contes destinés à faire ressortir une idée morale.
Le roman recrée tout un univers, avec ses valeurs positives ou négatives, et, par là, est porteur d'une « vision du monde ». Cette vision, l'auteur la transmet à travers ses personnages, par le regard qu'il porte sur eux et par ses rapports avec eux : sympathie ou antipathie, éloge ou blâme (explicite ou implicite).
Œuvre d'imagination constituée par un récit en prose d'une certaine longueur, dont l'intérêt est dans la narration d'aventures, l'étude de mœurs ou de caractères, l'analyse de sentiments ou de passions, la représentation du réel ou de diverses données objectives et subjectives ; genre littéraire regroupant les œuvres ...
En droit français, une personne morale est un groupement doté de la personnalité juridique. Généralement une personne morale se compose d'un groupe de personnes physiques réunies pour accomplir quelque chose en commun. Ce groupe peut aussi réunir des personnes physiques et des personnes morales.
Quand la littérature a le rôle de divertir le lecteur, elle a pour but la distraction. Au contraire quand elle a le rôle d'instruire, d'informer ou d'alerter le lecteur, les écrits rapportent alors l'essentiel, ce qui permet d'en tirer des leçons.
Les Œuvres morales (en grec ancien Ἠθικὰ / Ethikà, en latin Moralia) sont un ensemble éclectique de textes grecs de Plutarque ( I er - II e siècles). Ils traitent de différents sujets qui peuvent être d'ordre religieux ou éthique, philosophique, littéraire mais aussi plus prosaïque.
La valeur de la littérature réside, précisément, dans le caractère abstrait, conventionnel, non iconique, du langage et, par contraste, dans la liberté et l'intensité d'imagination qui est requise des acteurs de la communication littéraire.
En philosophie, le sens moral est la capacité de discerner entre le bien et le mal, entre le juste et l'injuste. En religion, le sens moral ou tropologique est l'un des quatre sens de l'Écriture.
La morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective.
Le moral n'est donc qu'une image instantanée de l'humeur du moment. La morale, quant à elle, a plus d'atomes crochus avec le juste et l'injuste tels que façonnés par l'alentour.
Le roman reflète la réalité comme Stendhal nous le dit : « un roman c'est comme un miroir qu'on promène le long d'un chemin. ». En effet, pour que le lecteur puisse s'identifier dans le livre aux personnages,il a besoin d' un certain cadre faisant office d'une quelconque réalité ressemblant à la sienne.
Le roman élabore une réflexion sur le monde.
On peut dire que le roman est la forme littéraire privilégiée pour cette « vision du monde » grâce aux personnages qui vont évoluer dans ce monde et percevoir le réel.
Le romancier décrit nécessairement l'homme d'une société et il décrit en même temps une société. Seignobos disait souvent : le roman est, pour nous historiens, la seule façon correcte de connaître la vie réelle, publique ou privée, des hommes du passé, leur sensibilité, leur représentation du monde...
Il reflète d'une certaine manière une partie de la société d'alors, à travers une noblesse un peu rêvée et une vie politique qui, quant à elle, traduit à travers la petite société inventée, une profonde connaissance des ruses des hommes face au pouvoir.
Le roman, recréant une société d'hommes avec ses qualités et ses défauts, est ainsi porteur d'une ou plusieurs « visions du monde » – qui se transmettent au lecteur par le biais des personnages, des relations entre personnages et narrateur, mais aussi grâce à d'autres éléments du tissu romanesque.
La morale vise d'une part à la conservation des formes collectives d'organisation sociale, de la société, de l'intérêt général, d'autre part à l'agrément de la vie des individus en société.
Ce qui constitue une leçon de morale. ➙ apologue, maxime, moralité.
Sur l'invention de la morale de Friedrich Nietzsche - Editions Flammarion.
Les deux existent mais il s'agit de deux noms différents, l'un féminin, la morale avec un e , l'autre masculin, le moral sans e . Ces deux mots ont une origine commune : ils appartiennent à la famille de l'adjectif moral . On distingue donc la morale et le moral .
L'appréciation exige du lecteur de «sortir du texte», de prendre une distance dans le but de juger. Qualifier l'originalité de l'intrigue, juger une description convaincante ou détailler le style d'écriture... La culture et les références jouent ici un rôle essentiel.
Un autre exemple montre que le mot « littérature », avec le sens commun qu'il possède aujourd'hui, est désormais bien installé au milieu du siècle des Lumières : en 1753, Charles Batteux intitule son ouvrage Cours de belles-lettres, ou Principes de la littérature et en 1764, il le réédite en gardant pour seul titre ...
La littérature est une réflexion de la vie, des réalités d'un peuple donné exprimées et réalisées par les moyens du langage orale ou écrit. Elle vise souvent à une valeur esthétique et cherche à faire plaisir.