Les schémas de pensée négatifs sont des pensées répétitives et inutiles. Ils provoquent directement ce que nous pourrions décrire comme des émotions «négatives» (indésirables ou désagréables) comme l'anxiété, la dépression, le stress, la peur, l'indignité, la honte, etc.
Les sombres pensées sont habituellement un signe d'anxiété, et non de désirs secrets. Lorsque nous craignons quelque chose, il est normal d'imaginer cette chose. C'est de cette façon que le cerveau réagit à la peur. C'est un moyen de nous assurer que nous n'agissons pas d'une manière dangereuse.
Les personnes toxiques et négatives sont des personnes qui adoptent des comportements visant à manipuler les autres et à se victimiser, sans aucune forme d'empathie.
Laisser filer les pensées négatives
Pour cela, la méditation active apporte une aide intéressante. "Observez vos pensées sans les juger ni vous y accrocher. Laissez-les passer comme des nuages au-dessus de votre tête sans qu'elles puissent prendre le pouvoir", conseille Latifa Gallo.
« Quand on pense négativement, on trouve des problèmes partout. Quand on pense positivement, on trouve des solutions à tout. »
Ne pas avoir de projets. Les personnes toujours négatives ne parlent que rarement de leurs projets parce qu'elles sont trop ancrées dans leur misère actuelle. Elles n'imaginent pas réaliser quoi que ce soit et se confortent dans leur situation de victime. Cette négativité devient leur zone de confort.
Les personnes négatives n'ont de cesse d'analyser le comportement des autres depuis une posture très destructrice. Elles dévoilent des choses intimes, jugent les autres sur des échelles bipolaires (bien/mal, fou/normal, inutile/brillant) et n'affrontent jamais ces aspects en essayant d'y apporter des solutions.
On appelle « personne toxique » une personne qui de façon plus ou moins consciente vous fai du mal, vous met mal à l'aise. Que ce soit au travail, dans votre couple, votre entourage, apprenez à reconnaître une personne toxique pour vous en protéger.
On les appelle « idées noires », « obsessions » ou encore « ruminations ». Elles surviennent souvent après un choc émotionnel. Elles hantent l'esprit pendant des jours ou des mois. Comment s'expliquent l'irruption de ces idées fixes dans notre vie quotidienne ?
On peut alors très vite résumer la Loi de l'Attraction par « le positif attire le positif et le négatif attire le négatif ». Chaque personne possède un taux vibratoire, c'est-à-dire que vous attirez le bon en émettant des vibrations positives.
La rumination mentale, c'est quoi ? Il s'agit de pensées et sentiments négatifs au caractère répétitifs, prenant la forme d'un flot ininterrompu de pensées pessimistes et obsessionnelles. La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher.
Arrêtez la pensée.
Cela va vous aider à vider votre esprit. Pensez à autre chose (par exemple la plage, etc.) et gardez votre esprit focalisé sur cette pensée ou cette image pendant 30 secondes. Si cette pensée énervante revient, criez « stop » une nouvelle fois.
Les personnes négatives aiment ressasser leur désarroi au lieu d'agir. C'est une façon pour elles d'augmenter leur estime de soi. Une bonne façon de les déstabiliser dans leurs complaintes est de leur demander si elles ont des solutions pour régler leur situation chaotique.
Fouiller dans le téléphone ou l'ordinateur de quelqu'un est une violation de la confiance établie entre deux personnes en couple, une invasion de la vie privée et un sacré manque de respect. Si vos faits et gestes sont étudiés, surveillés et vérifiés, c'est que vous êtes dans une relation malsaine.
Si le cerveau est programmé pour se concentrer sur le négatif, c'est parce qu'il cherche avant tout à nous adapter à un environnement de plus en plus complexe. C'est un instinct qui nous vient de nos ancêtres lesquels, nous le savons bien, durent faire face à un grand nombre de stimuli aversifs.
C'est un biais cognitif, le biais de négativité. En clair, être positive me demande un effort, parce que mon cerveau est programmé pour me préparer au pire, et donc à se concentrer sur la négativité.