Un brasseur d'air n'est autre qu'un ventilateur très performant destiné à un usage professionnel pour ventiler de grandes superficies comme des entrepôts ou autres bâtiments industriels. Quand il est voué à un usage domestique, on parle alors de ventilateur.
Ainsi, alors que les ventilateurs ne font que pousser l'air afin d'aérer une pièce, les brasseurs d'air, eux, génèrent une sorte de vortex, dans lequel se concentre un flux d'air si puissant qu'il se transforme en tourbillon. De plus, les ventilateurs ne peuvent pas fonctionner à vitesse maximale de façon continue.
Comment fonctionne un brasseur d'air ? Le brasseur d'air se compose d'une hélice à pales, montée sur une tête (rotor), parfois inclinable selon divers angles. Il se met en marche grâce à un bouton d'allumage qui actionne les pales en un mouvement de rotation plus ou moins important en fonction du réglage de la vitesse.
Si on estime une utilisation durant la moitié de l'année, sur une durée de 12 heures par jour, un ventilateur utilisera donc en moyenne 54 kWh, soit un prix d'environ 8 € par an avec un fournisseur alternatif comme TotalEnergies, moins cher que le fournisseur historique au tarif réglementé.
Dans la plupart des foyers, le brasseur d'air est placé au centre de la pièce (salon, salle à manger, chambre…). De cette façon, le brasseur d'air procure une circulation d'air répartie uniformément dans presque toute la pièce.
Le prix d'un brasseur d'air dépend de sa puissance, des options et du fabricant. Comptez de 100 € environ à plus de 1 000 €.
L'air provenant de l'extérieur circule à travers un conduit enterré, où il se réchauffe ou se refroidit, pour ensuite être diffusé à l'intérieur du logement.
N°1 : le four.
C'est l'appareil qui consomme le plus d'électricité dans un logement, plus de 1.000 kWh par an en moyenne. Mais il est possible de réduire la facture en optant pour un four à chaleur tournante ou, encore mieux, pour un four combiné (four + micro-onde).
Les climatiseurs qui consomment le moins d'énergie sont ceux qui ont un label énergétique A+++ et A++, donc la première étape avant d'investir dans une climatisation réversible sera de bien lire l'étiquette énergétique.
Côté consommation, le ventilateur colonne est le meilleur élève de la classe avec une moyenne de 8 kWh/an.
Le diamètre de votre ventilateur de plafond doit être adapté à la surface de la chambre. Si celle mesure moins de 15 m², comptez entre 75 et 105 cm de diamètre. Entre 15 et 20 m², optez pour un modèle de 105 à 115 cm de diamètre. Au-delà de 20 m², de 115 à 125 cm de diamètre.
Classement du meilleur ventilateur pour 2022 :
Ventilateur de table Brandson 40W 38,5″ Ventilateur colonne Taurus Alpatec 45W. Ventilateur tour Honeywell ultra silencieux. Ventilateur Dyson Pure Hot + Cool.
Hissé sur une chaise haute bien stable (attention à la perte d'équilibre) on astique doucement le ventilateur, avant de laver soigneusement les pales avec une éponge imbibée d'eau chaude mélangée à du savon de Marseille. Une fois l'appareil bien sec, on l'essuie de nouveau avec le chiffon.
Un débit de 15 m³/min suffit pour un ventilateur sur table mais il faut 100 m³/min pour une pièce de 20 m², 150 m³/min pour une pièce de 30 m² et 350 m³/min pour 70 m².
À l'heure actuelle, l'efficacité de cet appareil est définie par plusieurs points, à savoir : Sa capacité à ventiler l'air dans la pièce : chambre, séjour, bureau, qu'importe l'endroit où est placé le ventilateur, ce dernier doit être suffisamment puissant pour rafraîchir la pièce.
Ainsi, un climatiseur de 2000 watts de puissance consomme en moyenne 2000 watts par heure. Le tarif de l'électricité étant à 16 centimes d'euros en moyenne : un tel climatiseur vous coûtera 32 centimes par heure d'utilisation.
La consommation électrique d'une climatisation réversible est faible, 25 à 40 % de moins qu'un système de chauffage électrique classique. La raison en est simple : la seule dépense électrique de la pompe à chaleur est celle du compresseur qui sert à extraire les calories de l'air extérieur.
Concrètement, une climatisation réversible consomme 25 à 40 % de moins qu'un appareil de chauffage classique. La raison est que le compresseur est le seul à utiliser de l'énergie électrique sur ce type d'appareil. Il s'en sert notamment pour extraire les calories de l'air extérieur.
En utilisant une multiprise équipée d'un système de « coupe veille », c'est-à-dire d'un bouton permettant de couper l'alimentation en courant électrique, vous pouvez, stopper la consommation inutile de plusieurs de vos appareils électriques en veille, tout en réduisant votre facture d'électricité.
Un réfrigérateur combiné ou double portes standard consomme sensiblement la même chose. La consommation d'un frigo américain est environ le double de celle d'un réfrigérateur standard, soit 640 kWh/an. À titre de comparaison, la consommation électrique d'un vieux frigo peut grimper jusqu'à 450 kWh à l'année.
Le chauffage représente, de loin, la plus grosse part de nos consommations d'énergie : 55%. Pas étonnant qu'il soit aussi le champion de la consommation la nuit…
Cela peut être dû à de mauvais joints autour des portes et des fenêtres comme à des murs, un toit ou une isolation de grenier creux, ou même encore des fissures dans les cloisons. De manière générale, l'air froid et sec va essayer de trouver des brèches ou des trous pour s'infiltrer chez vous !
L'humidité, à évacuer
Bain, douche, cuisine : ces activités produisent beaucoup d'humidité et appellent à une ventilation de notre logement pour éviter la condensation de l'eau sur les murs et les meubles. Côté linge, on le fait sécher idéalement à l'extérieur : si ce n'est pas possible, il faut encore une fois aérer.
Pour ventiler sans VMC, l'alternative la plus courante est l'installation d'une ventilation naturelle. Économique, écologique, et peu coûteuse, la ventilation naturelle est particulièrement recommandée pour les nouvelles constructions, et parfois même en rénovation.