La sémiologie médicale est la partie de la médecine qui étudie les signes que peut relever le médecin à l'examen clinique ou avec des examens complémentaires, à partir desquels il dresse un tableau clinique. Elle étudie également la manière de les relever et de les présenter afin de poser un diagnostic.
SYMPTOMATOLOGIE, subst. fém. A. − Étude des symptômes des maladies.
Ensuite, le symptôme est un signe ressenti par le malade. Parmi les symptômes, on a par exemple la fièvre, la douleur, les frissons. Et en ce qui concerne le syndrome, c'est un ensemble de symptômes qui évoquent la présence d'une maladie.
Un symptôme est un signe, un trouble observable par un patient, qui est la manifestation d'une maladie et de son évolution.
Les tests de détection des antigènes révèlent directement la présence d'un micro-organisme, de cette façon le médecin peut diagnostiquer l'infection rapidement, sans attendre que la personne produise des anticorps en réponse au micro-organisme.
Érès): "En psychiatrie, le soliloque, c'est-à-dire le discours qu'une personne seule se tient à elle-même, est l'un des premiers signes diagnostiques isolés de la schizophrénie ou de certaines formes de psychose.
La maladie d'Alzheimer.
-L'annonce du cancer : c'est une consultation longue et spécifique, dédiée à l'annonce du diagnostic. Elle est réalisée par un médecin acteur du traitement oncologique et représente un moment fort de la relation de confiance entre soignants et patients qui doit renforcer la prise en charge globale des patients.
Rem. Ce terme est parfois synon. de maladie. SYNT.
Les maladies neurodégénératives se caractérisent par la destruction progressive de certains neurones. Elles regroupent plusieurs pathologies : maladie d'Alzheimer et maladie de Parkinson, sclérose en plaques, sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, maladie de Huntington…
Malformation syndromique rare causée par une consommation excessive d'alcool par la mère pendant la grossesse.
étiologie n.f. Étude des causes des maladies.
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée. Il est bénéfique lorsque de courte durée et adapté, il stimule alors notre dynamisme et la prise de décision.
De nombreux travaux de neurosciences montrent qu'une exposition à un stress chronique affecte l'hippocampe, le siège de la mémoire et des émotions. Une neurotoxicité qui explique les troubles de mémoire chez les dépressifs.
Parler tout seul est un bon signe!
En effet, des scientifiques de l'Université de Bangor au Royaume-Uni ont mené une étude qui le confirme. Parler à voix haute développe des bienfaits cognitifs ! Les personnes qui utilisent cette pratique, supposée être un réflexe, peuvent être très intelligents.
La logorrhée est un terme médical qui désigne une surproduction verbale. Une personne logorrhéique ressent un besoin intarissable de parler. Son flux de paroles est précipité, diffus et continu. La logorrhée est souvent associée à une tachyphémie, c'est-à-dire à une accélération progressive du débit d'élocution.
Une envie d'uriner trop fréquente est parfois le signe d'une hyperactivité de la vessie. L'hyperactivité vésicale résulte d'une contraction anormale du muscle de la vessie, dont la cause n'est pas identifiée.
Deux à soixante jours après la contamination, un bouton indolore affleure au niveau génital – vagin, vulve, col de l'utérus, rectum, mais aussi bouche ou gorge.