L'hémiplégie peut être définie comme une paralysie n'affectant qu'un seul côté du corps et pouvant se manifester au niveau de différentes parties du corps comme la jambe, le bras ou le visage. En outre, elle se manifeste par une diminution ou une perte de la motricité.
Symptômes d'une hémiplégie
Le principal symptôme est une difficulté plus ou moins importante à bouger ses membres. Si l'hémiplégie est partielle, le mouvement reste possible mais le muscle est mou. Cela entraîne une maladresse, des difficultés à marcher, une forte fatigue, des chutes…
QU'EST-CE QUE L'HÉMIPLÉGIE ? Lorsque l'AVC a touché l'hémisphère cérébral gauche, l'hémiplégie se situera du côté droit, lorsqu'il aura touché l'hémisphère droit, elle se situera du côté gauche.
Certaines complications peuvent se manifester suite à une hémiplégie, par exemple des douleurs dans les articulations immobilisées, une fragilisation osseuse, des escarres (en lien avec une même position prolongée) ainsi que des troubles de la circulation avec un risque de phlébite ou d'œdème.
L'hémiplégie est une forme particulière de paralysie, qui peut toucher le côté droit comme le côté gauche du corps. Elle est causée par une atteinte au cerveau, qui peut être de naissance ou survenir à la suite d'un AVC.
Comment guérir d'une hémiplégie ? Il n'y a pas de traitement permettant de guérir d'une hémiplégie. Mais une rééducation entreprise le plus rapidement possible après son déclenchement peut permettre au malade de retrouver quelques gestes moteurs afin de lui assurer une certaine autonomie.
Enfiler un t-shirt ou un pull, commencer par la tête, puis les bras. Gilet ou une chemise, démarrer par le bras le plus douloureux. Ajuster les plis dans le dos, demander à la personne âgée de se pencher légèrement vers l'avant. Placer un bras sur sa poitrine pour la maintenir.
« Le déterminant le plus important de la survie à long terme était l'âge au moment de l'AVC », indiquent les auteurs. « Dans le groupe d'âge de 65 à 72 ans, 11 % ont survécu 15 ans après l'AVC. Dans le groupe d'âge moins de 65 ans, 28% ont survécu 15 ans ».
Le patient est invité à participer à sa toilette, et aucun geste qu'il est capable d' exécuter ne sera fait à sa place. La toilette quotidienne se fera au chariot douche si possible, puis debout dès que le patient sera capable de tenir plus de 20 secondes vertical.
L'hémiplégie est l'atteinte de la moitié du corps (membre supérieur et membre inférieur) et l'hémiparésie est une atteinte partielle de la moitié du corps.
Les principaux signes avant-coureurs et symptômes d'un AVC comprennent : une faiblesse d'un seul côté de votre corps. un engourdissement ou un fourmillement au niveau du visage dans les bras ou dans les jambes. une difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres.
De nombreux survivants d'AVC subissent un mémoire faible et, heureusement, suivant qu'il s'agit d'un effet cognitif, la récupération de la mémoire est souvent possible par la rééducation cognitive.
Dans certains cas l'AVC ( accident vasculaire cérébral ) se manifeste par l'apparition brusque d'une instabilité de la marche, d'une chute, de troubles de l'équilibre ou de sensations de vertiges. Vérifiez si la personne atteinte peut lever les deux bras de la même manière à droite et à gauche.
Un accident vasculaire cérébral (AVC), également souvent encore appelé « attaque », survient lorsque la circulation sanguine vers ou dans le cerveau est interrompue par un vaisseau sanguin bouché (AVC ischémique le plus fréquent) ou par un vaisseau sanguin rompu (AVC hémorragique), dans moins de 15% des cas.
Chaque hémisphère du cerveau contrôle le côté opposé du corps. Par exemple, l'hémisphère droit contrôle le mouvement du côté gauche du corps. C'est pourquoi deux causes courantes de l'hémiplégie gauche sont les AVC droits et les blessures au côté droit du cerveau.
Ressentir des douleurs après un AVC est une chose courante. Il existe plusieurs types de douleurs, comme des douleurs d'épaule, des douleurs dues à une crispation involontaire des muscles ou encore des douleurs neuropathiques… Ces dernières douleurs doivent faire l'objet d'une évaluation.
Les réticences de la personne dépendante à être aidée pour sa toilette peuvent ainsi avoir plusieurs causes, variant selon la personne et souvent cumulées ou imbriquées : La pudeur. Le sentiment d'infantilisation. L'inconfort de la toilette, lié notamment à température de la pièce et/ou de l'eau.
S'essuyer de l'avant vers l'arrière
Si aucune limitation physique ne vous empêche de vous essuyer de l'avant vers l'arrière, cette méthode est généralement considérée comme la plus sûre, parce que vous éloignez les matières fécales des parties les plus vulnérables de votre corps, ce qui réduit le risque d'infection.
Le stress peut parfois être utile. Mais trop de stress peut nuire à votre santé et augmenter votre risque de maladies du cœur et d'AVC.
La maladie d'Alzheimer.
Les enfile-boutons
Plusieurs modèles existent. Ce sont des manches terminés par une boucle en métal. Il suffit de les insérer dans la boutonnière puis d'aller chercher le bouton à l'aide de la boucle et de ramener celui-ci pour boutonner. Ce geste est réalisable avec une seule main.
Les premiers temps, passez la tête puis laissez-le enfiler les manches. Montrez lui comment retenir le pull ou le tee-shirt avec la main qui n'est pas en train d'enfiler la manche pour l'empêcher de tourner. Ensuite, présentez-lui le pull ou le tee-shirt déplié devant lui, face contre terre.