Le handicap moteur se manifeste par une aptitude limitée à se déplacer, à exécuter des tâches manuelles ou à mouvoir certaines parties du corps.
Le handicap moteur
L'atteinte à la motricité peut être partielle ou totale, temporaire ou incurable, selon son origine.
avoir du mal à parler ; se fatiguer à se concentrer ; éprouver des difficultés à mémoriser ou à organiser des tâches ; présenter des troubles neurovisuels, appelés aussi "dyspraxie visuo-spatiale".
Handicap moteur
Les causes peuvent être très variées : maladie acquise ou génétique, malformation congénitale, traumatisme dû à un accident, vieillissement… Quelques chiffres1,5% de la population française adulte est atteinte de troubles moteurs isolés, soit environ 850 000 personnes.
Ils regroupent les troubles du développement des coordinations motrices, les mouvements stéréotypés et les tics. Dans les troubles du développement des coordinations, l'enfant présente un retard manifeste dans la mise en place des coordinations nécessaires à l'adaptation au quotidien.
La domotique, qui désigne les techniques de gestion automatisée appliquées à l'habitation, s'avère être très utile pour adapter un logement pour une personne à mobilité réduite. Elle peut prendre par exemple la forme d'un allumage automatique des pièces de la maison grâce à des détecteurs, évitant ainsi les chutes.
Allocation aux adultes handicapés (AAH)
La demande doit être adressée à la MDPH par le biais du formulaire cerfa 15692*01, accompagné des justificatifs nécessaires (certificat médical, copie pièce identité demandeur, etc.). En 2020, le montant de l'AAH à taux plein s'élève à 956,65 € par mois.
Bien souvent, les solutions proposées sont la prescription de psychotropes sur le long terme sans réévaluation, la mise en sécurité en hôpital psychiatrique, le retour au domicile des parents, la contention physique momentanée ou prolongée...
Dans le cadre de votre dossier de demande auprès de la MDPH, vous pouvez en outre faire une demande de carte d'invalidité, de priorité et/ou de stationnement : La carte d'invalidité peut être délivrée si le handicap de votre enfant est reconnu comme supérieur à 80%.
Ce qui caractérise une personne handicapée est donc la gravité et la persistance dans le temps de son incapacité ainsi que les risques de rencontrer des obstacles dans son quotidien. Pour sa part, le terme « personne en situation de handicap » réfère au modèle conceptuel du processus de production du handicap.
Une commission (la CDAPH) détermine le taux de cet handicap. Le montant de l'AAH s'élève dorénavant à 956,65 euros par mois au maximum (contre 919,86 auparavant) mais peut être abaissé selon les ressources du bénéficiaire.
Vous pouvez bénéficier de la carte d'invalidité : si votre taux d'incapacité est d'au moins 80 %. Seul un médecin pourra définir votre taux d'invalidité. si vous bénéficiez d'une pension d'invalidité de 3e catégorie.
Le décret est paru le 17 août 2022. A compter du 18, les allocataires de prestations sociales percevront un versement complémentaire correspondant à la hausse de 4 %, soit 36,79 euros pour l'AAH. Et l'intégralité à 956,65 euros à partir de septembre.
La demande doit être déposée : auprès d'un organisme HLM du département où le candidat souhaite résider (les coordonnées peuvent être obtenues sur leur site Internet ou auprès de la mairie) ou auprès de la préfecture du département où le candidat souhaite résider ou à la mairie de sa résidence actuelle.
Pour pouvoir vivre dans un logement adapté du parc social, vous devez formuler une demande de logement social en ligne en précisant la nature de votre handicap et les aides techniques dont vous avez besoin (fauteuil roulant, douche sans seuil, ascenseur, etc.).
Les personnes reconnues comme handicapées avec un taux de 80% minimum ou bénéficiant d'une pension d'invalidité peuvent prétendre à la carte handicapé.
Si vous avez été reconnu handicapé pendant plusieurs années, vous avez peut-être la possibilité de partir à la retraite avec un taux maximum (c'est-à-dire 50% du salaire annuel moyen que l'on soit ou non en situation de handicap) dès l'âge de 55 ans, soit bien avant l'âge légal qui se situe aujourd'hui à 62 ans.