Le virus du papillome humain (VPH) est une infection transmissible sexuellement qui se transmet le plus facilement lors des contacts sexuels. La plupart des infections au VPH se résorbent sans traitement, mais certaines souches du virus peuvent causer des verrues génitales ou anales ou évoluer en cancer.
Tumeur non cancéreuse (bénigne) qui prend naissance dans les cellules épithéliales. Les papillomes peuvent se développer sur la peau ou sur les muqueuses qui tapissent l'intérieur des cavités corporelles. Les papillomes qui sont causés par le virus du papillome humain (VPH) sont appelés verrues.
Les verrues, encore appelées papillomes viraux, sont des lésions cutanées bénignes, c'est-à-dire sans gravité, correspondant à des excroissances de peau. Elles sont liées à l'infection de la peau par un virus appelé « human papillomavirus » ou HPV dont il existe de nombreux types différents.
Le virus du papillome humain lui-même ne peut pas être traité, mais ses symptômes et ses conséquences sont traités. Pour traiter les verrues qui peuvent apparaître dans les cas à faible risque, des traitements médicaux, la congélation, l'abrasion ou l'ablation chirurgicale peuvent être appliqués.
Quels sont les symptômes ? La grande majorité des infections à HPV sont silencieuses. L' infection[Définition] à papillomavirus[Définition] peut se manifester par des démangeaisons, des saignements et des petites verrues (condylomes) sur les organes génitaux[Définition] ou l' anus[Définition] .
Dans la majorité des cas, l'infection à papillomavirus ne provoque aucune maladie. Mais lorsqu'elle persiste dans le temps et qu'elle est due à un papillomavirus à haut risque cancérigène, comme les HPV 16 et 18, elle peut, dans un petit nombre de cas, aboutir à un cancer(1,2).
En cas d'infection à HPV, vous pouvez continuer à avoir des rapports sexuels. L'infection à HPV est très fréquente et le plus souvent transitoire. La plupart du temps, le système immunitaire permet d'éliminer spontanément ces virus et les infections sont sans conséquence.
La transmission peut avoir lieu par voie cutanée (caresses), par des supports souillés (linge de toilette), mais aussi lors du contact entre une muqueuse infectée et une muqueuse saine (rapport sexuel vaginal, oral ou anal). Le virus est absent du sperme, de la salive ou du sang.
Les papillomavirus humains (HPV) de type 16 et 18 sont responsables de 70% des cancers du col de l'utérus. La contamination se fait le plus souvent dans les premières années de la vie sexuelle et environ 80 % des femmes sont exposées à ces virus au cours de leur vie.
Le condylome est une verrue des parties génitales. Généralement sans gravité, cette infection sexuellement transmissible révèle toutefois une contamination à un ou plusieurs papillomavirus humains. Certains de ces virus étant facteurs de cancer, une prise en charge est recommandée.
Quels examens pour le dépister ? Le dépistage du virus HPV se fait par le frottis et le test HPV. "Le but du frottis est de repérer des cellules anormales au niveau du col de l'utérus, avant même qu'elles ne deviennent cancéreuses.
des douleurs persistantes dans le dos, les jambes ou le bassin ; une perte de poids, de la fatigue, une perte d'appétit ; des pertes vaginales malodorantes et une gêne au niveau du vagin ; et.
Est-ce que la femme peut transmettre les papillomavirus (HPV) à l'homme ? Oui, ces virus sont sexuellement transmissibles, dans les deux sens !
Quiconque est actif sexuellement peut attraper le virus. Des études montrent qu'environ 75 % des hommes et des femmes actifs sexuellement sont susceptibles de contracter une infection à VPH dans la région anogénitale un jour ou l'autre.
Dans tous les cas, les verrues sont un signe d'une fragilité immunitaire, et/ou d'une carence en magnésium, dans certains cas elles sont liées à un état de stress (chronique), ou à une carence en fer.
Peut-on traiter le VPH? Bien qu'une infection à VPH ne se guérisse pas, les verrues, les lésions et les changements précancéreux ou cancéreux causés par le virus se gèrent ou se traitent. Aucun traitement ne permet de garantir que l'organisme est débarrassé de l'infection à VPH.
Il n'existe pas de traitement de l'infection à papillomavirus latente. On surveille l'évolution et on traite les lésions associées aux HPV : condylomes, dysplasies et cancers. Vous vous étonnez que le corps puisse, seul, éliminer cette infection même si elle est renouvelée.
Le risque de cancer varie suivant les génotypes : les génotypes 16, 18, 31, 33 et 35 sont les plus dangereux. D'autres HPV provoquent des dysplasies bénignes : les condylomes ano-génitaux.
Les signes et symptômes du cancer du col de l'utérus comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux, entre autres entre les menstruations, après la ménopause et à la suite de relations sexuelles. pertes vaginales anormales ou plus abondantes. pertes vaginales malodorantes.
Des douleurs pelviennes peuvent être l'un des symptômes d'alerte d'un cancer du col de l'utérus. "Malheureusement le plus souvent, quand la femme a mal au niveau de la région pelvienne (partie basse du ventre), on est sur un cancer qui est déjà bien avancé", prévient le Pr Carcopino.
La transmission est habituellement cutanée . Les papillomavirus humains (HPV) se transmettent habituellement par contact direct de peau à peau et, dans les infections génitales, le plus souvent, mais pas exclusivement, lors de rapports sexuels avec pénétration.
Sans que ce soit lié à une nouvelle infection, le papillomavirus humain (HPV) peut se réactiver chez les femmes après la ménopause suite à une infection acquise des années auparavant, et ces infections peuvent rester ainsi, à l'état latent jusqu'à durant 2 ans, en dessous des limites de détection, un peu comme le virus ...
Chances de guérison et cancer du col de l'utérus
Les taux de guérison sont élevés mais dépendent du stade. Lorsque le cancer du col de l'utérus est : microscopique (micro-invasif), il est proche de 100 % limité au seul col utérin, 80 à 85 % des malades peuvent être guéries.
La contamination par le HPV est dans la majorité des cas asymptomatique. Le temps qui s'écoule entre la contagion et l'apparition des symptômes peut varier de plusieurs semaines à plusieurs années. Il existe différents symptômes en fonction des différentes souches du papillomavirus.
Seul un traitement préventif existe contre l'infection HPV, il s'agit de la vaccination contre le virus HPV. Elle permet d'éviter l'infection par ce virus grâce aux anticorps produits qui neutraliseront le virus HPV.