C'est la liberté qui est considérée comme absolue : on ne dit rien du caractère de la conscience qui peut être, elle aussi, considérée comme absolue ou relative. De même, la liberté, pour certains, sera considérée comme relative.
Les libertés n'existent que grâce à leurs limites
Un Homme avec une entière liberté aurait donc tendance à nuire à la société puisqu'il pourrait exercer un pouvoir absolu sur bon lui semble sans se soucier d'autrui.
le droit au respect de la vie privée et familiale. la liberté d'expression. la liberté de pensée, de conscience et de religion.
1) C'est une liberté sans limite qui refuse ou s'est affranchie de toute limite, de toute contrainte qui pourrait l'amputer. On peut aussi comprendre cette idée comme celle d'une liberté qui aurait un champ d'extension illimité et qui embrasserait tous les aspects de la liberté : politique, morale, métaphysique...
Degrés de liberté
Mais Descartes distingue des niveaux de liberté : la liberté d'indifférence est pour lui le plus bas degré de liberté. En effet, si la liberté s'éprouve comme choix, plus les motifs qui conduisent à prendre une décision sont grands, plus la liberté elle-même le sera.
Les différentes formes de liberté :
Liberté civile : en respectant les lois. Liberté politique : pouvoir exercer une activité politique, adhérer à un parti, militer, élire des représentants...
La véritable liberté est la liberté d'entreprendre ; elle comprend celle de penser ainsi que celle d'agir conformément à ce que l'on pense.
L'essentiel. La liberté d'opinion (ou liberté de conscience) assure à toute personne la liberté de penser comme elle l'entend. La liberté d'opinion fait partie des droits fondamentaux consacrés dès 1789 dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
Kant nous dit donc que nous sommes libres uniquement quand nous agissons moralement, c'est-à-dire indépendamment de toute inclination sensible. Il s'agit d'une propriété de la causalité des êtres raisonnables de pouvoir agir indépendamment de toute cause déterminante étrangère à elle.
L'homme ne se définit pas par son essence, ni par un inconscient ni par des déterminismes ni par un destin ou une volonté divine, mais uniquement par son existence. Il est donc entièrement libre, puisqu'il est déterminé par ce qu'il fait et non ce qu'il est.
Le principe de liberté induit l'existence de la liberté d'opinion, d'expression, de réunion, de culte, de la liberté syndicale ainsi que du droit de grève. Le droit de propriété (art. 17 DDHC) a pour corollaire la liberté de disposer de ses biens et d'entreprendre (art. 4).
« La liberté des uns s'arrête où commence celle des autres » variante de l'article IV de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 : « La liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ». Voire : ce n'est pas une «variante», au sens historique, du texte d'origine ; cf. Stéph.
L'État protège les libertés publiques et, dans le même temps, il pose des limites pour que la liberté des uns n'entrave pas celle des autres. Le Conseil constitutionnel est le garant des libertés : il vérifie la conformité des lois à la Constitution.
Etre libre, c'est se débarrasser de ses chaînes, c'est se lancer dans l'aventure, c'est lutter contre soi-même pour accomplir une glorieuse destinée, c'est innover, c'est aller toujours plus loin dans ce qui nous tient à cœur.
En janvier 1941, dans son discours sur l'état de l'Union, le président américain Franklin D. Roosevelt décrit quatre libertés fondamentales dont toute personne dans le monde devrait pouvoir jouir : liberté d'expression, liberté de religion, liberté de vivre à l'abri de la peur, et liberté de vivre à l'abri du besoin.
Quelles sont les limites à ces libertés? Il est clair que ces libertés s'arrêtent là où commencent les libertés des autres. Le fait d'imposer ses convictions à d'autres personnes ou le fait de discriminer une autre personne à raison de ses convictions, de sa race ou de sa religion est réprimé par la loi.
La liberté s'oppose en général au déterminisme, au fatalisme et à toute « pensée qui soutient la doctrine selon laquelle les êtres naturels sont soumis à une nécessité stricte qui les détermine entièrement et selon laquelle la volonté humaine n'est pas libre ».
Être libre, c'est jouir de droits garantis par la loi, c'est ce qu'on appelle l'état de droit. La loi fixe les bornes de l'exercice de la liberté. Les lois cadrent la vie en société et assure la sécurité de tout le monde, sans sécurité il n' y a pas de liberté, c'est la loi du plus fort.
La liberté est la valeur première et le corollaire absolu de l'être humain. Elle a donc, comme lui, un passé, un présent et un avenir, même si, selon les époques et les géographies, elle connaît des sorts divers.
La liberté prend plusieurs formes : Elle peut être individuelle en ne s'appliquant qu'à une personne : liberté de conscience, d'expression, de circulation, de propriété, etc. Elle peut être collective et s'exercer en groupe.
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Le bien exige un effort sur soi et résister aux désirs. Mais l'Homme préfère ce qui le rend heureux, lui fait plaisir que plutôt la morale. Notre liberté n'est pas mauvaise en soi mais elle exige un contrôle sur nous-même et le fait d'assumer sa responsabilité. Etre libre, c'est se penser par soi-même sans influence.
Qui a le pouvoir d'agir, de se déterminer à sa guise : Être libre de ses décisions. 5. Qui n'est soumis à aucune contrainte, à aucun contrôle, à aucune restriction : Avoir la libre disposition d'un bien.