Le sigle PKE peut signifier : Pluto Kuiper Express, un projet de mission spatiale de la NASA qui devait survoler Pluton et son satellite Charon puis un autre objet de la ceinture de Kuiper.
On en déduit l'expression suivante : pKe = pH + pOH A 25°C, le Ke étant égal à 10-14 alors le pKe est égal à 14. Par conséquent, la somme du pH et du pOH est toujours égale à 14 à 25°C. Remarque : comme dit précédemment, le Ke dépend de la température. Le pKe est donc égal à 14 uniquement à 25°C.
Cette relation est valable à tout instant. La valeur de Ke dépend de la température : Ke = 10−14 à 25◦C.
Dans l'eau, pKa et pKb varient entre 0 et 14 ( = pKe) . Plus la valeur du pKa est faible et plus l'acide est fort ; de même, plus pKb est grand et plus la base est forte. Pour un couple acide-base donné on a toujours la relation : pKe = pKa + pKb.
Constante d'équilibre : produit ionique de l'eau
La constante d'équilibre de cette réaction est également appelée « produit ionique de l'eau » et notée Ke : Ke = [H3O+(aq)] · [OH−(aq)] À 25 °C , Ke vaut 10−14.
En chimie, une constante d'acidité ou constante de dissociation acide, Ka, est une mesure quantitative de la force d'un acide en solution. C'est la constante d'équilibre de la réaction de dissociation d'une espèce acide dans le cadre des réactions acido-basiques.
Exemple de liaisons ioniques avec le sel de table (NaCl) On peut trouver un exemple de liaison ionique dans la cuisine. En effet, lorsque du sodium (Na) est mis en présence de chlore (Cl), les atomes de sodium perdent un électron et les atomes de chlore en gagnent un.
L'acide sulfurique est l'acide le plus fort de notre liste avec une valeur pKa de -10, donc HSO4- est la base conjuguée la plus faible.
Relation entre le pH et le pKa
Le pKa est une grandeur qui permet également de déterminer, pour une valeur de pH donnée, le membre prédominant d'un couple acide base.
Une eau « neutre » possède un pH de 7 unités. Un pH inférieur à 7 indique que l'eau est acide alors qu'un pH supérieur à cette valeur indique qu'il s'agit d'une eau alcaline. La baisse d'une unité de pH implique que l'acidité est multipliée par un facteur 10.
On utilise généralement le Pka plutôt que le Ka pour déterminer la force d'un acide. On remarque que plus l'acide est fort plus le pKa est petit. En effet, si celui est fortement dissocié, la concentration [AH] devient faible.
Le pH initial de la solution est pHinitial = pKa – log ([acide]/[base]) = 4.75 – log (1/1) = 4.75. Le nouveau pH sera : pH = pKa – log ( 1.1 / 0.9 ) = 4.75 – 0.09 = 4.66 Le pH n'aura varié que de 0.09 unité.
pH = - log [H3O+]
où [H3O+] est la concentration molaire en ions oxonium H3O++ exprimée en moles par litre.
Les seules situations où il faut tenir compte de l'autoprotolyse de l'eau sont celles où les solutions d'acide ou de base sont fortement diluées.
Dans la formule ionique, le cation précède l'anion. Exemple : le chlorure de baryum est composé d'ions chlorure Cl- et d'ions baryum Ba2+. La charge apportée par un ion baryum (1 x +2) est compensée par la charge apportée par 2 ions chlorure (2 x -1). La formule est : BaCl2.
1.1.1 Constante d'équilibre de solubilisation
Comme souvent en chimie, on préfère manipuler des logarithmes de ces constantes d'équilibre afin de garder des nombres plus facilement comparables, on définit alors pKs = −log10 Ks.
pKA, = 15,75 (couple H,O/OH-).
L'acide fluorhydrique a la propriété unique de pouvoir dissoudre presque tous les oxydes minéraux, ainsi que la plupart des métaux (seuls le platine, l'or, l'argent et le mercure ne sont pas attaqués).
pH 10 - pH 14 = bases fortes → détergents, soude, eau de Javel. très dangereuse qui aussi est un très fort oxydant qui brule et décolore en désinfectant et tuant tous les organismes vivants, du virus et du microbe jusqu'à nous en commençant par notre peau.
Sur ce plan, le cassis arrive largement en tête de tous les fruits frais. Il possède en effet un indice PRAL de - 6,5. Bon à savoir : l'indice PRAL (potential renal acid load) permet de mesurer l'effet acide ou basique d'un aliment sur l'organisme.
L'ion sodium, de formule Na+, est le cation résultant de la perte d'un électron par un atome de sodium, ce qui lui permet d'atteindre un état électronique plus stable (en l'occurrence, proche de celui du néon, le gaz rare précédant immédiatement le sodium dans le tableau de Mendeleïev).
Si l'atome de Sodium Na perd un électron, il a un proton excédentaire, donc une charge positive en plus, et devient l'ion Na+.
La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons. Grossièrement, elle se forme lorsque chacun des atomes fournit un électron « célibataire » de sa couche externe. Les deux électrons s'apparient alors pour former la liaison.