La blennorragie gonococcique, aussi connue sous les noms de “chaude-pisse” ou “gonorrhée”, est une infection causée par la bactérie Neisseria gonorrhoeae. Le plus souvent localisée au niveau des organes génitaux, cette infection se transmet lors des rapports sexuels.
La gonococcie (également appelée blennorragie, gonorrhée ou encore « chaude pisse ») est une infection d'origine bactérienne. Elle provoque des brûlures et/ou un écoulement jaune par la verge, le vagin ou l'anus. Cette infection se transmet lors de rapports sexuels, bucco-génitaux, vaginaux ou anaux.
Chez l'homme : après une incubation courte de 4 à 5 jours, elle se manifeste dans la majorité des cas sous la forme d'une inflammation de l'urètre causant des brûlures intenses à la miction ("chaude-pisse") et d'un écoulement purulent jaunâtre. Rarement, la maladie reste asymptomatique (sans aucun signe).
Cent fois plus contagieux que le virus du sida, le virus de l'hépatite B fait partie des dix virus les plus meurtriers au monde. On compterait en France près de 300 000 porteurs chroniques de l'hépatite B. Aucun traitement ne peut permettre de guérir du virus.
La gonorrhée se traite avec des médicaments. Les traitements guérissent complètement l'infection. Les personnes infectées doivent se faire traiter le plus rapidement possible pour éviter les complications.
Votre médecin vous prescrira des médicaments antiviraux à prendre par voie orale comme l'Aciclovir ou Valaciclovir ainsi qu'un traitement cutanée antiseptique afin de décaper les lésions. Ils réduiront l'intensité des symptômes et accélèreront la guérison des lésions.
Ce médicament est par exemple utilisé dans le traitement d'infections dentaires (abcès), pulmonaires (pneumonie), cutanées (érysipèle) et ORL (angine, otite moyenne aiguë, sinusite).
Chez les HSH, les autres adultes et les jeunes (≥ 9 ans), le traitement de première intention des infections anogénitales ou pharyngées non compliquées est la ceftriaxone (250 mg intramusculaire, dose unique) associée à l'azithromycine (1 g par voie orale, dose unique).
Traitement de l'infection urinaire chez l'homme
On utilise les antibiotiques de la famille des fluoroquinolones ou des céphalosporines de 3e génération en première intention. La durée totale du traitement varie de 2 semaines pour les formes simples à 4 semaines, voire plus, selon la gravité de l'infection.
L'herpès génital entraîne une éruption de petits boutons, ressemblant à des bulles, sur les organes génitaux (pénis, vulve, peau autour des organes génitaux, vagin, anus...) Les démangeaisons et les sensations de brûlures sont souvent douloureuses.
A rajouter à vos menus en cas d'infection urinaire. "Idéalement, consommez 1 gousse par jour, finement ciselée ou écrasée. Si son " arôme " vous dérange, optez pour l'ail confit à l'huile d'olive, très adouci, mais conservant ses vertus", précise la pharmacologue.
Les conséquences à long terme chez la femme incluent :
Un abcès tubaire (des trompes) ou ovarien (des ovaires) Une grossesse ectopique (une grossesse hors de l'utérus) Une périhépatite (une infection autour du foie) L'infertilité
La fosfomycine (Monuril°) en traitement rapide unidose est un des antibiotiques les plus souvent utilisés en premier recours contre l'infection urinaire. Il est également possible de recevoir de la pivmécillinam (Selexid°), qu'il faut prendre pendant au moins 5 jours.
Il existe également d'autres traitements utilisés pour soigner la cystite, telle que l'amoxicilline. Ces traitement sont plus souvent prescrits en deuxième intention au vu des résultats issus de l'ECBU.
Boostée en laboratoire, la vancomycine est devenue beaucoup plus efficace contre les entérocoques résistants.
"Lorsqu'une infection bactérienne est suffisamment importante elle se signale toujours par de la fièvre plus ou moins élevée et entraîne des douleurs et autres symptômes qui dépendent de l'organe en cause : il peut s'agir de douleur pharyngée, de toux, de gêne respiratoire, de douleurs abdominales, diarrhée ou ...
Outre leurs conséquences immédiates, les IST peuvent avoir de graves effets. Certaines IST, comme l'herpès, la gonorrhée et la syphilis, peuvent augmenter le risque de contracter le VIH.
Le préservatif est le meilleur allié contre les IST mais il ne protège pas à 100%. C'est pourquoi il est important de se faire dépister régulièrement pour prendre soin de sa santé et de celle de ses partenaires. Il est possible de poursuivre une vie sexuelle lorsque l'on a contracté une IST.
Deux à soixante jours après la contamination, un bouton indolore affleure au niveau génital – vagin, vulve, col de l'utérus, rectum, mais aussi bouche ou gorge.
La gonorrhée est une infection transmissible sexuellement (ITS) qui se transmet le plus facilement lors des relations sexuelles sans condom. Elle peut infecter les organes génitaux, le rectum, la bouche et la gorge.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
On parlera plutôt de boissons à privilégier comme une eau riche en bicarbonates voire additionnée de pur jus de citron pour alcaliniser le pH des urines. Le citron aura une vertu antibactérienne non négligeable même si la quantité utilisée est faible.
"Et mettre une gousse d'ail pure coupée ou écrasée directement dans les muqueuses, n'y pensez pas." Sans oublier les risques que cela entraîne, ajoute la gynécologue : - une gousse d'ail peut contenir des bactéries provenant du sol avec des risques de botulisme quand elle est placée dans le vagin.