1. Base, élément essentiel sur lequel s'appuie tout le reste ; principes sur lesquels se fonde un système : Jeter les fondements d'une doctrine. 2. Raison solide qui appuie la réalité de quelque chose, le justifie : Des nouvelles sans fondement.
Synonyme : cause, justification, mobile, motif, origine, pourquoi, racine, raison, source, sujet. – Littéraire : commencement, principe.
Le fondement, c'est la raison d'être, la justification. Il est logique, moral, ou juridique, et n'a de sens que pour la pensée.
Le fondement est ce qui sert de base, de principe, de légitimation à quelque chose. Le fondement est soit la cause de l'existence d'une chose, soit ce qui permet de justifier son existence.
Définition "sans fondement"
Qui n'est pas fondé.
Le fondement même de la vie, c'est la santé. Il semble logique de penser que les organismes ont été créés ou se sont développés pour progresser vers une santé optimum. L'ostéopathe doit donc chercher la santé et travailler avec ce concept, plutôt qu'avec l'idée de maladie.
assise, bas, base, fondement. Contraire : bord, extérieur, seuil. 2.
Le monde est ainsi dominé par la volonté. Cette dernière est le fondement de toutes choses, y compris de la moralité. Schopenhauer pense que la moralité doit être fondée sur la compassion, la pitié et l'empathie. Il développe cette pensée dans Le Fondement de la Morale.
Du point de vue chronologique, la perception constitue le fondement de la connaissance, dans la mesure où toute connaissance du monde se fonde sur la perception de celui-ci. Ainsi est-il nécessaire, pour définir la chaleur, d'avoir au préalable fait l'expérience sensible de divers objets ou phénomènes liés à celle-ci.
L'autonomie de la volonté est pour Kant le principe suprême de la morale.
Les termes « fondation, fondement » désignent souvent, au fig. : la base de la terre, considérée comme une immense construction du Dieu Créateur (Job 38:4, Ps 18:8,16 24:2 Esa 24:18, Sir 10:16 16:19, Judith 16:15) ; les principes de justice et de loi morale sur lesquels repose le monde (Esa 28:16, Ps 11:3 82:5 Pr 10:25 ...
Il s'agit d'une compréhension en profondeur du cadre de vie, qui trouve ses origines dans des dispositions naturelles et humaines. C'est bien la relation des hommes à leur environnement qui a constitué cette multiplicité de paysages, et c'est elle que l'on cherche à décrypter dans ces pages.
Le fondement de la société et de l'État ne sont donc pas des phénomènes naturels, mais des artifices destinés à assurer la survie de l'espèce humaine.
Synonyme : capital, cardinal, central, constitutif, crucial, dominant, élémentaire, essentiel, foncier, important, maître, nécessaire, premier, prépondérant, primordial, principal, radical, substantiel, vital.
Synonyme : constitution, création, édification, érection, établissement, instauration, institution.
En termes modernes le fondement ne peut être qu'une synthèse du rationalisme, qui est le point de vue de l'être, et de l'existentialisme, qui est le point de vue de la liberté concrète. Cette synthèse nous est donnée dès la plus simple expérience, qui est celle de l'étonnement.
Comprise comme expérience religieuse réellement advenue dans une religion, la connaissance naturelle de Dieu ne se trouve pas en rupture avec la connaissance de foi. Il s'agira plutôt de montrer la foi chrétienne comme l'« ample recueillement de tout l'authentique divin qui s'est vécu parmi les hommes » (347).
La philosophie doit structurer tous les champs disciplinaires, leur donner leur solidité et leur façon de prouver. La métaphysique se présente comme science fondamentale, science dont les autres tireront leurs principes et leurs règles de procédure.
Ce sont les maximes suivantes : 1. Penser par soi- même ; 2. Penser en se mettant à la place de tout autre ; 3. Toujours penser en accord avec soi-même.
“La nature agit, l'homme fait.” “Dans les ténèbres, l'imagination travaille plus activement qu'en pleine lumière.” “Deux choses remplissent mon esprit d'une admiration et d'un respect incessants : le ciel étoilé au dessus de moi et la loi morale en moi.”
Considérée comme l'instrument par excellence du progrès durant le siècle des Lumières, la raison a néanmoins été critiquée au sein même des débats philosophiques dès le début du XIXe siècle par les romantiques qui lui opposent le sentiment, par Nietzsche, qui lui préfère le corps, ou encore par Bergson, qui valorise ...
Contraire : anxiété, appréhension, crainte, défiance, doute, méfiance, soupçon, suspicion. 2.
Contraire : asthénie, débilité, déclin, décrépitude, faiblesse, fragilité.
Le contraire de "synonyme" est "antonyme". "Antonyme" est un mot formé à partir de l'étymologie grecque "anyonymos". Cette étymologie se compose du préfixe privatif "anti-", signifiant "contre" ou "opposé", accolé au mot "onoma" signifiant "nom". Le contraire de synonyme est donc un mot qui a un sens opposé à un autre.