La cibophobie est de loin le trouble alimentaire le plus contraignant car il s'agit ici de la peur de la nourriture au sens large. Les cibophobes angoissent à l'idée même de manger par peur d'attraper une intoxication alimentaire ou de contracter une réaction allergique à un aliment.
La dysmorphophobie est souvent associée à d'autres troubles psys : dépression, troubles du comportement alimentaire, troubles maniaco-dépressifs, anxiété, troubles obsessionnels compulsifs et autres phobies (agoraphobie notamment). Une publicité suédoise qui dénonce la dysmorphophobie dont souffrent les anorexiques.
Les causes. Dans de nombreux cas, la phobie est déclenchée par une mauvaise expérience telle qu'un aliment avalé de travers, ou un aliment non aimé qui a suscité de mauvaises sensations. Comme de nombreuses phobies, nombreux sont aussi les patients qui parlent d'une peur irrationnelle, sans explication.
Répondre aux questions, féliciter les efforts : sans offrir de récompense, encouragez votre enfant et félicitez le lorsqu'il goûte de nouveaux aliments, cela lui permettra de se sentir plus en confiance et facilitera l'introduction d'autres aliments par la suite.
La perte d'appétit est un trouble fréquent, bénin la plupart du temps, mais qui peut parfois être la conséquence d'une maladie plus grave. Elle se caractérise par une faim inexistante, une disparition de l'envie et du besoin de manger.
L'anorexie: diminution de l'appétit, voire perte totale d'appétit. Comment s'assurer qu'il s'agit bien d'un refus alimentaire ?
"Le stress peut favoriser la perte d'appétit. Plus classiquement, dans le stress chronique, il y a une sécrétion d'hormones notamment de cortisol et cela a plutôt tendance à favoriser le grignotage, notamment le grignotage sucré avec une prise de poids.
Le trouble de l'alimentation sélective (SED en anglais : Selective eating disorder) (aussi connu sous le nom de Trouble persévérant de l'alimentation) empêche la consommation de certains aliments. Il est souvent considéré comme une phase de l'enfance qui est en général surmonté avec l'âge.
Trouble psychologique de l'enfant consistant en une régurgitation volontaire d'aliments suivie de leur mâchonnement. Manifestation de type névrotique, le mérycisme est souvent lié à une perturbation des relations affectives entre l'enfant et son entourage.
Le stress ou l'anxiété chronique peuvent exacerber cette tension, ce qui entraîne des maux de tête, des épaules raidies, des douleurs au cou et parfois même des migraines. Les gens constamment stressés sont d'ailleurs plus à risque de souffrir de troubles musculosquelettiques chroniques.
Si vous ressentez un vide lorsque vous êtes seul, c'est un signe que vous perdez votre individualité et que vous dépendez des autres pour faire et ressentir. Cela peut nuire à votre estime de soi et à votre sécurité personnelle.
LA LAIDEUR EN HORREUR - Au rayon des peurs irrationnelles, dites bonjour à la "cacophobie", cette phobie des gens laids qui peut rendre aussi intolérant qu'asocial.
La mégalophobie se caractérise par la peur panique et irrationnelle des grandes choses et gros objets.
Gynécophobie - Peur des femmes (Gynophobie).
Comportementalement parlant, le stress va déclencher des compulsions alimentaires, des hyperphagies, notamment des hyperphagies nocturnes (1,2), ainsi que des addictions alimentaires. Ces troubles vont avoir pour conséquences une prise de poids mais aussi l'apparition de maladies métaboliques telles que le diabète.
Les symptômes communs incluent la faim, les tremblements, l'anxiété, les vertiges, la transpiration, la fatigue, et des sauts d'humeur. Une sous-alimentation peut facilement provoquer une l'hypoglycémie, en particulier lorsqu'elle est combinée avec un entrainement sportif intense.
Le rythme de perte de poids conseillé pour rester en bonne santé est de 0,5 à 1 kg par semaine. Perdre du poids à ce rythme vous aidera à maintenir votre poids par la suite en plus de vous donner le temps d'intégrer vos nouvelles habitudes de vie.
Le stress, notamment dans le cadre d'une dépression, peut entraîner une perte de poids importante en raison de deux facteurs majeurs : un appétit diminué ou altéré et un métabolisme accéléré.
L'envie de manger est souvent provoquée par de multiples causes : des émotions négatives notamment. On parle de faim « émotionnelle », qui nous incite à avaler tout ce que l'on a à proximité pour compenser un manque d'affection, un vide, nos angoisses, l'ennui.
ostéoporose et fractures osseuses. infertilité et / ou aménorrhée. troubles digestifs. affaiblissement du système immunitaire.
Parfois, l'ado peut trouver l'alimentation familiale trop monotone, inadaptée ou plus simplement, elle ne lui convient pas. Cette réaction peut être tout à fait acceptable ; il faut aussi savoir se remettre en question... Votre adolescent peut également refuser de manger tout simplement parce qu'il n'a plus faim.
Après un repas trop important, trop gras ou trop rapide, l'estomac est complètement rempli et ne parvient pas à brasser correctement les aliments, et donc ne peut pas suffisamment les évacuer vers l'intestin grêle : le sphincter du pylore, à la base de l'estomac, reste fermé, ce qui ralentit la vidange gastrique.