La décompensation psychotique ou rupture psychotique est ainsi une rupture de l'équilibre psychique chez une personne suite à une crise émotionnelle, un contexte dangereux, une épreuve traumatisante… Elle implique une rupture avec la réalité et survient le plus souvent après-coup, une fois le “danger” écarté.
Une décompensation induit une rupture brutale avec le réel. Les symptômes physiques et psychiques sont nombreux (sudations, douleurs thoraciques, arythmies cardiaques, insomnies, addictions, anxiété généralisée, crises d'angoisse, bouffées délirantes, phobies, TOC, dépression…).
La décompensation psychique correspond à la phase de rupture de l'équilibre psychologique d'une personne. Dans le cas d'une rechute, la décompensation fait référence à la phase de réapparition des symptômes. La décompensation peut être de type psychotique, maniaque, anxieuse, dépressive, alcoolique….
Plus l'individu est vulnérable, moins le stress devra être élevé pour entraîner un trouble psychotique. De plus en plus d'études démontrent que la consommation de drogues comme le cannabis, la cocaïne et les amphétamines augmente également le risque de vivre un épisode psychotique.
Décompensation. Lorsque la même personne subit plusieurs blessures, séparément ou en même temps, il survient un moment où la compensation à une blessure subséquente devient impossible, car les tissus sont incapables de la fournir.
La décompensation psychotique, c'est quand un individu ne différencie plus ce qui est réel de ce qui ne l'est pas. Apparaissent alors des hallucinations, des délires et parfois des symptômes de violence.
Elle est traitée grâce à une psychothérapie et un éventuel traitement médicamenteux (par exemple, dans le cas de la dépression)", souligne la spécialiste. La rechute, en matière de psychoses, est fréquente, mais il est souvent possible de mener une vie normale entre les épisodes, sans symptômes particuliers.
La décompensation psychique représente toujours un moment de crise pour le patient et sa famille ou son réseau. C'est une période de rupture de la continuité, favorisée par la répercussion de certains événements sur le vécu affectif et quotidien de chacun de ses membres.
Pensée modifiée et confuse
Les idées peuvent devenir embrouillées. On peut perdre le fil de sa pensée. Cela se manifeste par des difficultés à tenir une conversation et à se faire comprendre. Parfois, la pensée se bloque ou est interrompue par des idées intrusives.
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
En médecine, la décompensation est la dégradation, souvent brutale, d'un organe ou d'un organisme qui était jusqu'alors maintenu en équilibre par des mécanismes de compensation qui empêchaient la survenue de ce dérèglement.
L' anxiété est une composante de la psychose confusionnelle inhibée, mais elle est secondaire à la difficulté de faire face à l'afflux d'informations. Le diagnostic différentiel avec la paraphrénie affective se fait sur : L'inadéquation des idées délirantes par rapport à l'intensité de l'humeur.
La psychose se définit comme une perte de contact avec la réalité. Lorsqu'une personne a de la difficulté à distinguer ce qui est réel de ce qui ne l'est pas, elle vit un épisode psychotique. Le premier épisode psychotique survient généralement vers la fin de l'adolescence ou au début de l'âge adulte.
Le diagnostic de schizophrénie paranoïde est donnée avec la présence d'idées délirantes ou des hallucinations bizarres qui défient les lois naturelles des processus logiques de la pensée, ou troubles de la pensée et de repli en raison de ces pensées et ces délires.
Les personnes se trouvant dans un état psychotique ne sont généralement pas agressives. Elles sont beaucoup plus susceptibles de s'en prendre à elles-mêmes que de s'attaquer aux autres. Cependant, certains symptômes de la psychose (les illusions sensorielles et les hallucinations, p. ex.)
Les troubles psychotiques ont généralement une origine multifactorielle. C'est souvent la combinaison de plusieurs facteurs qui entraîne l'affection. Parmi ces facteurs, on compte l'hérédité, l'abus de substance (alcool ou drogue) et le stress.
la Thérapie cognitive et Comportementale (TCC) ou la Thérapie Interpersonnelle (TIP) sont à privilégier dans cette situation. si votre proche refuse de consulter, vous pouvez consulter un psychiatre afin de vous conseiller sur la façon de l'aider.
Les troubles bipolaires, anciennement appelés psychose maniaco-dépressive, sont caractérisés par des variations de l'humeur disproportionnées dans leur durée et leur intensité. La gaieté devient euphorie exagérée, la tristesse s'exprime par une dépression profonde.
Ce terme définit des personnalités avec une grande instabilité des relations affectives interpersonnelles et de l'image de soi associée à une impulsivité marquée.
Les symptômes les plus caractéristiques d'un épisode psychotique sont des pensées confuses, des fausses croyances ou délires (se croire l'objet d'une surveillance par des policiers par exemple), des hallucinations (voir, entendre, sentir des choses qui n'existent pas), des modifications des émotions et des ...
Personnalité anxieuse
Ces personnes ont tendance à toujours penser que le pire est probable ou du moins plausible et s'entourent alors d'un maximum de précaution pour éviter les difficultés auxquelles elles ont songé. Le moindre évènement quotidien peut ainsi devenir une affaire compliquée.