Comme on l'a vu dans un article précédent, les activités humaines peuvent se diviser en six classes : le prélèvement des ressources, la fabrication de biens, le transport des biens et des personnes, l'agriculture & l'élevage, l'urbanisation et la production et consommation d'énergie.
exploitation minière; utilisation de pesticides en agriculture; incinération des déchets; utilisation de divers produits chimiques volatils.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
la surexploitation des ressources vivantes, en particulier des ressources marines ; l'exploitation intensive des ressources pour l'alimentation et/ou pour produire de l'énergie, qui provoquent la disparition de nombreuses espèces et des déséquilibres entre espèces au sein des milieux de vie.
Les activités humaines sont le principal facteur de l'érosion actuelle de la biodiversité, notamment à travers la surexploitation des ressources (biosphère, sol, ressources minières, etc.), la pollution, le réchauffement climatique, etc.
La dégradation des sols dans le monde est principalement due aux activités humaines : agriculture intensive, irrigation, déforestation, surpâturage, pollutions industrielles.
et les activités humaines (industries, transports, agriculture, chauffage résidentiel, etc.) sont à l'origine d'émissions de gaz et de particules dans l'atmosphère. Une fois émises dans l'air, ces substances sont transportées sous l'effet des vents, de la pluie, des gradients de température dans l'atmosphère.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
L'Homme est une partie de l'environnement. Sa survie dépend de la protection écologique. La mauvaise gestion de l'environnement peut avoir des conséquences graves sur la vie humaine, les animaux, les végétaux…
Il y a en effet le problème du changement climatique qui réchauffe, acidifie et élève les mers. Mais aussi celui de la pêche commerciale et de la pollution des eaux de ruissellement. Les transports maritimes qui s'intensifient et bien sûr, la pollution plastique.
Il faut comprendre par impact, la conséquence ou l'effet d'une action sur autrui ou sur l'environnement. Ainsi, une entreprise profitable, qui produit par exemple des meubles, aura un impact social positif car elle créée de l'emploi, paie des impôts nécessaires aux services publics et rémunère ses actionnaires.
L'homme a un rôle central à l'intérieur de la nature parce qu'il est fondamentalement différent du reste des réalités naturelles. Il est non seulement une partie de la nature, mais aussi l'unique être capable de saisir l'intelligibilité de l'univers. C'est le principe même de l'anthropocentrisme.
acidification de l'air ; formation d'ozone troposphérique ; appauvrissement de la couche d'ozone ; particules et effets respiratoires des substances inorganiques.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Selon le type de polluant, on peut classer la pollution en trois catégories : pollution physique, pollution chimique et pollution biologique.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Article connexe : Anthrosol. L'érosion anthropique d'un relief, des sols ou d'un modelé naturel est l'ensemble des processus de dégradation du relief et des sols dû à l'action humaine. Le terme provient du grec ancien ἄνθρωπος / ánthrōpos (« être humain »).
Les facteurs directs de changement les plus importants comprennent entre autres : la transformation des habitats, le changement climatique, les espèces envahissantes, la surexploitation et la pollution.
Les changements climatiques peuvent également être causés par les activités humaines, comme l'utilisation de combustibles fossiles et la conversion de terres pour la foresterie et l'agriculture. Depuis le début de la révolution industrielle, l'influence anthropique sur le système climatique a augmenté considérablement.
Qu'est-ce que l'effet de serre additionnel ? Par extension, on indique par "effet de serre" l'augmentation de l'effet de serre provoquant le réchauffement climatique. Les activités humaines ont déséquilibré le phénomène naturel du gaz à effet de serre.
L'empreinte carbone de la France
On estime qu'en 2017, l'empreinte carbone moyenne d'un français était de 11,2 Teq CO2 par habitant. Ce chiffre comprend donc les émissions directes (liées notamment à notre production) et les émissions indirectes liées à nos importations.