La tempérance est la vertu morale qui modère l'attrait des plaisirs et procure l'équilibre dans l'usage des biens créés. Elle assure la maîtrise de la volonté sur les instincts et maintient les désirs dans les limites de l'honnêteté. Dans l'Épître à Tite 2, 12, elle est un cadre de vie pieuse.
1. Sobriété dans l'usage des aliments et surtout des boissons alcoolisées. 2. Une des quatre vertus morales, dites vertus cardinales, qui discipline les désirs et les passions humaines.
Rester doux avec soi-même, accepter ce qui est, sans brusquerie envers sa propre nature, sans nier sa vie mentale et émotionnelle, mais simplement se permettre de la stimuler et de la calmer à volonté : une manière pure et parfaite de se centrer sur son corps et son esprit.
Synonyme : ascétisme, frugalité, sobriété. Contraire : gloutonnerie, goinfrerie, gourmandise, intempérance, ivresse.
La Bénignité définit la disposition du coeur qui consiste à ne pas « faire une montagne » de ce qui est « bénin », de ce qui est sans gravité ; à savoir examiner les choses dans leur juste proportion, même à savoir minimiser une situation au lieu d'en faire un problème.
Les Fruits de l'Esprit Saint. « Mais le fruit de l'Esprit, c'est la charité, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la longanimité, la mansuétude, la foi, la modestie, la continence et la chasteté » (Galates 5, 22).
Littéraire. Disposition d'esprit qui incline à une bonté indulgente : Faire preuve de mansuétude à l'égard d'un coupable.
1. Attitude de quelqu'un qui admet chez les autres des manières de penser et de vivre différentes des siennes propres. 2. Latitude laissée à quelqu'un d'aller dans certains cas contre une loi, un règlement : Une tolérance orthographique.
Caractère de quelqu'un de prodigue, propension à la dépense : Sa prodigalité finira par le ruiner.
Caractère, comportement de quelqu'un qui est éloigné de toute position excessive, qui fait preuve de pondération, de mesure dans sa conduite : Faire preuve de modération dans les repas.
– «La tempérance est la vertu morale qui modère l'attrait des plaisirs et procure l'équilibre dans l'usage des biens créés. La tempérance assure la maîtrise de la volonté sur les instincts et maintient les désirs dans les limites de l'honnêteté.
Une Vertu est une ferme disposition à faire le bien et à éviter ce qui est mal. C'est à la fois une grande qualité morale et une force surnaturelle divine. Les vertus cardinales, célébrées depuis l'Antiquité grecque, sont au nombre de 4 : Prudence, Tempérance, Force d'âme, Justice.
et n. Qui dépense sans mesure, follement. prodigue adj. Qui donne sans compter quelque chose.
Sentiment, état d'esprit de quelqu'un qui a conscience de ses insuffisances, de ses faiblesses et est porté à rabaisser ses propres mérites : Avouer ses fautes avec humilité. 2. Littéraire. Caractère de ce qui est modeste, peu important, sans prestige : L'humilité d'une tâche.
Désir immodéré de l'argent et des richesses.
La tolérance est l'harmonie dans la différence. Elle n'est pas seulement une obligation d'ordre éthique ; elle est également une nécessité politique et juridique. La tolérance est une vertu qui rend la paix possible et contribue à substituer une culture de la paix à la culture de la guerre.
fanatique. qui a une passion excessive pour quelque chose ou pour quelqu'un (comme une star, une idole...)
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
1. Patience à supporter ses propres maux. 2. Indulgence qui porte à pardonner ce qu'on pourrait punir.
1. Disposition morale qui incline à la douceur, la patience, au pardon. Synon. bénignité, bienveillance, bonté, débonnaireté, indulgence, miséricorde; anton.
Les dons du Saint-Esprit sont différents des neuf fruits de l'Esprit, qui sont énumérés par Paul de Tarse dans l'Épître aux Galates : ceux-ci sont l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, et la tempérance.
Les sept donsdu Saint-Esprit sont la sagesse, l'intelligence, le conseil, la force, la science, la piété et la crainte de Dieu. Ils appartiennent en leur plénitude au Christ, Fils de David (cf Is 11).
A. − Phénomène extraordinaire auquel on attribue une cause surnaturelle. Synon. miracle.