Figure de style qui consiste à allier deux mots de sens contradictoires. Exemple d'oxymore : « une douce violence ». syn. oxymoron nom masculin.
Montesquieu écrit ici une antithèse en rapprochant deux groupes de mots opposés dans leur sens (servitude / libre). Pour en faire un oxymore, il faudrait écrire « j'ai vécu dans une servitude libre » en apposant les deux termes contradictoires.
L'oxymore, aussi appelé oxymoron, est une figure de style d'opposition qui consiste à rapprocher deux mots, expressions ou groupes de mots qui ont des sens opposés. Ces éléments se retrouvent généralement dans un même groupe de mots. On peut retrouver cette figure de style dans différents types de textes.
litote., pléonasme. Figure de style réunissant deux termes antinomiques (opposés, de sens contraire).
L'antithèse a un sens plus large que l'oxymore
Ici l'antithèse consiste à rapprocher dans le même énoncé deux termes, deux pensées, deux expressions, qui sont à l'opposé pour créer un effet de contraste. Mais : La force tranquille.
Allier dans une même phrase deux mots de sens et de logique opposés comme « ignorance » et « instruire » comporte une part de paradoxe, contrairement à un oxymore strict, qui accole deux mots de sens opposés, mais sans confiner à l'antilogie, comme dans l'expression : « s'élancer en avant derrière la musique » (James ...
Il existe de nombreuses figures de style, chacune avec ses propres caractéristiques et effets, mais quelques exemples courants incluent la métaphore, la comparaison, l'anaphore, l'antithèse, l'hyperbole, la litote, la personnification, l'allitération, l'assonance et la répétition.
oxymore n.m. Figure de style qui réunit deux mots en apparence contradictoires.
Un paradoxe, du grec para, « contre », et doxa, « opinion », est une idée qui va à l'encontre de l'opinion commune. Cette figure de style repose sur le rapprochement de mots opposés (antithèse) au sein d'une expression dépourvue de sens logique…
L'épiphore est le contraire de l'anaphore puisqu'elle consiste à créer une répétition d'un mot ou groupe de mots en fin de phrase.
L'antiphrase (substantif féminin), du grec antiphrasis, de anti- préfixe (« contre ») et phrasis (« action d'exprimer par la parole »), est une figure de style qui consiste à employer, par ironie ou par euphémisme, un mot, une locution ou une phrase, dans un sens contraire à sa véritable signification.
Le contraire du pléonasme est l'oxymore. Dans ce cas précis, deux mots apparemment contraires sont ajoutés au sein d'un seul et même syntagme. Contrairement au pléonasme qui est parfois considéré comme erroné, l'oxymore est une figure de style à part entière.
Pour repérer une anaphore, il faut porter une attention particulière aux mots, aux expressions ou aux groupes de mots qui se répètent en tête de phrase, de paragraphe, de vers ou de strophe. Le ou les premiers mots doivent être pareils, alors que le reste de la phrase ou du vers est souvent différent.
Le chiasme est une figure d'opposition qui crée un effet de contraste entre des énoncés rapprochés. D'ailleurs, parfois, le fait que les éléments soient placés dans l'ordre inverse change leur signification.
L'antiphrase est une figure de style qui consiste à dire le contraire de ce qu'on pense. L'objectif n'est pas de mentir au lecteur, mais bien de faire ressortir une opinion grâce à son contraire et de faire comprendre qu'on ne pense pas ce qu'on dit.
Le pléonasme est souvent constitué de termes qui abondent dans le même sens, pour insister sur un point, si l'on craint qu'il ne soit mal interprété ou pas assez énergique. Exemple : « Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, ce qui s'appelle vu... »
La phrase nominale (qui n'est pas seulement constituée d'un nom, mais peut aussi être formée d'un adjectif, d'un adverbe...) est en réalité une phrase sans verbe. Privée de l'ancrage situationnel donné par le verbe, la phrase nominale est particulièrement sensible au contexte.
En grammaire, le mot-phrase est un mot qui peut constituer à lui seul un énoncé remplissant du point de vue sémantique le rôle d'une phrase simple, sans être un verbe pour autant.
la phrase déclarative, la phrase interrogative, la phrase exclamative et la phrase impérative. On peut mettre chacune de ces phrases soit à la forme affirmative ou négative.
Le mot "oiseaux" est, en effet, le mot le plus long mot dans lequel aucune de ses lettres n'est prononcée individuellement.
● «Monter en haut»
Le verbe «monter» indique toujours l'action de se déplacer de bas en haut. Et c'est inéluctable. De la même façon, «descendre en bas» ne se dit pas. Quand on descend, on se déplace de haut en bas.
Les homographes sont des mots qui ont la même orthographe (qui s'écrivent de la même façon), mais qui se prononcent de manière différente. Ils n'ont pas le même sens non plus.
anaphore
1. Reprise du même mot au début de phrases successives. (Exemple : Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire, / Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire [Corneille].)
La métaphore est constituée de deux éléments : le comparé et le comparant. Le premier est l'objet, la personne ou la chose que l'on compare et le second est ce à quoi on le rapproche. Par exemple, si l'on dit : « Cette femme est une véritable déesse », « femme » est le comparé et « déesse » le comparant.
Certaines hyperboles forment des expressions figées utilisées dans le langage courant. ce n'est pas la mer à boire, avoir les yeux plus grands que le ventre, être fort comme un bœuf, mourir de faim, mourir de soif, n'avoir que la peau sur les os, aimer à mourir…