, le pessimisme, une diminution de la prise alimentaire et par conséquent un amaigrissement, de l'anxiété, des troubles de la concentration et de la mémorisation ainsi qu'un ralentissement général et des idées suicidaires.
Il recommande une consommation accrue de 10 composants sains, parmi lesquels les légumes à feuilles vertes, le poisson, les baies, les noix… et la limitation de 5 composants néfastes comme le fromage, les viandes rouges, les beurre et margarine, les aliments frits, les pâtisseries et sucreries.
Un défaut de récupération pendant le sommeil
L'une des origines à explorer pour la fatigue est celle qui concerne le défaut de récupération pendant le sommeil, et peut s'expliquer assez simplement parfois par des douleurs, de la fièvre, des difficultés respiratoires, etc. qui empêchent les patients de bien dormir.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
Les douleurs liées au stress sont multiples. Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
psychiques profondes mais également parce que l'on a oublié que le corps a aussi des limites. Si c'est l'esprit qui “lâche” en premier, la dépression complique le burn-out. Si c'est le corps, c'est une fatigue sans fond que l'esprit et la volonté de l'individu ne peuvent combattre facilement.
La dépression s'accompagne fréquemment d'un état de fatigue généralisée, à la fois mentale et physique, plus ou moins intense, qui perdure malgré le sommeil et le repos. En effet, la dépression entraîne souvent des troubles du sommeil, tels que des insomnies, ou au contraire des hypersomnies.
L'anxiété se manifeste par un sentiment diffus d'inquiétude qui a des répercussions négatives sur le quotidien. La personne anxieuse est fatiguée, irritable, a du mal à se concentrer et se sent incapable de contrôler les situations qui se présentent.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Le « Haut Potentiel » est souvent détecté (quand le terme « diagnostiqué » n'est pas utilisé) à travers un test de QI, qui dit tellement peu ce que la personne peut vivre. Le mental qui n'arrête jamais ou peu souvent, une capacité accrue d'analyser et de voir les choses sous un autre oeil …