Apparu au cours de l'année 2023, le mot « quoicoubeh » est en fait une réplique en réponse à la question « quoi ? » ou lorsque son interlocuteur termine une phrase par le mot « quoi ». « Quoicoubeh » n'a aucun sens précis et fonctionne davantage comme un piège tendu à son interlocuteur.
Pourquoi les gens disent quoicoubeh ? le nouveau jeu verbal à succès sur TikTok ! Quoicoubeh est un nouveau mot qui fait fureur chez les préadolescents depuis quelques mois. Il est utilisé comme un jeu verbal, un piège pour piéger les autres.
Le concept est simple : piéger son interlocuteur, en l'obligeant à dire "quoi ?" ou à utiliser un mot avec le son "quoi", pour lancer "quoicoubeh !" Même chose pour un autre terme à la mode "apanyae" : le but est de dire quelque chose d'incompréhensible, pour que l'interlocuteur demande "hein ?", et lui répondre " ...
« Quoicoubeh », « Apanyae » : ces expressions, populaires sur les réseaux sociaux, sont une manière pour les jeunes de jouer avec la langue française et de participer à son évolution. Sur le réseau social chinois TikTok, les vidéos avec le hashtag « Quoicoubeh » sont vues des dizaines de millions de fois.
Des variantes existent. Si un interlocuteur répond: «Hein?», au lieu de «Quoi?», il se verra répondre: «Heinpayaye».
Crée par le TikTokeur La Vache (@lachevaspam, @camskolavache) la réplique se présente sous la forme d'un défi. L'idée ? Piéger son interlocuteur (un ami, un prof, un inconnu…) en prononçant une phrase inaudible pour qu'il nous réponde "quoi ?" ou "hein ?".
Interjection. (Par plaisanterie) Expression n'ayant aucune signification, utilisée en réponse à la question « hein ? ».
La première fois que ce mot est apparu, c'est le 13 décembre 2022, sur le compte TikTok La Vache. En moins de quatre mois, le #quoicoubeh a dépassé les 130 millions de vues sur le réseau social. À tel point qu'aujourd'hui, "quoicoubeh" devient, chez certains jeunes, un tic de langage.
Le mot « quoicoubeh » est une réplique qu'on lance à quelqu'un qui dit « quoi » ? Ou qui termine une phrase par le mot « quoi ». Elle fonctionne ainsi de la même manière que « coiffeur » (pour « quoi ? - feur »), une autre réplique de cour d'école qui existe depuis les années 1980.
Ce n'est pas un mot ! Plutôt le résultat d'un jeu avec les mots, un jeu qui ne vole pas très haut : feur est ce qu'on répond à une personne qui dit une phrase se terminant par le mot quoi . Par exemple, une personne dit : t'en penses quoi ? Et l'autre répond seulement : feur .
"Du coup": Familier. Signifie "par conséquent". Cette locution peut être utilisée pour créer un lien de causalité entre deux événements. Il peut être employé pour parler d'une conséquence immédiate.
Ces mots ont envahi les cours de récréations pourtant, ils n'ont pas de signification ! Il s'agit d'un nouveau défi, un jeu de langage, venu de TikTok, et qui fait un carton chez les jeunes. « Quoicoubeh » est une expression qu'on lance à quelqu'un qui vient de dire « quoi ? ».
C'est une sorte de version moderne des « Quoi ? » « Feur » et autre. Ici, quand quelqu'un dit « quoi », il faut lui répondre « Quoicoubeh » et quand quelqu'un dit hein, il faut lui répondre « Apanyae ». « Le mot « quoicoubeh » est une réplique qu'on lance à quelqu'un qui dit quoi ?
Ce jeu de langage étrange aurait pour inventeur Camsko La Vache, un tiktokeur de 22 ans aux 350 000 abonnés, dont les répliques onomatopéiques circulent depuis quelques mois sur les réseaux.
Une frappe : une personne de bon goût. Une tchoin : se dit d'une fille facile, certains rappeurs utilisent ce terme pour désigner des prostituées. Magl : mon ami (ma gueule). Michto : une menteur, menteuse, se dit aussi d'une personne qui fait les choses par intérêt (michtonneuse).
Lorsqu'une personne s'interroge en prononçant le mot "Quoi ?", l'enfant rétorque "Coubeh", ce qui donne ce nouveau mot "Quoicoubeh". À l'instar de coiffeur - "Quoi ? ...
Masculin ou féminin ? Au départ, kichta était surtout employé au masculin, mais il est devenu féminin. On dit aujourd'hui une kichta , la kichta .
Définitions de « quoicoubeh »
Il s'agit d'une réplique en réponse à la question « quoi ? » ou lorsque son interlocuteur termine une phrase par le mot « quoi ». « Quoicoubeh » n'a aucun sens précis et fonctionne davantage comme un piège tendu à son interlocuteur.
biloute n.m. et adj. Dans le Nord, terme d'affection (pour désigner un petit garçon ou un homme, particulièrement).
1. Entamer la matière de quelque chose, sectionner avec un objet ou un instrument tranchant : Couper la ficelle avec des ciseaux. 2. Sans complément, trancher ou écorcher, blesser en faisant une coupure : Couteau qui coupe.
Ce sont des mots ou des phrases comme « euh… », tu as déjà entendu ça, « bah… », des « voilà », des « tu vois ». Ce genre de mots ou phrases sont très rencontrés en français. Ils sont surtout utilisés par les Français pour éviter les silences.
La formule «en fait» peut devenir une béquille à l'oral. Une façon de redonner un rythme, une certaine euphonie à une parole - histoire de bien chuter ou de garder le contact avec son interlocuteur (ce que l'on nomme «la fonction phatique du langage» en linguistique).
Mais le “en vrai” a ceci de particulier : il prétend à une sorte de rupture, plus forte que la conclusion à laquelle nous mène un “du coup” et plus frappante que le “en fait” assez banal, il faut le dire.
Les ados d'aujourd'hui lui ont trouvé son équivalent : à la place de « feur », il faut maintenant répondre « Quoicoubeh ».