En mécanique, la compression est l'application de forces équilibrées vers l'intérieur (« pousser ») à différents points sur un matériau ou une structure, c'est-à-dire des forces sans somme nette ou couple dirigé de manière à réduire sa taille dans une ou plusieurs directions.
L'enjeu de la compression avec pertes est de réduire la quantité de données d'un fichier tout en préservant la qualité perceptible et en évitant l'apparition d'artefacts.
La compression est une contrainte mécanique équivalente à l'action d'une force qui exerce une pression à chaque extrémité d'une poutre. La flèche indique une pression sur l'extrémité de la poutre. La traction est une sollicitation qui consiste à étirer un matériau.
Le taux de compression ainsi défini est donné par la formule : τ = [Volume final] / [Volume initial]. C'est donc l'inverse du quotient de compression q. L'autre définition exprime le taux de compression comme le gain en volume rapporté au volume initial des données.
L'essai de compression a pour but d'étudier les propriétés fondamentales des matériaux et de déterminer plusieurs caractéristiques mécanique, notamment l'allongement élastique (en %), la résistance à la rupture par traction (en MPa), la limite apparente d'élasticité (en MPa), le module de Young (en MPa) et le ...
On lie la résistance finale d'un béton en évaluant le rapport massique entre la quantité d'eau et la quantité de ciment, soit le rapport E/C. Plus ce ratio est bas et plus haute est la résistance. Pour un béton traditionnel, ce ratio est compris entre 0,45 et 0,65.
Pour mesurer la dureté d'un matériau, un pénétrateur de faible déformabilité (cône ou sphère en diamant, carbure de tungstène lié au cobalt ou acier extra-dur) est enfoncé à la surface du matériau à tester avec une force connue pendant un temps donné. Plus l'empreinte laissée est petite, plus le matériau est dur.
En mécanique, le taux de compression d'un moteur à pistons, aussi appelé rapport volumétrique, est le rapport des volumes du cylindre lorsque le piston est au point mort bas (volume maximum) et lorsque le piston est au point mort haut (volume minimum).
Un taux de compression élevé se situe entre 12:1 et 14:1. Une explosion efficace, plus de puissance, une meilleure économie de carburant et donc moins de pollution sont autant d'avantages d'un fort taux de compression.
Un ressort doit pouvoir supporter des déformations en traction, compression ou torsion. Le paramètre qui relie la force appliquée à l'allongement du ressort s'appelle la "raideur", que l'on note k ; elle s'exprime en newtons par mètre.
Définition du mot :
[Div.] Action mécanique multidirectionnelle ou pression qui tend à réduire le volume du corps sur lequel elle s'applique. [Struc.] Action mécanique unidirectionnelle (effort, contrainte) qui tend à raccourcir le corps sur lequel elle s'applique.
Pour qu'un matériau résiste bien à la flexion il lui faut donc une bonne résistance à la pression et à la traction. Le fer serait donc le matériaux le plus adapté : N° 1 pour ce qui est de la résistance à la traction et N°1 pour ce qui est de la résistance à la compression ⇒ N° 1 pour la résistance à la flexion.
CONTRAINTE - normale - n.f. :
[Géo. - Struc.] Contrainte agissant perpendiculairement à la surface concernée. Pour une poutre, contrainte agissant perpendiculairement à la section de la poutre, i.e. parallèlement à l'axe longitudinal de cette poutre.
Les deux types principaux de compression sont la compression matérielle et la compression logicielle. La plupart des unités à bande utilisent le premier type de compression, généralement plus rapide que le second.
Re : Moteur automobile: comment calculer pression de fin de compression ? Bien.. Ce qui reviendrait donc à multiplier le rapport volumétrique par 1,3 pour obtenir la PFC alors. Si j'ai un moteur turbocompressé avec un Rv de 7/1 et que je mesure les compression, j'aurai donc 1x7x1,3 = 9,1 bars au compressiomètre.
Si les résultats montrent que la compression du moteur est faible, il est probable que l'un des composants critiques du moteur soit endommagé. Vérifiez les pistons, les joints, les cylindres et les soupapes pour voir s'ils sont en bon état. Si ce n'est pas le cas, remplacez-les immédiatement.
De façon générale, les constructeurs ne donnent pas de spécifications précises sur les valeurs de compression, mais ils donnent la règle suivante : un minimum de 100 psi par cylindre et une variation maximale de 25 % entre chaque cylindre. Donc, si on frôle les 100 psi pour un cylindre, cela est inquiétant.
l'étincelle ne doit pas claquer sans que la masse de la bougie soit reliée au moteur, et ce pour tous les cylindres. A l'air libre, l'étincelle va claquer à 2 ou 3kV, dans le moteur en compression vers les 10 à 15, mais en circuit ouvert la tension du secondaire va monter à des valeurs destructives, 40 à 50.
Il faut retirer la bougie du cylindre à tester et visser l'extrémité de la durite dans l'orifice laissé vide par la bougie. À froid et commande de gaz ouverte à fond, faites tourner le moteur quelques secondes sur le démarreur, puis lisez la pression sur le manomètre.
La méthode la plus commune d'augmentation du taux de compression du moteur consiste à faire appel à des pistons spéciaux. Comme le montre la forme de la partie supérieure de ces pistons, la chambre de combustion devient plus petite que lors de l'emploi d'un piston ordinaire, ce qui accroît le taux de compression.
Pour les véhicules diesel, il existe principalement trois types également : La pompe d'injection en ligne ou rotative : sa pression est comprise entre 100 à 250 bars. La pompe d'injection haute pression à rampe commune : sa pression est comprise entre 1 600 et 2 000 bars.
Dureté de l'eau, ou titre hydrotimétrique
La dureté d'une eau est sa concentration en ions calcium (Ca2+) et magnésium (Mg2+). Elle se mesure en degrés français (°f) : 1 °f équivaut à 4 mg d'ions calcium ou 2,4 mg d'ions magnésium par litre. Plus ce titre hydrotimétrique (TH) est élevé, plus une eau est dure.
tendreté qualité de ce qui est tendre, en parlant d'un aliment (viande, pain, légume...)
brutalité, cruauté, fermeté, férocité, froideur, inhumanité, insensibilité, méchanceté, raideur, rigidité, sécheresse, sévérité, virulence. – Littéraire : endurcissement, inclémence, inexorabilité, rudesse.