Définition du management autoritaire C'est un style de management qui se rapproche d'une gestion à sens unique, du haut de la hiérarchie vers le bas. Ainsi, c'est le manager qui va donner les directives à suivre et structurer les activités. En ce sens, il exerce une forme de contrôle sur ses collaborateurs.
Une meilleure responsabilisation : en raison du fait que les dirigeants et le manager donnent des ordres clairs, précis et concis ; la responsabilisation est plus conséquente. Cela est en grande partie dû au fait que chacun connaisse ses tâches et sache exactement ce qu'il doit faire à l'instant T.
Le leadership autoritaire : Le leadership autoritaire se caractérise par une forte autorité et une prise de décision centralisée. Le leader exerce un contrôle strict sur son équipe, prenant des décisions unilatérales.
Le leadership autoritaire ou “directif” repose sur un chef directif dans sa passation d'ordres, lesquels ne peuvent pas être discutés par le reste du groupe. Le statut du chef s'apparente au paternalisme où une seule figure fait office d'autorité.
Selon Rensis Likert, psychologue américain, on peut distinguer quatre grands types de management : le management directif, le management persuasif, le management participatif, et le management délégatif.
Par exemple, avec un patron « autoritaire », mieux vaut être diplomate, ne pas vous opposer immédiatement à lui, même si objectivement ses idées sont mauvaises. Prenez le temps de la réflexion pour pointer les avantages, les risques de sa décision, etc.
Son principal avantage c'est la rapidité de la prise de décisions et la responsabilité claire quant aux conséquences de celles-ci. De plus, il existe des métiers (ou parfois juste des circonstances) où le management autoritaire est très efficace, surtout en situation d'urgence.
Cela implique : Une confiance du groupe vers le leader et une confiance du leader vers le groupe ; Un respect mutuel et une écoute réciproque ; Et bien entendu l'exemplarité du leader, s'il veut conserver la confiance du groupe dans le temps.
Nos comportements, nos pensées et nos actions correspondent à des catégories de management : le style directif, persuasif, participatif et délégatif.
Manager toxique ? Vous savez, ce supérieur hiérarchique au management délétère pour la santé mentale et le moral de ses collaborateurs. Celui qui non content de pourrir l'ambiance finit même par plomber la productivité des autres. Et qui paraît pourtant indéboulonnable.
Le style de management le plus efficace pour les performances des employés est le management participatif. Ce style encourage les employés à prendre part aux décisions concernant leur travail, ce qui leur donne un sentiment d'appartenance et de responsabilité.
Il existe trois niveaux de management : le management stratégique, le management opérationnel et le management tactique. Combinés, ils sont la colonne vertébrale de la gestion des ressources humaines en entreprise.
Comment reconnaître une personne autoritaire ? Elle fait un classement simpliste et rigide du monde : il y a les gentils et les méchants, les gens sains et malsains, les bons diplômes et les mauvais, les vrais entrepreneurs et les faux, la bonne façon de faire et la mauvaise, etc.
Les limites du management directif
Malgré ses avantages, le management directif présente également plusieurs limites, telles qu'un manque de créativité et d'innovation, une démotivation des employés, un risque de turnover élevé et une difficulté à s'adapter aux changements de marché.
Le style « participatif » correspond à un management plutôt « collaboratif » : le manager participatif est focalisé sur les relations humaines conviviales et veut développer une bonne ambiance de communication. Sa « croyance » : une équipe qui s'entend bien est une équipe qui réussit.
Leaders et managers cherchent à motiver leurs équipes afin qu'elles fassent la différence et obtiennent les résultats souhaités. Cependant, les managers se préoccupent davantage des aspects opérationnels du processus, alors que les leaders préfèrent encourager et donner les moyens à chacun d'accomplir ses objectifs.
Un bon leader, plus que quiconque, se doit de communiquer avec transparence et sincérité dans toutes les situations. Il doit savoir encourager en cas de réussite mais aussi et surtout assumer les erreurs en cas d'échec, sans travestir la réalité. Il en va de sa crédibilité et de sa légitimité.
Limites du management directif
Il ne permet pas aux salariés de mieux s'épanouir dans leur environnement de travail. Lorsque l'équipe n'est pas assez motivée, elle peut s'ennuyer facilement et lâcher prise au moment inattendu. Le management directif diminue l'estime de soi des employés.
S'ils ont une certaine expérience et sont capables de prendre des décisions, tout en étant autonome, le style délégatif ou participatif peut vous correspondre. Dans le cas contraire, c'est le management directif ou persuasif qui sera le plus adapté à vos moyens.
Adjectif. Associé à une personne qui use ou montre de l'autorité. (Vieilli) Associé à une personne qui est partisanne de l'autorité comme valeur prédominante d'un régime, d'un système, d'une institution. Associé à un concept, une idée, une chose qui manifestent de l'autorité.
Avant de partager votre déception à votre patron, évaluez la situation et identifiez la cause de vos frustrations. Identifiez si le problème est un facteur qu'il est capable ou susceptible de changer. Il est aussi nécessaire d'être honnête avec vous-même.
Si vous avez affaire à un manager toxique, vous pouvez dénoncer ses pratiques auprès de la direction. Mais si vous craignez des représailles, vous feriez mieux de trouver un autre emploi. Un manager toxique peut faire beaucoup de mal, s'attaquer à lui peut finir par faire encore plus mal.