Du grec dys signifiant difficulté et tokos, accouchement, un accouchement dystocique est ce que l'on appelle couramment un accouchement difficile, en opposition à l'accouchement eutocique, c'est-à-dire qui se déroule conformément au processus physiologique.
Quelles en sont les causes et les solutions envisagées ? On fait le point. Contractions trop faibles, mauvais positionnement du bébé, inadéquation entre la taille de sa tête et celle du bassin de la mère… autant de problèmes qui peuvent mener à une souffrance et un accouchement difficile, appelé aussi dystocie.
Accoucher dans l'eau
L'accouchement dans l'eau est une méthode d'accouchement par voie basse qui permet de réduire les douleurs liées aux contractions tout en facilitant la dilatation du col. La mère est placée dans une baignoire d'eau à 37°C lorsque les contractions s'intensifient.
Le temps moyen est estimé à 4 heures environ.
Et si le premier enfant a été long à arriver, le second peut se présenter très rapidement ! La phase de latence par exemple, qui est si lente lors d'un premier accouchement, se trouve diminuée de beaucoup lors du second.
Les signes annonciateurs de l'accouchement par voie basse
Les contractions utérines sont d'intensité modérée et irrégulière. L'accouchement proche est annoncé par la perte du bouchon muqueux, la perte des eaux et/ou l'apparition de contractions utérines rapprochées et soutenues.
La grossesse à risques est une grossesse où soit la mère, soit l'enfant souffre d'une pathologie qui les met dans des conditions difficiles. En d'autres termes, cela signifie que des complications peuvent survenir et aggraver la santé de la maman et/ou du bébé.
Les 1ers mois de grossesse sont souvent les plus difficiles pour la femme car ils impliquent des changements hormonaux considérables.
C'est ce qu'on appelle la « couvade ». Certains parlent d'une « grossesse nerveuse », ce qui peut refléter l'état d'anxiété de certains futurs pères à l'idée d'eux-mêmes devenir pères, ou d'une « grossesse sympathique » ou « grossesse compatissante » reflétant l'état d'esprit de certains hommes.
Compresses chaudes ou froides : L'utilisation de compresses chaudes ou froides à l'endroit où la douleur est la plus intense (ex. : dos, bas-ventre et périnée) permet de diminuer sa perception. Ces compresses peuvent être utilisées tout au long de l'accouchement.
L'accouchement par voie basse est l'accouchement naturel par excellence. Il se déroule généralement en 4 grandes étapes : La phase de début de dilatation du col dure en général entre 4 et 6 h. Pendant celle-ci, les contractions utérines sont modérées et irrégulières.
L'accouchement sans douleur (ASD), également appelé méthode Lamaze, est un ensemble de techniques visant à supprimer l'angoisse et les douleurs de l'accouchement par une préparation durant la grossesse et l'utilisation de techniques complémentaires pendant l'accouchement, et par la création d'un rapport de confiance et ...
La douleur est plus forte pendant une contraction, et l'intervalle entre les contractions peut vous permettre de récupérer. Pour certaines femmes, c'est le début du travail qui est le plus difficile, alors que pour d'autres, il s'agit du moment de la poussée.
Accouchement
Un premier accouchement est souvent décrit comme une expérience non seulement douloureuse, mais également très longue (parfois plus de six heures) avec des douleurs dues aux contractions brutales du muscle utérin puis par l'extension du périnée au moment du passage de la tête du bébé.
Dormir sur le dos comprime la veine cave
Dès 24 SA, en décubitus dorsal (allongé sur le dos), l'utérus risque de comprimer la veine cave, grosse veine chargée de ramener le sang vers le cœur.
Créer un lien et une complicité avec son bébé grâce aux caresses exercées sur le ventre de la maman : c'est le principe de base de l'haptonomie, qui est aujourd'hui l'une des méthodes de préparation à l'accouchement les plus populaires.
Il est très fréquent pendant la grossesse. La maman est en proie à des petites angoisses du quotidien, des sautes d'humeur inexpliquées. Mais là encore, il n'y a pas d'incidence sur la santé de l'enfant ou sur le déroulement de la grossesse. Si toutefois ces émotions ne retentissent pas trop sur l'état général.
Il faut donc savoir se coucher suffisamment tôt, faire la sieste ou au moins se reposer au calme dès que possible. Une règle d'or : « On ne peut pas prendre soin d'autrui si on ne prend pas soi-même soin de soi… » Profitez également de vos séances de préparation à la naissance pour investir au maximum cette grossesse.
Seuls le médecin traitant et le gynécologue peuvent prescrire ce type d'arrêt maladie. Il dure 14 jours maximum, de manière consécutive ou non et la salariée touche 90 à 95 % de son salaire habituel, dans les conditions d'un congé maternité.
Plus encore qu'aux premier et deuxième trimestre, le troisième trimestre doit être autant que possible consacré au repos. Une fois en congé maternité, la femme enceinte ne doit pas hésiter à dormir en journée si elle en ressent le besoin, à faire du yoga ou des séances de piscine si cela la détend.
saviez-vous que certaines femmes accouchent naturellement et sans douleur ? Elles peuvent dire merci à leurs gènes : selon une étude menée par une équipe de scientifiques de l'Université de Cambridge en 2020*, cela serait en effet dû à une variation génétique.
Dès que vous sentez venir une contraction, inspirez profondément par le nez pendant 4 secondes. Commencez par gonfler l'abdomen, puis terminez par la cage thoracique. Expirez ensuite fortement durant 8 secondes en prenant soin de garder la bouche molle.
Pour vous entraîner à pousser en inspiration bloquée :
Pour cela, allongez-vous sur le dos, les jambes repliées, et agrippez vos cuises qui sont un peu écartées. Inspirez et soufflez, puis inspirez et bloquez l'air, pendant 5 à 10 secondes en poussant doucement.