La surcharge cognitive correspond à un état mental où un individu est engagé dans la réalisation d'une tâche extrêmement exigeante pour lui : il ne dispose pas des ressources cognitives suffisantes à une mise en œuvre aisée de cette tâche.
étude des activités psychologiques supérieures (perception, attention, mémoire, langage, processus intellectuels).
On parle également de surcharge cognitive ou d'épuisement par saturation. La saturation, ou surcharge cognitive, s'installe lorsque le cerveau doit faire face à plus d'informations qu'il ne peut en traiter. Il se trouve tout simplement dépassé par le volume de sollicitations qui se présentent à lui.
Ainsi, (effort cognitif est pensé par les psychologues en termes de coût cognitif, c'est-à-dire de ressources allouées, à un instant donné, au système de traitement pour résoudre une tâche particulière en utilisant une stratégie donnée.
les troubles cognitifs spécifiques des apprentissages (dysphasies, dyspraxies, Trouble déficit de l'attention avec ou sans Hyperactivité) les troubles spécifiques des apprentissages (dyslexie, dyscalculie, dysorthographie) les troubles du spectre autistique (autisme, syndrome d'Asperger…)
Le yoga et la méditation sont des exemples connus de pratiques relaxantes. Les exercices de visualisation positives ou le relâchement musculaire progressif en sont d'autres toutes aussi efficaces.
Un trouble ou déclin cognitif correspond à une altération d'une ou plusieurs fonctions cognitives, quel que soit le mécanisme en cause, son origine ou sa réversibilité. Un trouble cognitif peut avoir une origine neurologique, psychiatrique, médicamenteuse, etc.
Les troubles cognitifs proviennent d'un dommage cérébral, ayant entraîné des séquelles durables. On retient principalement le traumatisme crânien et l'Accident Vasculaire Cérébral (AVC), une défaillance de la circulation du sang qui peut affecter en partie le cerveau.
Les tests cognitifs, appelés aussi tests neuropsychologiques, sont destinés à évaluer différentes fonctions liées au cerveau comme la mémoire, l'attention, le langage, l'orientation dans l'espace, l'organisation des tâches complexes.
un sentiment de culpabilité, l'impression ne jamais faire assez bien par rapport aux autres, une grande fatigue physique et mentale, des troubles du sommeil : difficulté d'endormissement, insomnies ou réveils nocturnes, des troubles de l'humeur : irritabilité, emportement excessif pour des détails, par exemple.
Se maintenir physiquement actif
Il est largement reconnu que l'activité physique permet de diminuer le risque de développer des atteintes chroniques d'origine musculosquelettique ou vasculaire cardiaque et cérébrale, mais elle est aussi fortement associée à l'amélioration de la réserve cognitive.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Les anxiolytiques, tels que les benzodiazépines, peuvent offrir un soulagement temporaire des signes en attendant que le traitement antidépresseur soit efficace.
Un défaut de récupération pendant le sommeil
L'une des origines à explorer pour la fatigue est celle qui concerne le défaut de récupération pendant le sommeil, et peut s'expliquer assez simplement parfois par des douleurs, de la fièvre, des difficultés respiratoires, etc. qui empêchent les patients de bien dormir.
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
Le test de 5 mots, le dessin de l'horloge, le Finger Tapping Test, une variante chronométrée de la séquence gestuelle de Luria et une échelle d'activités instrumentales de la vie quotidienne comme l'IADL4 permettent de réaliser aisément une évaluation cognitive rapide.
Les troubles cognitifs du déprimé se manifestent par un désintérêt, une lenteur à la prise de décision, des difficultés d'attention, de concentration et une perte de l'incitation à agir.
Pour poser un diagnostic de démence, un professionnel de la santé devra faire plusieurs autres tests, comme des analyses de sang particulières, des IRM du cerveau (simples ou avec des substances radioactives selon le cas), ou une ponction lombaire avec dosage des protéines du liquide céphalo-rachidien.