L'appareil rouge et jaune n'est autre qu'un "Dragon", soit le nom donné à l'hélicoptère la sécurité civile et mis à disposition des sapeurs-pompiers, du SAMU, de la police ou encore la gendarmerie.
Depuis janvier 1998, la société Helicap a implanté cette machine, la première du type EC 135 au SAMU 42 de St Etienne. L'originalité de cette machine est d'avoir été peinte de couleur vert/jaune selon l'éclairage.
A chaque couleur d'hélicoptère correspond une activité précise. Ainsi les hélicoptères de la gendarmerie sont bleus, kaki pour l'armée, jaune pour la sécurité civile, blanc pour le Samu et rouge pour les pompiers.
En 2022, les Forces aériennes de la Gendarmerie comprennent 56 hélicoptères : 15 « EC145 », 15 « EC135 » et 26 « Écureuil ».
Un hélicoptère survole des lignes électriques à basse altitude en Loire-Atlantique. La raison ? « Anticiper d'éventuelles anomalies et éviter de futures pannes », explique Enedis.
L'hélicoptère Panther de la frégate Cassard effectue un transfert de charge légère avec le PR Meuse. Un hélicoptère se pose en 1956 sur l'hélisurface du Sealion, sous-marin de la classe Balao reconverti en sous-marin de transport. Il s'agit du seul exemple de tel ajout sur un sous-marin.
Deux rotors sont nécessaires pour équilibrer la force de couple, sans un deuxième rotor, appelé rotor anticouple et situé à l'arrière de l'appareil, l'hélicoptère serait impossible à piloter, car il tournerait sur lui-même. C'est grâce aux rotors que les hélicoptères peuvent décoller et atterrir à peu près partout.
Le Mi-26 est l'hélicoptère le plus lourd et le plus grand jamais construit en série au monde.
Les secours ? Le déplacement d'une équipe du SAMU est facturé à la demi-heure de 0 à 2400 euros suivant les départements et généralement remboursé par l'Assurance Maladie et les mutuelles. Le secours en montagne est généralement gratuit pour le patient, sauf abus.
L'HéliSmur est régulé par le Samu-Centre 15. Son intervention est décidée par le médecin régulateur sur des critères médicaux et organisationnels dont la finalité est l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. de proximité, médecins correspondants des Samu par exemple).
Mais rien de bien inquiétant : il s'agit tout simplement de vols servant à cartographier les lieux, pour aider à la préparation des futurs grands évènements à venir.
Les moyens nationaux de la Sécurité civile restent les plus connus du grand public, notamment les hélicoptères Dragon et les avions bombardiers d'eau tels que Canadair et Tracker pour combattre les feux de forêts, essentiellement mobilisés pour des missions de sauvetage et de secours d'urgence.
Malgré la difficulté du pilotage et des budgets importants, piloter un hélicoptère est un rêve accessible. Une initiation de 30 minutes vous apprendra si vous êtes apte à piloter et une formation d'un an et demi vous formera pilote privé hélicoptère.
Les moteurs à turbines (turboréacteurs et turbopropulseurs) qui équipent la majorité des avions ou des hélicoptères (civils ou militaires) utilisent du kérosène. Ce carburant est un mélange d'hydrocarbures et est obtenu par soutirage d'une coupe pendant la distillation du pétrole, typiquement entre 150 0C et 275 0C.
Les hélicoptères classiques ne peuvent dépasser environ 350 km/h.
L'hélicoptère est un moyen de locomotion de la catégorie des aéronefs composé d'un ou de plusieurs rotors lui permettant de se maintenir en vol.
– Capacité d'eau maximum sur modèle équipant l'AS350 1022 litres.
« Dragon » est l'indicatif opérationnel radiophonique de tous les hélicoptères du GHSC. Pour les distinguer on ajoute à cet indicatif le nombre correspondant au département où est implantée leur base d'affectation.
Le but de cette opération singulière est de réaliser des repérages dans le cadre de l'accueil de grands événements sportifs dans la Métropole: la Coupe du monde de rugby en 2023 puis les Jeux olympiques en 2024.
Pour obtenir la licence de pilote professionnel hélicoptère (CPLH), vous devez avoir au moins de 18 ans et avoir suivi au moins 150 heures de vol en tant que pilote d'hélicoptère. Des épreuves théoriques et un examen en vol vous permettent d'obtenir la licence de pilote professionnel.
justifier de l'accomplissement de 2 500 heures de vol dont au moins 200 heures de vol de nuit (VFR ou JVN) dans l'exercice de la profession ; justifier de huit années d'activité, période de formation incluse, comme pilote d'hélicoptères (professionnel ou militaire).